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mardi, 10 avril 2018

Victoire écrasante de Viktor Orbán en Hongrie

Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2018

 

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 Source Visegrad Post cliquez ici

Dimanche 8 avril, Viktor Orbán et sa coalition Fidesz-KDNP ont remporté les élections générales et atteint la majorité constitutionnelle des deux-tiers du parlement. Viktor Orbán commence ainsi un troisième mandat consécutif qui durer jusqu’en 2022.

Après une campagne longue, lourde et très violente (verbalement et symboliquement), les Hongrois ont voté dimanche 8 avril pour choisir de nouveaux représentants au parlement national – monocaméral, qui élit le Premier ministre.

Malgré la réorganisation de l’opposition, les tentatives de coopération des divers partis, la mise en place de tactiques électorales visant à se désister en faveur du candidat d’opposition favori contre le Fidesz… malgré les appels de résistance à la dictature, et malgré les appels à aller voter de la part des anti-Orbán, l’opposition dans son ensemble n’a pas améliorée la somme de ses scores et son nombre de députés.

Alors que normalement, Budapest favorise les partis libéraux, le Fidesz a fait de bons résultats à Budapest : et les circonscriptions budapestoises où l’on a le plus voté sont celles gagnées par le Fidesz. En plus de cela, la forte participation a également été due à la mobilisation des petites villes de province, presque toutes acquises au Fidesz.

Résultats 

Les Hongrois ont deux votes. L’un pour un député local – dans chaque circonscription, le gagnant du tour unique devient député – et l’autre pour une liste nationale, autrement dit, un parti politique.

Pour les votes de listes, le Fidesz fait 49,51% (44,37 en 2014), et récupère 135 sièges pour le moment, dont 91 sur 106 de gagnés dans les circonscriptions). Le Jobbik, deuxième avec 19,61% des votes de liste, obtient 27 députés, alors que les socialistes du MSZP-P arrivent à 12,3% sur les listes, et gagnent 20 députés. Le DK de l’ancien Premier ministre socialiste Ferenc Gyurcsány a fait 5,55%, et gagne 9 députés et le LMP avec 6,87%, récupère 7 sièges. Le président du Jobbik, Gábor Vona, démissionne, ainsi que la direction du MSZP. Un candidat indépendant et un député de la minorité allemande entrent également au parlement, ainsi qu’un député du micro-parti libéral-libertaire Együtt (dont la direction démissionne).

L’opposition voyait la forte mobilisation comme un signe fort d’une vague anti-Orbán : au final, il s’agit en effet du plus haut taux de participation depuis 2002. Pour le Fidesz, il s’agit d’un “soutien incontestable, et d’une légitimité énorme”. Le Fidesz récupère la majorité constitutionnelle des deux-tiers du parlement.

“Nous avons gagné,” a dit Orbàn. C’est un véritable plébiscite pour Orbàn et sa politique économique à succès et son opposition à la vision cosmopolite de Bruxelles (migrants, métissage, multiculturalisme, destruction des identités et rejet de la religion).

Dans la circonscription de Péter Márki-Zay, le candidat sans étiquette devenu maire avec le soutien de l’opposition unie, la participation a été plus forte que la moyenne et s’est soldée par une victoire écrasante du Fidesz, en élisant János Lázár.

“Une grande bataille est derrière nous,” a déclaré le Premier ministre durant son discours de victoire tout juste avant minuit. “Nous avons remporté une victoire décisive. Nous nous sommes généré la possibilité de protéger la Hongrie”. Mais le Fidesz voit plus loin et très vite, dans la presse, on entend que “cette élection ne concerne pas que la Hongrie, mais aussi toute l’Europe”.

“Aujourd’hui, la participation ne laisse aucun doute,” a-t-il dit en taclant ceux qui prophétisaient un coup dur pour le Fidesz du fait d’une importante participation.

“Aujourd’hui, la Hongrie a connu une grande victoire”, a dit Viktor Orbán, avant de rappeler, à l’issue d’une victoire à plates coutures, que “l’on doit être humble care il y a de quoi être humble”.

