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jeudi, 17 janvier 2019

« Pognon de dingue » : l’envoi de la lettre de Macron devrait coûter environ 10 millions d’€

Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2019

Mis à jour le 16 janvier 2019 Auteur par Pierrot
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Déjà diffusée sur internet, abondamment relayée et commentée, la lettre qu’Emmanuel Macron adresse aux Français, alors que s’ouvre le « grand débat », sera finalement bien envoyée par courrier.

Une décision politique : pour renouer le contact avec les Français, le président de la République ne peut se contenter de passer par les médias. Dimanche 13 janvier en fin d’après-midi, il a donc décidé d’adresser sa lettre à chacun des Français, qui devrait la recevoir rapidement chez lui. 

Selon France-Inter, le chef de l’Etat avait hésité à la faire envoyer dans un premier temps. Pour des raisons financières : le coût de l’envoi devrait avoisiner les 10 millions d’euros, de quoi susciter des critiques alors que le gouvernement tente de sortir par le haut de cette crise du pouvoir d’achat.

Mais visiblement peu importe, selon un député réputé proche de l’Elysée. Désormais la décision serait prise. C’est Emmanuel Macron, qui seul, a fini par trancher.

Source:L'Obs

mercredi, 16 janvier 2019

L’Algérie ne veut plus enterrer nos Franco-Algériens de Marseille !

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2019

Auteur : Manuel Gomez

L’Algérie refuse à présent de recevoir les dépouilles des Algériens assassinés dans les Bouches-du-Rhône et plus précisément à Marseille.

Trop c’est trop.

Les autorités algériennes en ont fait une demande officielle à l’État français.

L’Algérie ne veut plus des corps de ces Algériens qui sont victimes de règlements de comptes entre gangs qui se disputent le monopole du trafic de stupéfiants.

Depuis 2012 on compte officiellement 137 morts, dont 29 en 2016 (c’est le record pour le moment) et chaque rapatriement de dépouille de l’un de ces trafiquants fait éclater des tensions entre les familles sur le territoire algérien.

Car il faut savoir que ce sont principalement deux familles originaires de l’Est algérien, plus précisément des régions de Khenchela, Menzel, pour l’une, et de Kais pour l’autre, qui se livrent une guerre sans merci dans la région marseillaise et a des prolongements très inquiétants en Algérie.

Les « Remadnia » et les « Tir », soutenus par une autre famille de trafiquants algériens, les Berrebouh, dirigent le trafic de drogue depuis quelques années dans toutes les Bouches-du-Rhône, avec leur siège social dans les quartiers nord de la cité phocéenne et cela dans une relative impunité des services de police qui se contentent de comptabiliser les cadavres.

Ces deux familles s’éliminent physiquement mais elles sont confrontées également à d’autres gangs de ces quartiers nord, celui des « Gitans » et celui des « Blacks », composés également de quelques Algériens dissidents qu’il est nécessaire d’éliminer afin de conserver la suprématie.

Ils sont bien loin les Spirito et Carbone de l’avant-guerre et les frères Guérini de l’après-guerre, il n’y a plus ces noms qui fleuraient bon le « vieux Marseille » : Francis le Belge, Jacky le Mat, Tany Zampa et j’en passe.

Aujourd’hui comment peut-on retenir les patronymes de ceux qui tombent, les Medhi, Karim, Saïd, Farid, etc. souvent « résidents » de ces cités de la Castellane glorifiées quelques années plus tôt par la réussite d’un Zidane ?

Mercredi 9 janvier 2018, c’est un jeune Algérien, âgé de 25 ans, qui a été abattu par balles en pleine rue, devant un garage à Bastille, dans le quartier Saint-Louis. Il était, soi-disant, revendeur de voitures. Sera-t-il inhumé en Algérie ?

L’Algérie réclame depuis des années les crânes des 37 résistants « à la colonisation » (de 1830 à 1962) conservés au Musée de l’Homme, à Paris mais refuse les cadavres des délinquants marseillais, d’origine algérienne.

Il est vrai qu’ils sont bien plus nombreux que ceux des résistants et qu’il y en aura d’autres chaque nouvelle année.

Il est vrai également que si ces criminels binationaux étaient tout simplement expulsés dès leur première condamnation, la question ne se poserait pas car ils retourneraient dans « leur pays » vivants… pour le moment !

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

Les assassins de l’Europe et leur arme de destruction massive

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2019

 Comme chacun sait qu’un assassinat est un meurtre commis avec préméditation.

