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mardi, 31 juillet 2018

Le gouvernement est incapable d’endiguer la délinquance, mais Schiappa veut verbaliser le « harcèlement de rue »

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2018

Auteur : Pierrot
contre-info

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Tout est bon pour détourner le Français des véritables problèmes de notre pays. La police déjà incapable de stopper les violences liées aux banlieues africanisées, serait désormais en mesure d’appliquer efficacement cette loi ? Cette mesurette ne changera rien au quotidien des femmes agressées dans la rue, mais elle alimentera la propagande du gouvernement en direction de la frange féministe de ces électeurs.

Comme si le principal problème des femmes dans  Dans un entretien accordé au Parisien, la ministre déplore ne pas être surprise par la vidéo publiée ce week-end dans laquelle une jeune femme est frappée au visage par un homme devant un bar parisien. « La réponse politique doit être forte et elle l’est. Dans le projet de loi qui doit être adopté en fin de semaine, il sera établi qu’importuner, suivre, menacer une femme… est interdit », affirme Marlène Schiappa.

Les premières amendes devraient être mises en automne

Dans le nouveau projet de loi, la palette de comportements condamnables sont élargis (commentaires, sifflements, regards appuyés, propos sexistes, suivre dans la rue…) seront répréhensible d’une amende de 90 € à 750 €. En cas de circonstances aggravantes, elle pourra atteindre jusqu’à 3 000 €, en plus d’un stage de civisme. « Il n’y aura évidemment pas un policier derrière chaque femme, comme il n’y a en pas un derrière chaque panneau Stop. Le temps de la promulgation de la loi, les premières amendes devraient être mises à l’automne. Il s’agit de poser un interdit social clair et de l’accompagner de pédagogie », estime Marlène Schiappa.

Source : Valeurs Actuelles

samedi, 10 mars 2018

Harcélement sexuel. Un policier de la brigade anti-frotteurs du métro : « les auteurs que j’ai interpellés sont pour une très très grosse majorité d’origine maghrébine »

Publié par Guy Jovelin le 10 mars 2018

Par  le 08/03/2018

REPORTAGE – Quatre-vingts policiers se mêlent chaque jour aux voyageurs et parcourent les lignes du métro parisien dans le but d’appréhender ces hommes qui profitent de la forte affluence pour agresser sexuellement des passagères.

(…)

Sur le quai, on peut déjà détecter les agresseurs potentiels : « Ils se positionnent en retrait, dos au mur, pour mieux repérer leur victime , décrypte Maxime, l’un des policiers. Ils peuvent laisser passer deux ou trois rames, pour soudain rentrer, ressortir, monter dans le wagon suivant… puis faire demi-tour et prendre le métro en sens inverse. Ces hommes vont rester debout, là où il y a le plus de monde, le regard dirigé vers le bas. On passe la journée à observer les gens, leur regard, les mains, le tour de la ceinture, à surveiller les comportements incohérents. Dès qu’on en trouve un bizarre, on va le filocher (le suivre, NDLR) . Avant, ces prédateurs ne se doutaient pas que des policiers pouvaient être sur eux ; aujourd’hui, ils savent. » Leurs profils ? « Tous âges – 12 à 86 ans -, tous milieux socioprofessionnels, toutes nationalités. » Costumes cravates comme joggings, mais « souvent les poches décousues, pour se caresser » . Ils sont concentrés sur le nord du réseau RATP, les lignes 2, 4 et 13. « Elles traversent les secteurs les plus criminogènes de Paris et sont empruntées par pas mal de touristes , commente Fabien, coéquipier de Maxime. Même s’il y a eu des Européens et aussi un Chinois, depuis plus de dix ans que je fais ce métier, les auteurs que j’ai interpellés sont pour une très très grosse majorité d’origine maghrébine. » Quant aux victimes, ce sont des ados comme des retraitées. Et des hommes aussi, de plus en plus.

(…)

lundi, 23 octobre 2017

#BalanceTonPorc – Mais quand la chasse aux mecs va-t-elle donc s’arrêter ?

Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2017

 

