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lundi, 13 novembre 2017

Les turpitudes de l’islamo-gauchisme

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2017 

par Louis-Joseph Delanglade

 

logo lundis.jpgInterrogé sur France Inter (jeudi 9), M. Ruffin, député mélenchonien, nous ressort un de ces schémas qu’affectionne particulièrement une gauche idéologique à laquelle tout le siècle écoulé a pourtant donné tort : il faut réduire la fracture interne des classes populaires en réconciliant les employés et ouvriers de la périphérie avec les enfants des cités issus de l’immigration.

Ils seraient donc fâchés ?

M. Ruffin croit peut-être accréditer ainsi la stratégie islamo-gauchiste. Il oublie tout simplement les réalités : la gauche extrême s’est fourvoyé dans un islamisme qui pourrait lui être fatal. L’islamo-gauchisme est une hydre à deux têtes, au langage double, dont la caractéristique de fond principale réside sans aucun doute dans la plus grande malhonnêteté intellectuelle. Deux exemples d’actualité sont là pour le rappeler. 

Premier exemple, celui de Mme Obono, née au Gabon, député de la « France insoumise », c’est-à-dire de la vitrine parlementaire de la gauche dure. Ladite dame Obono vient, tout en prétendant le contraire, de se solidariser avec une autre dame, « une camarade », Mme Bouteldja, née en Algérie, porte-parole des « Indigènes de la République », laquelle ne cesse de tenir des propos haineux envers la France et ses « souchiens ». Toutes deux, bien entendu naturalisées françaises (c’est quand même plus confortable), affichent un antiracisme de façade derrière lequel transparaît à l’évidence leur vrai racisme, celui qui les dresse, telles des harpies, contre le « Blanc » (et, « nos » féministes apprécieront, le masculin englobe ici pour elles le féminin). 

Second exemple, celui de M. Plenel, agent islamiste avéré, sur la filiation trotskiste et tiers-mondiste duquel il est inutile de revenir. Depuis la fondation de « Mediapart » en 2007, M. Plenel, a l’habileté de faire passer son militantisme islamiste (affiché dans son livre Pour les musulmans) en le conjuguant à des enquêtes et études sur des sujets et personnalités variés (comme l’affaire Cahuzac). Mais sa complicité avec M. Ramadan est telle qu’on ne le croit pas quand il nie toute accointance avec ce dernier. En prétendant de façon gratuite (France Info, 8 novembre) que tout cela « fait partie d'une campagne générale de guerre aux musulmans », il donne au contraire crédit à l’accusation portée contre un prédicateur que son islamité rendrait intouchable. 

L’ennemi efficace de l’islamo-gauchisme est peut-être dans la gauche elle-même, cette gauche dont M. Plenel, acculé, dit qu’elle est « égarée ». Egarement qui en frappe donc beaucoup, de M. Valls, adepte de la lucidité lexicale, jusqu’à Charlie Hebdo, à la dangereuse liberté blasphématoire. On a même pu entendre récemment sur France Inter (mardi 7) M. Legrand, éditorialiste politique (de gauche, bien entendu), traiter de « contextualiste » et désapprouver cette « petite partie de la gauche qui voit en l’islamisme l’idéologie des opprimés ».

 

Source : lafautearousseau

Skövde (Suède) : Comme il n’y a plus beaucoup de Suèdois dans cette ville, les panneaux sont désormais en Arabe

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2017

 

La municipalité de Ryd à Skövde est une zone dite « extra-urbaine » et est dominée par les habitants de la communauté arabe. Ol été décidé que les informations municipales seront rédigées en Arabe.

(…) samnytt.se via fdesouche

Viktor Orban souhaite protéger la Hongrie et les Hongrois de manière “irréversible”

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2017 

Résultat, il part archi-favori aux prochaines élections et la gauche pourrait arriver 3e derrière le Jobbik, le parti de la droite nationaliste. Petit compte-rendu partial et hostile de l’AFP :

Le Premier ministre conservateur hongrois Viktor Orban a accepté dimanche de briguer l’an prochain un nouveau mandat de quatre ans à la tête du gouvernement en souhaitant transformer son pays de manière “irréversible”.

Viktor Orban a été réélu pour deux ans à la présidence du Fidesz à l’unanimité des 1.358 délégués présents au congrès du parti. A cinq mois des élections législatives, le dirigeant nationaliste qui défie régulièrement l’Union européenne en faisant campagne contre l’immigration et en exerçant un large contrôle sur la justice et les médias, devance largement tous ses rivaux et paraît certain d’obtenir facilement un troisième mandat consécutif.

“L’humeur n’est pas au changement de gouvernement en Hongrie, plutôt au changement d’opposition”, a-t-il dit sous les rires et applaudissements de l’assistance, par allusion aux divisions du centre-gauche. Les sondages montrent que la gauche sera probablement battue par le parti d’extrême droite Jobbik lors des législatives.

“Nous devons travailler quatre ans de plus pour consolider nos réalisations jusqu’au stade où elles seront irréversibles”, a encore déclaré Viktor Orban. Agé de 54 ans, le dirigeant conservateur est populaire dans son pays, particulièrement depuis qu’il s’est opposé à l’entrée de réfugiés sur le territoire hongrois lors de la crise migratoire de 2015.

 

Le Premier ministre rejette les critiques des pays occidentaux qui jugent que sa politique “ethno-nationaliste” érode les principes démocratiques. Il estime que l’hostilité envers lui et le Fidesz s’inscrit dans un complot ourdi par le financier américano-hongrois George Soros, qui milite à travers le monde en faveur d’une “société ouverte”.

