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jeudi, 03 janvier 2019

L’euro a 20 ans : plus dure sera la chute !

Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2019

 

le 1 janvier 2019 - par 

L’euro a 20 ans aujourd’hui mais je ne lui souhaite pas des vœux de succès, loin s’en faut.
 
J’attends son agonie, soit par la faillite d’un pays faible, soit par la sortie de la zone euro de l’Allemagne par le haut. Patience, ça vient…
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Ce 1er janvier 2019 est le 20e anniversaire de la naissance de l’euro, ce non-sens économique absolu, lancé en 1999 pour les seules transactions internationales par une poignée de technocrates illuminés, davantage guidés par leur idéologie européiste que par leurs arguments économiques.
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Ce n’est qu’en 2002 que les particuliers ont eu des euros dans leur porte-monnaie, avec un taux de change de 6,55957 francs pour 1 euro. Ce fut la grande mode des convertisseurs euros-francs pour beaucoup de Français désorientés par cette grande valse des étiquettes.
En 1999, 11 nations adhèrent à l’euro contre 19 aujourd’hui.
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Pour la petite histoire, les 1500 bébés nés le 1er janvier 1999 reçurent en cadeau un Livret A avec 100 euros chacun.
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Je ne suis pas un économiste, loin de là, mais je sais comme tout le monde qu’on ne chausse pas 19 personnes avec la même pointure.
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Le cours d’une monnaie nationale reflétant l’économie du pays, on voit mal comment l’euro peut représenter à la fois la puissante économie allemande et l’économie grecque en perdition.
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On a vu le résultat en 2010 avec la crise grecque qu’il a fallu soutenir à coups de centaines de milliards pour lui éviter la faillite et la mort de la monnaie unique.
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L’euro est donc une monnaie artificielle multinationale tenue à bouts de bras par la BCE.
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J’ai toujours considéré que l’euro était la cause de notre croissance faible, notre économie n’étant pas suffisamment compétitive pour affronter la concurrence allemande.
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L’euro est trop faible pour la puissante économie allemande et bien trop fort pour nos entreprises qui peinent à exporter. Et comme il nous est impossible de dévaluer pour baisser nos prix d’exportation, nous sommes pris au piège.
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Le résultat est incontestable. Quand l’Allemagne enregistre régulièrement un excédent commercial de 250 à 270 milliards d’euros, la France annonce un déficit de 70 milliards depuis 2002, année où sa balance commerciale était encore équilibrée.
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On nous avait promis une croissance forte, le plein emploi et une convergence des économies entre pays de la zone euro, on a obtenu tout le contraire.
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Les tableaux ci-dessous nous montrent qu’en 15 ans, la France a perdu l’équivalent d’une année de PIB.
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Sans l’euro, elle aurait obtenu une croissance cumulée supérieure de 2025 milliards d’euros. Ce qui aurait rapporté 881 milliards de recettes fiscales supplémentaires à l’État.
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Pas besoin d’être un prix Nobel d’économie pour comprendre que l’euro nous ruine.
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Entre cette monnaie unique inadaptée à l’économie française et l’immigration de masse de basse qualité, il est clair que la situation économique et sociale de la France ne peut que s’aggraver.
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dimanche, 09 décembre 2018

L’état d’urgence : solution miracle d’un pouvoir à l’agonie ?

Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2018

Rédigé par notre équipe le 09 décembre 2018

L’acte IV de la mobilisation des gilets jaunes s’est terminé en fin de soirée et l’exécutif pousse un grand ouf de soulagement. Le Palais de l’Elysée est resté intact et le dispositif de sécurité redonné aux forces de l’ordre a été si performant que Macron a pu passer une journée loin du bruit. Pourtant, malgré les forces mobilisées, de nombreuses scènes de casses et de pillages ont encore été recensées. Le chaos s’est même répandu dans plusieurs autres grandes villes montrant ainsi qu’à la désespérance des gilets jaunes à laquelle n’a pas répondu le pouvoir, viennent se greffer des milliers de racailles en manque de fric et de sensations fortes.