“J’aimerais aussi remercier ceux qui ont prié pour nous…pour moi. Soli Deo Gratia!” a conclu le Premier ministre avant d’inviter la foule à chanter la marche de Kossuth, suivie par l’hymne national.

Et maintenant ?

Avant toute chose, il faut noter que plusieurs porte-paroles de l’opposition estiment que l’élection n’a pas été libre. Des observateur de l’OSCE ont prévu pour lundi 9 avril une conférence de presse pour parler des irrégularités qu’ils ont enregistrées. Une vingtaine d’étudiants ont tenté de bloquer un carrefour de Budapest pour protester contre les résultats. Mais aucun heurt ou trouble sérieux n’est à déplorer.

Le Visegrád Post publiera dans les jours qui viennent une analyse plus poussée des perspectives de ce début de mandat. Ce qui est certain, c’est que Viktor Orbán jouit d’une légitimité incontestable et que cette victoire va démoraliser encore plus une opposition désunie, épuisée par sa lutte longue et tenace durant des mois durant, et saignée par les démissions en série suivant les résultats du 8 avril.

 

Source : synthesenationale

mardi, 03 avril 2018

Camouflée, l’association des Etudiants musulmans de France a fait plus de 20% aux élections étudiantes de l’université d’Orléans

Publié par Guy Jovelin le 03 avril 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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L’association Étudiants musulmans de France (EMF) entre en force parmi les conseils centraux de l’université d’Orléans.

Le mardi 27 mars, plus de 18.000 étudiants étaient invités à renouveler leurs représentants au sein de ces organismes.

Parmi les diverses listes étudiantes, il y avait « Active ta fac ». L’intitulé passe-partout et l’affichette moderne avaient de quoi attirer des étudiants peu attentifs.
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Pourtant, un « détail » méritait l’attention. Dans le coin supérieur droit, l’affichette d’« Active ta fac » plaçait le logo EMF.

EMF ? La plupart des étudiants ne se sont pas intéressés à ce logo. Il s’agissait pourtant de celui des Étudiants musulmans de France qui avançaient discrètement leurs pions.

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Grâce à cette stratégie d’avancer masqué, la liste « Active ta fac » des Etudiants musulmans de France a fait plus de 20% à l’université d’Orléans.

Et sur la page Facebook des Etudiants musulmans de France, les filles ne ressemblent pas vraiment à celle qui était dessinée cheveux au vent et silhouette moulée sur l’affichette d’« Active ta fac » !

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Il faut encore savoir que l’association Etudiants musulmans de France (EMF) figure parmi les associations « partenaires » de l’UOIF, union des organisations islamiques de France elle-même liée aux Frères Musulmans.

Et voilà comment ceux-ci s’infiltrent tranquillement dans les institutions de la république laïque et maçonnique.

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Source : medias-presse.info

vendredi, 16 mars 2018

Election au PS : le cadavre bouge encore (un peu)

Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2018

Rédigé par notre équipe le 16 mars 2018 

Le 15 mars 2018 ne restera pas dans les mémoires. Pourtant quelques paumés de la politique retiendront peut-être qu’en ce jour-là, eut lieu le premier tour pour désigner le nouveau secrétaire du Parti socialiste. Un parti en état de mort clinique où les troisièmes couteaux se battent pour un trône poussiéreux et irréparable. Dans un hurlement d’agonie, c’est un fils du hollandisme qui est arrivé en tête, loin devant le protégé de… François Hollande.  

Comme toujours au PS, les résultats prennent du temps (allons savoir pourquoi…), mais les premiers éléments montrent que le premier tour à quatre pour la prise du pouvoir a failli tourner à un numéro de solo. Ainsi, Olivier Faure, patron des députés de la Nouvelle Gauche (c’est sous ce nom que les socialistes se planquent), aurait obtenu environ 45 % des suffrages, ne laissant que des miettes à se partager entre le grognard hollandais nommé Le Foll, et deux bienheureux représentants les groupuscules marxistes et vallsistes…