Le Pacte de Marrakech, approuvé par un pape et des prélats catholiques délirants, par Angela Merkel qui reste en place bien qu’elle ait été désavouée par ses électeurs, par Grand Président Macron qui est sur une sellette éjectable, ne fait que reprendre, en l’étendant, le génocide initié en 1976 par Valéry Giscard d’Estaing et Jacques Chirac, qui, rattrapés par la sénilité, mourront impunis pour leur décret 76-383 du 29 avril, paru au Journal Officiel de la Ripublique le 2 mai 1976.

migrants

Quel dommage de ne pouvoir croire raisonnablement en un Enfer ! On aimerait que ces êtres, vendus stricto sensu à la Finance anonyme et vagabonde – il n’est pas besoin de cultiver la fleur royaliste en France pour adopter cette phrase prononcée par un prétendant au trône il y a près de 120 années –, subissent des tourments jusqu’à la fin des temps.

Une autre fin est programmée, celle des Nations européennes, amenant inévitablement leur remplacement par les migrants massivement importés… sauf réaction puissante des Européens, encore majoritaires sur un continent qui n’appartient qu’à eux.

Rien qu’en France, en additionnant aux adultes les rejetons nés sur le sol réputé français et devenus citoyens « par droit du sol », on compte environ 15 millions de sujets d’origine africaine. On sait que dans de nombreuses régions, plus du tiers des naissances sont à risque de drépanocytose, soit un marqueur génétique d’origine africaine.

En Allemagne, on sait que depuis 2015, la folle chancelière a importé 50 % d’illettrés – il n’existe pas de statistique disponible de ce type dans la très démocratique République française. En revanche, l’INSEE nous apprend que chez les « immigrés de première génération », le taux de chômage des sujets en âge et en état de travailler est de 35 %… on a importé des masses sans qualification autre que l’intense désir de participer à la féérie de consommation qui est le fondement de l’économie actuelle.

Consommer sans Produire ou sans avoir produit, c’est aussi le slogan des immigrés âgés importés inutilement et auxquels l’État français offre une retraite… parfaitement illégale, puisque non ouverte par des cotisations antérieures. Que ceux des retraités français autochtones qui ont travaillé et cotisé 41 années pour gagner à peine de quoi survivre soient heureux : leurs cotisations servent à payer des retraites aux vieillards importés !

Lorsque, durant les années 1980-2000, des toqué(e)s écrivaient qu’il fallait importer des immigrés pour « payer les retraites », ils ou elles (sans compter les personnes de sexe-genre à géométrie variable) ne croyaient pas si bien dire : on a importé un tiers de chômeurs et un nombre imprécis, mais fort grand si l’on en croit les statistiques allemandes et scandinaves, de populations inutilisables.

Il est évident qu’il existe, au sein de la très composite immigration, des techniciens, voire des savants, mais cette élite africaine ou moyen-orientale devrait retourner dans son continent ou son sous-continent d’origine, pour l’amener au même degré de civilisation que les Européens ont haussé l’Occident.

Le gouffre financier de la Sécurité sociale a pleinement bénéficié de l’immigration : on soigne – pour quelques milliards d’euros de plus – toutes les familles importées, dont certaines utilisent abusivement de façon collective une seule carte individuelle d’accès aux soins. Et l’on soigne bien évidemment aussi les clandestins dits « sans papier », sans existence légale, mais néanmoins pourvus d’allocations spécifiques et de droits.

Car l’on a inventé un droit des clandestins, un droit des illégaux ! Nos politicards ignorent jusqu’à la sémantique, mais ils sont servis par une armée de juristes oubliant sur commande les fondements du Droit… en quelle que sorte des parjures.

La réaction nécessaire des Européens est à l’évidence double. D’abord et de façon urgente, il leur incombe de se révolter et de chasser les guignols irresponsables et corrompus qui ont trompé leurs électorats et qui ruinent le continent pour le seul profit des financiers cosmopolites, des producteurs exotiques et des distributeurs, en principe européens. Ensuite, il faut stimuler la natalité autochtone en combattant le féminisme délirant des folles du « droit à la non-grossesse ».

Les Nations européennes menacées dans leur survie n’ont pas besoin de ringards de la politique atteints par la limite d’âge, ni même de « penseurs ». Elles ont besoin d’hommes d’action qui sont prêts à se battre pour assurer l’avenir de leur peuple et le dynamisme de leur patrie. Elles ont besoin de femmes décidées à mettre au monde de véritables enfants d’Europe.