Michel Garroté
Politologue, blogueur
BalanceTonPorc-2

BalanceTonPorc-1

    
Michel Garroté  --  Sur les réseaux dits "sociaux", #BalanceTonPorc est devenu l'hystérie collective du moment. Et ce moment, ça fait un moment qu'il dure. Délation, comme sous Vichy ? Epuration, comme en 1945 ? "Chasse aux sorciers", orchestrée par des associations de sorcières, issues de l'ultra-féminisme gauchiste et ne représentant qu'elles-mêmes ? Faut-il sortir les guillotines du placard ?
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Faut-il castrer, émasculer - à titre préventif - toute personne de sexe masculin ? #MortAuPénis ? Les hommes doivent-ils désormais baisser les yeux et changer de trottoir, à chaque fois qu'ils croisent une femme dans la rue, sous peine d'être accusés de harcèlement sexuel, voire de viol ?
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Non mais on va où là ? Les réseaux dits "sociaux" se substituent-ils à la justice ? A la présomption d'innocence ? Bref, à l'Etat de Droit ? Sommes-nous confrontés à une vindicte populaire dictée par Twitter et Facebook ?
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Un autre regard sur le harcèlement :
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A ce propos, sur Boulevard Voltaire, Bertrand du Boullay écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Harceler sous-entend une insistance. Un journal comme Le Figaro assimile un commentaire sur le physique ou la tenue d’une femme à du harcèlement. Si l’on suit cette voie, on en viendrait à traiter l’humain comme une machine sans composante affective. Nouer des amitiés, entretenir des relations deviendrait interdit. Je vois dans ces avances et harcèlements le fruit d’une simple évolution de la société. La relation physique a grandement perdu tout aspect amoureux ou même de simple tendresse.
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Bertrand du Boullay : Quant à son caractère sacré, Mai 68 est passé par là et l’a balayé depuis longtemps. L’éducation au libre choix, à la normalité d’avoir des rapports comme on a envie d’une partie tennis, avec des « partenaires » variant au fil des classes si ce n’est des genres. Dès lors, certains se permettent des propositions directes. Directes, simples et bêtes ; desquelles toute cour, toute élégance et toute admiration sont absentes. De grâce, ne privons pas l’humanité de l’amour courtois. Quant au vrai harcèlement tel qu’il existe dans certains milieux professionnel tels le cinéma, la chanson, les médias et le monde politique, gardons lui notre mépris, conclut Bertrand du Boullay sur Boulevard Voltaire (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Tout le monde savait, mais chacun se taisait :
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Toujours sur Boulevard Voltaire, Michel Prade écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le silence, dans quelque affaire que ce soit, autant pour le drame que constitue un inceste dans une famille, un harcèlement sexuel dans une entreprise, que la pédophilie dans les écoles, est une lâcheté ordinaire et quotidienne pour ceux qui voient, qui savent ce qu’il en est. Le fondement de cette lâcheté réside souvent dans le fait que dénoncer pourrait avoir un impact sur la paix familiale, sociale, sur son rapport avec les autres ou bien encore sur sa réussite personnelle, ajoute Michel Prade sur Boulevard Voltaire (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Balance ton porc - La chasse aux sorciers doit s’arrêter :
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Mais donnons la parole à une femme. Sur Causeur, Diane de Bourguesdon écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : S’il fallait ne décerner qu’un seul mérite à la campagne de dénonciation #BalanceTonPorc lancée sur Twitter, ce serait celui de lever le voile sur la violence inouïe d’une certaine police de la pensée féministe en France, pour ceux qui ne l’auraient jusque-là regardée qu’avec des yeux indifférents sinon bienveillants. Il serait donc admis désormais qu’au seul titre de la peine, de la crainte ou de l’humiliation ressenties nous pourrions nous octroyer le droit de jeter à la vindicte populaire le nom de quelqu’un qui nous aurait causé du tort.
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Diane de Bourguesdon : La délation pure et simple se retrouve érigée en arme légitime saisie par les minorités opprimées, les femmes en l’espèce, et acquiert soudain ses lettres de noblesse. Avec #BalanceTonPorc, c’est comme si nous faisions table rase de notre société civilisée pour renouer avec une époque ancestrale où le droit n’existait pas et où le sacrifice expiatoire offrait l’unique voie pour endiguer la violence. Que les hommes usent souvent de leur position de supériorité auprès des femmes (en termes de hiérarchie, de situation financière, de prestige, d’âge) est un fait incontestable, que cette position de supériorité puisse précisément leur conférer un atout décisif dans le jeu de la séduction en est un autre.
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Diane de Bourguesdon : Difficile d’affirmer que toute femme y est ou y perdure entièrement indifférente. Et si les hommes exercent une certaine forme de pouvoir sur les femmes, comment à l’inverse ignorer celui immense que ces dernières détiennent sur les hommes ? Ainsi il apparaît que les relations entre les deux sexes s’accommodent fort mal d’une vision bi-chromatique, bien trop simpliste et oublieuse de la complexe réalité, conclut Diane de Bourguesdon sur Causeur (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 23.10.2017
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http://www.bvoltaire.fr/un-autre-regard-sur-le-harcelement/
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http://www.bvoltaire.fr/monde-savait-chacun-se-taisait/
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https://www.causeur.fr/balance-ton-porc-femmes-hommes-147388

 

Source : lesobservateurs

vendredi, 20 octobre 2017

Le harcèlement commence à être harcelant !

Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2017

Le harcèlement commence à être harcelant ! 

Le harcèlement commence à être harcelant !