 

Dans son discours devant le congrès du Fidesz, Viktor Orban a déclaré qu’il luttait contre les opinions “mondialistes” qui menacent selon lui les nations chrétiennes de l’Union européenne et leurs fondations morales. “Certains pays en Europe ont décidé de dépasser la chrétienté et leur propre caractère national”, a-t-il dit. “Ils veulent entrer dans une ère post-chrétienne, post-nationale.”

“Pour exécuter le projet de Soros, ils veulent chasser les gouvernements qui représentent les intérêts nationaux à travers l’Europe, ce qui nous inclut. Ils agissent comme le faisaient les agents de l’agitprop soviétique. Nous qui sommes de vieux grognards, nous les reconnaissons à leur odeur”, a ajouté le Premier ministre hongrois.

 

Source : ndf

Stéphane Berne : nouveau marchand du Temple ?

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2017

Rédigé par notre équipe le 13 novembre 2017.

A la veille des commémorations de l’armistice du 11 novembre, une figure bien connue n’a pas résisté à (déjà) partager ses idées pour sauver le patrimoine. Stéphane Berne, propulsé Monsieur Patrimoine il y a quelques semaines a donc fait germer de grandes idées pour que les vieilles pierres que compte la France ne tombent pas en ruine. Principale idée : « faire payer d’urgence l’entrée des cathédrales ». Stéphane Berne sait-il que ce sont avant tout des lieux de culte ? Se plairait-il à jouer les marchands du Temple ?  

Dans la vrai-fausse convocation de Stéphane Berne au ministère de l’Intérieur pour ne pas avoir ciré les pompes de Gérard Collomb, 24 heures actu s’était ému de l’attitude d’un ministre plus intéressé par le soutien à ses amis plutôt que par la sécurité des Français. Trois semaines plus tard, c’est au tour de Stéphane Berne de perdre le peu de crédit qu’il aurait peut-être eu en avançant ses premières idées pour préserver le patrimoine français. Nommé par le fait du prince en septembre, Berne a vu sa légitimité discutée dans les milieux qui ont encore une once de liberté. Comment un présentateur de télévision passionné d’histoire peut-il devenir celui qui sauvera le patrimoine en danger ?

Combien d’euros pour une prière ?

L’(in)compétence de Stéphane Berne a vite été pointée du doigt et ses premières réflexions ne viennent que confirmer les premiers doutes. Monsieur Berne juge que l’entretien et la restauration des lieux de culte est trop coûteux pour l’Etat. Doit-on rappeler que ce sont les communes qui ont la charge des édifices cultuels depuis 1905 et la sacro-sainte laïcité ? L’Etat veut continuer à jouer les gendarmes, mais n’a plus les moyens de son ambition. Il va falloir assommer les visiteurs qui voudront se rendre dans les cathédrales.

Devra-t-on payer pour avoir le droit d’aller à la messe ? Non, seulement hors des temps de célébration répliqueront certains. Sauf qu’un lieu de culte chrétien est ouvert à tous quel que soit l’heure et le déroulement ou non d’une messe. Faudra-t-il débourser 24 euros pour aller prier en dehors des heures décidées par Stéphane Berne ? Ce dernier prend l’exemple de l’abbaye Westminster et de son billet hors de prix. Est-ce encore un lieu de prière ou une machine à cash vidé de toute spiritualité ?

La France serait, selon Berne, le seul pays à avoir ses cathédrales gratuites au public. Même si cela était vrai, il ne serait pas bon de sortir de l’exception pour se plier au culte de l’argent. La Mairie de Paris n’aurait pas assez de fonds pour sauvegarder son patrimoine religieux lit-on encore dans l’interview accordée par Berne au Parisien. La Mairie de Paris ne s’est pas faite la réputation d’une gestion des finances saines… L’exemple est particulièrement mauvais surtout quand c’est une idéologue gauchiste qui décide du budget. Soutien au Femen ? Financements ! Protection du patrimoine religieux ? Désolé, les caisses sont vides ! Affirmer que l’entré gratuite va finir par tuer les lieux de culte est un non sens sauf si l’on fait allégeance à Mamon.

Le pire est que Berne part du constat que la moitié du patrimoine en danger se trouve dans les communes de moins de 2 000 habitants. Tirer profit des cathédrales n’aidera en rien à régler le gros du problème. Mais là encore docteur Berne à la solution ! Pourquoi ne pas jouer au loto ! Là encore l’exemple vient de Grande-Bretagne. Berne affirme que « la Française des Jeux serait très enthousiaste à l’idée de reprendre » cet exemple. Parle-t-il de cette même Française des Jeux qui va être privatisée pour une bouchée de pain ? Encore raté M. berne ! Allez, après ces deux arguments massue, le dernier pour la route : créer un club du style National Heritage qui permet à ses membres donateurs de visiter certains monuments. Pas certain que le compte y soit… D’autant plus que la création d’une telle entité attirera certains amoureux de l’argent qui trouveront toujours un moyen de le dilapider. Mais au moins, certains auront bonne conscience.

Après cette première remise de copie, l’élève Berne ne tend même pas vers la moyenne. Il semblerait qu’il ait passé son temps en Grande-Bretagne et copie-colle un modèle qui ne convient pas à une France dont le patrimoine ne pourra être préservé par les idées réchauffées d’un petit animateur de télévision.

 

Source : 24heuresactu

dimanche, 12 novembre 2017

Carl LANG sur Twitter

 

“Pour célébrer le 11 novembre, le journal de France 2 met évidemment en valeur un fusillé de 1917 pour refus d'obéissance. Ce doit être probablement trop insupportable pour cette rédaction de service public d'honorer un combattant mort pour la France face à l'ennemi.”
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