 

Cet article Les assassins de l’Europe et leur arme de destruction massive est apparu en premier sur Eurolibertés. via lesobservateurs

 

 

UE : Démantèlement d’un réseau qui organisait des mariages blancs entre migrants pakistanais et citoyennes portugaises

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2019

Les autorités belges et le Service de l’Immigration et des Frontières portugais ont démantelé, avec le soutien actif d’Eurojust et d’Europol, un réseau criminel qui a recruté des dizaines de femmes pour des mariages arrangés. Au cours d’une action internationale coordonnée, dix-sept suspects ont été arrêtés aujourd’hui en Belgique, et trois autres au Portugal Ce […]

 

Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

mardi, 15 janvier 2019

« Éloge de l'héritage »

On lui doit d'avoir théorisé la stratégie invitant la gauche française à rassembler les différentes minorités identitaires et les élus de la mondialisation dans une nouvelle majorité politico-idéologique, censée convertir la France d'hier au génie de la société diversitaire. Les classes populaires devenues culturellement conservatrices étaient abandonnées. Il fallait liquider une France nostalgique de son identité passée et en faire naître une nouvelle, mieux adaptée aux appartenances hybrides, à la fluidité identitaire et à la mondialisation. Telle serait apparemment la loi de l'hypermodernité: rien ne devrait plus être comme avant.

Il faut garder cela à l'esprit quand on se penche sur la nouvelle contribution du think-tank à un « grand débat » dont les termes demeurent étrangement incertains. Terra Nova vient ainsi de proposer dans un rapport une augmentation massive de l'impôt sur les successions, comme le notait Virginie Pradel le 8 janvier dans Le Figaro . Je n'entends pas ici revenir sur les aspects techniques de la proposition de Terra Nova, mais sur l'arrière-fond philosophique qui pousse les « progressistes » à favoriser une fiscalité confiscatoire en matière de succession au nom de la lutte contre les inégalités.

Dans la perspective progressiste, un monde juste serait un monde mis à plat régulièrement, empêchant que ne se forment au fil des générations des hiérarchies toujours condamnables. On trouve ici une utopie qui sans cesse se recompose, celle d'une société capable de remettre le compteur à zéro à chaque génération, autrement dit qui parvienne à faire table rase en étendant sans cesse l'application du principe égalitaire. On comprend que la grande obsession de Terra Nova est de liquider le vieux monde, comme si nos sociétés devaient renaître en abolissant le principe de continuité.

Faut-il le dire, c'est aussi dans cet esprit qu'on a assisté, depuis plus d'un demi-siècle, à la déconstruction progressive de l'école et de l'éducation. Selon le vocabulaire consacré, il fallait abolir la figure de l'héritier, comme si la modernité devait correspondre à une perpétuelle nuit (d'abolition) des privilèges. On connaît le résultat: plutôt que relever le niveau culturel des milieux défavorisés, c'est l'idée même de culture générale qu'on a fait exploser. Une société en guerre contre l'héritage est en lutte contre elle-même, et se prépare à se confier à des planificateurs sociaux à l'imagination hasardeuse.

Mais c'est la nature humaine qu'on heurte ainsi. Le progressisme se laisse aller à une agression anthropologique. Il réduit le désir de transmettre à une forme d'égoïsme pathologique, lié à la persistance de valeurs familiales régressives qui rendraient l'homme étranger au bien commun. Un homme ne devrait plus se soucier de sa lignée ou chercher à transmettre plus qu'il n'a reçu. Il ne devrait plus travailler pour céder un monde meilleur à ses descendants puisqu'il contribuerait ainsi à l'injustice sociale. Pour le dire autrement, il ne devait travailler qu'à l'horizon de sa propre vie. La modernité, ici, révèle sa tentation nihiliste.

Une véritable ascension sociale

La transmission du monde est la condition de sa sauvegarde, et rien ne dure sans le désir de durer. Qui veut sectionner les liens entre les générations lacère en fait le lien social. Dès lors, on ne saurait œuvrer consciemment à la neutralisation programmée de la transmission familiale sans condamner la société à un double mouvement de collectivisation aliénante et d'individualisation abstraite. L'individu détaché de ses appartenances, coupé de sa communauté, éloigné de sa famille, se retrouve finalement bien seul devant une administration qui prétend mieux savoir que lui comment gérer sa vie et le voit comme un pion dans son système. Cette société planifiée quadrillant tout le réel pour éviter que quoi que ce soit ne lui échappe est au fond d'elle-même hostile aux libertés les plus fondamentales.

La lutte contre les inégalités est essentielle et la colère révélée par les « gilets jaunes » rappelle que la réactivation de l'ascenseur social est une nécessité vitale. Le combat pour la justice sociale rappelle aux hommes qu'ils forment une communauté où chacun est appelé au bien commun et qui donne aux enfants de tous les milieux l'occasion d'une véritable ascension sociale. Nul n'est assez bête, non plus, pour croire qu'elle repose sur le seul mérite individuel, sans que ne pèsent sur elle de puissants déterminismes sociaux. Chacun doit contribuer selon ses moyens à la construction d'institutions valables pour tous.

Mais rien de tout cela ne doit obligatoirement se penser à l'aune de l'utopie de la table rase, qui pousse la quête égalitariste à jeter à terre tout ce qui l'entrave, en créant une horizontalité morne, qui rapetisse l'homme en croyant le libérer.

 

Source : lafautearousseau