Trois jours durant, le pouvoir s’est prêté à un nouveau jeu dangereux. Il n’a cessé de prophétiser le pire et de sortir l’artillerie lourde (véhicules blindés notamment) en prévision d’un acte IV parisien qui devait être cinglant et peut-être même sanglant. 89 000 policiers, CRS et gendarmes ont été mobilisés sur l’ensemble du territoire dont 8 000 à Paris. De quoi encadrer beaucoup de manifestations et points de blocage, mais c’était sans compter sur la participation de plus en plus forte de groupuscules d’extrême gauche et plus encore de racailles venues se faire un peu de fric par des larcins faciles.

Du contentement dans le chaos

Près de 1 400 interpellations et 1 000 gardes à vue en ce samedi 8 décembre. C’est bien plus que le samedi précédent, mais c’est encore pas assez pour éviter les « scènes de chaos » dénoncées par l’inénarrable Anne Hidalgo. Si tout s’est bien passé en début de journée, la tension est vite montée à Paris, Toulouse ou encore Bordeaux dès le début d’après-midi. Les racailles (une espèce pas très matinale) n’ont pas voulu faire le déplacement pour rien et se sont donc mises à l’œuvre. Boutiques vandalisées et pillées, voitures brûlées, mobilier urbain détruit, des scènes identiques à celle du samedi 1er décembre, mais cette fois-ci aux quatre coins de Paris…

La contagion se répand parce qu’en faisant monter la sauce depuis des semaines, le pouvoir a réveillé une frange d’excitables et d’opportunistes qui ne cesseront leur sortie hebdomadaire dans les (beaux) quartiers de Paris que lorsqu’ils auront été sanctionnés à la hauteur de leur comportement. Dans une France où les juges ne trouvent pas grand-chose à redire sur la délinquance de rue, de nouvelles scènes de chaos sont malheureusement au programme. Ça sent le brûlé en ce dimanche matin, mais pour le pouvoir (et donc les médias), le samedi 8 décembre est à placer sous le signe de la réussite. Pourquoi ? Uniquement parce que la symbolique des images a été moins forte que la semaine précédente. Difficile de faire mieux que la prise de l’Arc de Triomphe et son saccage… Alors malgré tout le reste, la journée est réussie…

Macron a pu jouir de son Palais présidentiel en toute quiétude et peut remercier les forces de l’ordre qui ont donné une leçon à leur ministre déchargé de la stratégie. Il reste tout de même deux chantiers essentiels auxquels n’a pas répondu le pouvoir. Mater la vague montante de casseurs et répondre à la colère des gilets jaunes. Deux sujets très différents qui ont toutefois été mêlés consciemment par un pouvoir proche du point de rupture. Un pouvoir qui croyait qu’en lançant des cacahuètes empoisonnées au peuple, il obtiendrait son silence. Or, selon les chiffres officiels toujours aussi peu crédibles, la mobilisation a engagé dix milles personnes de moins que le samedi précédent. Autant dire que la levée pour un an de la hausse des taxes sur les carburants n’a convaincu personne.

Edouard Philippe et son futur ex-pote Macron veulent « l’unité nationale » pour sortir de la crise. Une bien grande expression pour après un tel échec. Ils n’auront que ce qu’ils ont semé. Les gilets jaunes restent mobilisés malgré les insultes, les manipulations et les casseurs. Ils restent mobilisés, car c’est leur vie qui est en jeu. Il n’y a pas grand-chose à attendre de la prochaine prise de parole du jeune blanc bec qui a pris l’Elysée et le rendez-vous est déjà pris pour l’acte V…

 

Source : 24heuresactu

jeudi, 15 février 2018

L’agonie de l’Italie et le grand remplacement

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2018

 
POSTÉ LE 13 FÉVRIER , 2018, 11:24
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On parle peu de l’Italie dans la grande presse française.

On en parle quand des vagues de « migrants » arrivent en Sicile ou sur l’île de Lampedusa.

On en parle quand on évoque Ventimiglia, ville sise sur le bord de la Méditerranée, près de la frontière avec la France, parce que des milliers de « migrants » remontant vers la France s’entassent à Ventimiglia.

