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samedi, 08 août 2015

Un député britannique conservateur préconise l’utilisation de la « loi » anti-terroriste contre les professeurs qui s’opposent publiquement au « mariage » homosexuel

 Publié par Guy Jovelin le 8 août 2015

député britannique loi anti-terroriste mariage homosexuel professeurs
« L’anti-terrorisme a toujours été une notion très vague puisque le « terrorisme » n’a jamais été clairement défini. Sous prétexte de lutter contre le terrorisme islamiste, les gouvernements passent en effet des lois qui menacent finalement la liberté d’expression de tous les citoyens et particulièrement celle des chrétiens qui s’opposent à la doctrine libérale-libertaire en vogue.Les opposants à cette forme de « lutte contre le terrorisme » se sont toujours inquiétés de lois qui ne définissent pas clairement l’objet de leur lutte, à savoir le « terrorisme ». Un député conservateur britannique vient de leur prouver une fois encore qu’ils ont eu raison. Pour lutter contre « la radicalisation », le Premier ministre britannique David Cameron a annoncé plusieurs mesures anti-terroristes en mai dernier. Le député conservateur Mark Spencer a affirmé, dans une lettre envoyée à un électeur, que ces nouvelles mesures prises contre la propagande terroriste devraient également être utilisées contre les professeurs chrétiens qui apprennent à leurs élèves que le « mariage » homosexuel est un « faux » mariage.

Un député britannique vise les professeurs opposés au « mariage » homosexuel dans le cadre des « lois » anti-terroriste

Mark Spencer souhaite que les professeurs qui exposent leur position sur le mariage traditionnel tombent sous le coup des Extremism Disruption Orders (EDO), pris par David Cameron et Theresa May au nom de la lutte contre la radication des djihadistes.

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Envahisseurs en Italie : « Nous voulons des sous, le wi-fi et la bouffe n’est pas bonne ».

 Publié par Guy Jovelin le 8 août 2015

 

Ces jeunes hommes – « migrants » et soi-disant « réfugiés » – se plaignent de devoir se déplacer à pied pour trouver un endroit avec wi-fi, que la nourriture est mauvaise et qu’il n’est pas admissible de dormir à 5 dans une pièce.
 
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vendredi, 07 août 2015

Le banquier Emmanuel Goldstein, homosexuel et franc-maçon, n'aime pas que cela se sache

Publié par Guy Jovelin le 7 août 2015

Le banquier Emmanuel Goldstein, cadre dirigeant chez Morgan Stanley, a intenté une action en justice contre la journaliste Raphaëlle Bacqué et son éditeur...
MEDIAS-PRESSE.INFO

 

LA GRECE COMME EXEMPLE

Publié par Guy Jovelin le 7 août 2015

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Editorial d'Eléments cliquez ici

On a d’abord poussé à s’endetter des gens qui n’en avaient pas les moyens. Quand la crise a éclaté, les États se sont endettés à leur tour pour sauver les banques, ce qui a transformé la dette privée en dette publique. Et comme les États ne peuvent plus emprunter aujourd’hui qu’auprès des marchés financiers, il a été aisé de leur passer l’anneau dans le nez. Ils ont besoin d’argent ? On ne leur en donnera qu’à la condition qu’ils mettent en œuvre les programmes libéraux : baisse des salaires, équarrissage des services publics et privatisations. Les peuples en souffriront ? Quelle importance ?

On a donc tout fait pour faire rentrer la Grèce dans la zone euro, où elle n’avait rien à faire. Puis on l’a laissée s’endetter, jusqu’à ce que le fruit soit mûr à cueillir. On lui a alors imposé une dette en grande partie illégitime et une politique qui ne pouvait avoir que des conséquences sociales abominables, sans pour autant obtenir les résultats économiques escomptés. 

On a fait comme si l’aide donnée à la Grèce était allée aux Grecs alors qu’elle est allée pour l’essentiel à leurs créanciers, permettant ainsi aux banques les plus exposées de se recapitaliser par le truchement de l’Etat grec. On a masqué les responsabilités des deux dynasties politiques des Karamanlis et des Papandréou, qui ont fait régner le clientélisme et la corruption pendant des décennies. On a ordonné aux Grecs de payer l’intégralité de leur dette alors qu’aucun autre pays au monde n’a les moyens ni même l’intention de payer la sienne. Bref, on a envoyé un peuple entier à la boucherie sociale à seule fin de satisfaire aux exigences de la Troïka.

Joseph Stiglitz et Paul Krugman, toux deux Prix Nobel d’économie, l’ont dit avec netteté : l’économie grecque s’est effondrée, non pas en dépit, mais à cause des mesures d’austérité qu’on lui a imposées de manière aussi absurde que criminelle. 

La question qui se pose maintenant est de savoir si, pour sauver l’euro « à tout prix », la Nouvelle Classe acceptera de trouver un accommodement avec les Grecs.

Son objectif, en tout cas, reste parfaitement clair : tout faire pour abattre le seul gouvernement européen qui ait osé contester la politique d’austérité menée par les étrangleurs de la Troïka, tout faire pour empêcher que l’on puisse seulement imaginer qu’une autre voie économique est possible, tout faire pour démontrer qu’il n’y a pas d’existence vivable en dehors des règles d’un capitalisme libéral qui se pose plus que jamais en horizon indépassable.

En dernière analyse, le problème n’est pas économique, mais politique. La prétendue rationalité économique dissimule une simple logique de domination.

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2015/08/0...

7 août 1932 : « loi des épis » et génocide ukrainien

Publié par Guy Jovelin le 7 août 2015

holodomor_v1Le 7 août 1932, le gouvernement de l’URSS promulgue une loi qui punit de dix ans de déportation, voire de la peine de mort, « tout vol ou dilapidation de la propriété socialiste », y compris le simple vol de quelques épis dans un champ.

Cette « loi des épis » survient alors que les campagnes soviétiques connaissent un début de famine du fait des réquisitions forcées par le pouvoir et de la « dékoulakisation » (élimination des paysans considérés comme riches).

On estime qu’en Ukraine, au moins six millions de paysans vont mourir de faim dans les mois suivants, de par la responsabilité des autorités communistes.
Cette « Grande famine » (« Holodomor », « extermination par la faim » en ukrainien), intentionnellement entretenue et amplifiée par Staline (qui s’appuyait sur de nombreux cadres soviétiques juifs – d’où un ressentiment longtemps tenace des Ukrainiens envers cette communauté) est assimilée à un génocide par la plupart des historiens ainsi que par les Ukrainiens.

Source : http://www.contre-info.com/7-aout-1932-%C2%AB-loi-des-epi...