Une mauvaise élection sans bon candidat

Un simple coup d’œil aux candidats en lice illustre le calvaire idéologique que vit un PS dont tout le monde s’est détourné. Les mammouths n’en veulent plus et les jeunes aux dents longues comme Belkacem ont au moins compris que la place n’était pas si bonne à prendre… Dans ce bal mortuaire, c’est celui qui a la main sur les sections locales qui l’emporte – comme toujours finalement – et à ce petit jeu là, il n’y a qu’Olivier Faure qui soit efficace. Maurel et Carvounas sont quantité négligeable tandis que Le Foll n’est rien d’autre qu’un pantin médiatique qui croit que la langue de bois délivrée sur les ondes va lui faire remporter les suffrages…

La course pour le sacre est pathétique et le PS voudrait nous faire croire que près de 40 % des adhérents se sont intéressés au scrutin… Laissons la maison hollandaise le soin de faire sa communication comme elle l’entend. Crier dans le vide ne sert à rien et ne dure jamais très longtemps… Le seul suspens est désormais de savoir si Le Foll se donnera la peine d’un deuxième tour. Aime-t-il à ce point les humiliations ?

Après Hollande, Aubry et Cambadélis, ce sera donc Faure à la tête du PS. Cette généalogie aurait bonne figure dans un train fantôme ou une maison hantée, mais n’est-ce pas ce qu’est devenu le PS ? Perdre son temps dans ce parti n’a plus aucun sens. Pour croquer les meilleures place il faut avoir fait allégeance à En Marche, mais bon… Il y a toujours quelques romantiques et des idéologues qui traînent dans les coins sombres. Un coup de balai n’est plus nécessaire et qui sait si un jour ce groupuscule politique ne fera pas les beaux jours d’une majorité libérale-européiste en manque de soutien ?

 

Source : 24heuresactu

lundi, 14 novembre 2016

Europe : Élection de deux présidents « pro-russes » en Bulgarie et en Moldavie

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2016

Par le 14/11/2016 

Les Bulgares ont largement élu dimanche un président russophile, le socialiste Roumen Radev, provoquant la démission du Premier ministre conservateur Boïko Borissov.

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Roumen Radev, candidat soutenu par l’opposition socialiste et partisan d’un rapprochement avec Moscou, a remporté dimanche le second tour de l’élection présidentielle en Bulgarie avec 58,1% à 58,5% des voix, selon des sondages à la sortie des urnes des instituts Alpha Research et Gallup International.

Le Premier ministre de centre droit Boïko Borissov, dont le gouvernement n’a pas de majorité parlementaire, a confirmé dimanche soir son intention de démissionner, décision qui risque de plonger le pays dans l’instabilité et de conduire vraisemblablement à des législatives anticipées au printemps.

Un pro-russe en Moldavie aussi ?

Le message de Roumen Radev, anti-immigration et favorable à l’abandon des sanctions européennes contre Moscou, a rencontré un écho inattendu parmi les Bulgares à l’heure où l’Union européenne doit composer avec le Brexit et la montée des partis nationalistes.

En Moldavie, le deuxième tour de la présidentielle a vu un prorusse, Igor Dodon, devancer une candidate proeuropéenne, Maia Sandu, selon les résultats partiels. Durant la campagne électorale, Igor Dodon s’est engagé à freiner le rapprochement engagé ces sept dernières années entre la Moldavie et l’Union européenne.

France24

dimanche, 30 août 2015

Résultats de l'élection présidentielle de 2002 à BRACHAY :

Résultats de l'élection présidentielle de 2002 à BRACHAY :

Jean-Marie Le Pen (Front national)
54,84% (17 voix)
Jacques Chirac
(Rassemblement pour la République)
22,58% (7 voix)
Lionel Jospin
(Parti socialiste)
6,45% (2 voix)
Arlette Laguiller
(Lutte ouvrière)
6,45% (2 voix)
Noël Mamère (Les Verts)
3,23% (1 voix)
Jean-Pierre Chevènement (Mouvement des citoyens)
3,23% (1 voix)
François Bayrou (Mouvement démocrate (MoDem)3,23% (1 voix)

"Elle" a hérité tout de "lui" même de BRACHAY !!...