On en parle, un peu, lorsque des élections ont lieu.
On en parlera au début du mois de mars, parce que des élections vont avoir lieu.

Le président du Conseil des ministres (c’est ainsi qu’en Italie on appelle le Premier ministre) actuel est un intérimaire de gauche qui a pris ses fonctions fin 2016 après que son prédécesseur, de gauche lui aussi, Matteo Renzi ait perdu un référendum.

Il n’occupera plus son poste fin mars, car la gauche va perdre les élections, qui verront sans doute le retour de Silvio Berlusconi, quatre-vingt-un ans, sous le regard consterné des grands médias.

On parlera donc, alors, du retour de Silvio Berlusconi et, comme pour d’autres politiciens qui déplaisent aux grands médias, on parlera de la grivoiserie du principal intéressé.

On reviendra sur des aspects financiers litigieux le concernant.

On ne parlera pas de la situation réelle de l’Italie.

Il faudrait pourtant en parler. L’Italie est dans une situation économique très difficile, et le clivage entre un Nord développé et un Sud sous-développé reste flagrant.

Mais l’Italie est surtout un pays qui meurt plus vite que d’autres pays d’Europe qui sont eux aussi en train de mourir.

Si, en France, les taux de natalité donnent une validité certaine aux analyses du grand remplacement énoncées par Renaud Camus et évoquées souvent par Éric Zemmour, en Italie la situation est plus catastrophique encore : le taux de natalité général est en effet très bas : 1,3 enfant par femme, ce qui est tellement en dessous du seuil de renouvellement des générations qu’on peut parler d’une forme de suicide collectif qui ne dit pas son nom.

Tôt ou tard, vingt personnes seront remplacées par treize personnes, puis ces treize, sauf inversion radicale des chiffres, seront remplacées par six ou sept personnes.

Les taux de natalité prenant en compte, d’un côté, les Italiens de souche et, d’un autre côté, les immigrants permettent de tracer un tableau plus sombre encore : ils sont officiellement de 2 enfants par femme pour les immigrants (et ce chiffre me semble très bas, et devrait être vérifié de près) et de 0,9 pour les Italiens de souche.

Le grand remplacement sera beaucoup plus rapide pour l’Italie que pour la France, et devrait être cataclysmique, dès lors que le capital humain des immigrants est bien plus bas que celui des Italiens de souche.

Les vagues de « migrants » qui arrivent depuis la chute du régime Kadhafi en Libye ne font que rendre une situation effroyable plus effroyable encore.

Des villages du Sud de l’Italie sont submergés par des hordes de gens totalement étrangers aux coutumes occidentales, et au comportement de prédateurs.

Ce qui se passe dans les villages du Sud se retrouve peu à peu ailleurs dans le pays.

Des violences parfois atroces sont commises.

Des actes de réponse aux violences peuvent résulter.

C’est ce qui s’est passé, il y a quelques jours, à Macerata, une petite ville autrefois paisible de la côte Adriatique.

Une jeune fille de dix-huit ans a été assassinée éviscérée, démembrée, découpée en morceaux.

Son assassin a été retrouvé. C’est un migrant venu du Nigeria. Les couteaux qui ont servi à l’éviscération, au démembrement et au découpage du corps ont été retrouvés dans le lieu où il dormait.

Cela aurait pu être un meurtre de plus, l’un de ceux dont les médias ne parlent pas.

Un jeune homme de vingt-huit ans a réagi avec colère.

Il a pris un revolver qui était en sa possession, et il est parti en voiture, pour tirer sur des migrants. Il en a blessé plusieurs sans en tuer aucun.

Il a été arrêté et a crié « l’Italie aux Italiens ». Il a été aussitôt présenté comme un abject criminel et un fasciste.
Nul ou presque n’a évoqué la jeune fille assassinée et l’assassin de la jeune fille.

Il risque fort, hélas, d’y avoir d’autres jeunes filles assassinées en Italie, et d’autres jeunes hommes qui réagissent avec colère dans les mois et les années à venir.

 

Source : les4verites