Par Laurence Maugest, philosophe, essayiste ♦ Étrange, très étrange ce brouhaha autour du harcèlement sexuel en quelques jours seulement ! Ne sommes-nous pas encore une fois dans la société du spectacle où a pris souche d’ailleurs le phénomène Harvey Weinstein ? Évidemment, il y a des hommes dépravés et capables de sauter sur tout ce qui bouge, et susceptibles aussi de faire du mal. Évidemment, il y a des femmes traumatisées à vie par des agissements de la sorte.


Mais, si l’on réfléchit un peu, depuis combien de décennies les publicités jettent-elles en pâture les corps de la femme et de l’homme sur les murs des villes, du métro et en appâts dans les kiosques à journaux juste à hauteur du nez des enfants ? Depuis combien d’années cultive-t-on le « jouir sans entrave » et « le plaisir immédiat » ?

L’égalitarisme qui caractérise notre époque impose que tout le monde ait le droit à son plaisir. Il faut savoir repérer et analyser les conséquences de nos folies.

MM. Cohn-Bendit et Mitterrand n’ont pas été inquiétés et il s’agissait d’enfants.

Et puis, enfin, le sexe est désacralisé depuis belle lurette, cela n’a rien d’étonnant que certains ne le respectent pas.

Nier les différences entre les hommes et les femmes c’est retirer à la femme et à l’homme ce qu’ils ont de singulier et donc de précieux qui oblige au respect. L’idéologie du genre, les « Gay Pride » risquent de mettre à mal les virilités maladives, les « états limites » et nous pouvons redouter que les hommes soient de plus en plus nombreux à passer aux actes vulgaires et parfois dangereux.

Cette affaire Harvey Weinstein témoigne, encore une fois, des maux qui désintègrent notre société de façon de plus en plus alarmante.

Déconstruction des notions de collectivité, de famille, de groupe humain d’appartenance et d’enracinement

La « collectivité », mise à mal par le rejet de toute histoire, de traditions, de coutumes et de souvenirs communs, ne peut plus jouer, au quotidien, son rôle de régulateur des comportements déviants et des « choses de la vie ». L’individu qui n’a plus de place dans un groupe humain se retrouve seul, sans repère et peut, selon le cas, laisser libre cours à ses pulsions comme être profondément perdu lorsqu’il subit celles des autres.

C’est toute la société qui se trouve démunie et se réduit à mettre en place des « réponses » de substitution artificielles :

LE « GRAND DÉBALLAGE », QUI NE FAIT QU’AGGRAVER LE SYMPTÔME DE L’INDIVIDUALISME

Les plateformes Internet apparaissent comme un palliatif à l’absence de présence et de limites organiques de la société. Mais que constatons-nous ? Des témoignages qui se juxtaposent, qui signent le relativisme habituel où le geste déplacé côtoie le viol.

En tout cas cette initiative de délation qui traite les hommes de porcs fera, je le redoute, beaucoup plus de mal que de bien. « Parler » ne suffit pas ; c’est la qualité de l’oreille qui entend les confidences qui est primordiale. La répétition de la formule entendue sur les médias jusqu’à l’épuisement « Il faut que la parole se libère » trouve là ses limites. En effet, une « parole » ne sera « libérée » que si elle est comprise, en profondeur, par un autre. Mais où est l’autre ? Les familles décomposées, les médecins généralistes, les gendarmeries et les tribunaux débordés, tout cela est le signe d’une solitude énorme, d’une atomisation de la société, d’une confusion constante entre la sphère privée et l’espace public. Le caractère public et anonyme de ces réseaux favorise davantage les abus et l’exhibitionnisme qu’une relation de confiance humaine où la honte illégitime de la femme attaquée peut être dépassée sans se transformer en règlement de compte.

LA JUDICIARISATION DES RELATIONS HUMAINES DANS LA RUE, AU TRAVAIL ET JUSQU’OÙ ENCORE ?

Nous constatons que la liberté sexuelle revendiquée depuis les années 1960 nous enferme dans une relation homme/femme de plus en plus tendue qui va jusqu’à se judiciariser. Le gouvernement prévoit de renforcer une police de rue afin de pouvoir verbaliser sur le fait les dragueurs plus ou moins agressifs.

Des questions sur la faisabilité d’un tel projet ne peuvent pas être évitées. Les policiers sont déjà submergés, et souvent absents de zones interdites sur notre territoire aux représentants de la loi française.

LA JUDICIARISATION DES RELATIONS HOMMES/FEMMES EST UN SYMPTÔME GRAVE DE LA DÉLIQUESCENCE DE CE QUI FAIT UNE SOCIÉTÉ

Ce besoin de faire appel à des structures extérieures de tutelle – de la police au ministère improbable de « l’égalité homme/femme » – signe combien notre société s’est éloignée des relations humaines naturelles, de leurs régulations quotidiennes et du sens et du bon sens qui les accompagnaient. Nous souffrons d’un manque de confiance en l’autre certainement dû aux stéréotypes relationnels que l’on nous impose et au repli égotiste qui les accompagne et sera conforté, encore une fois, par cette plateforme immonde « Je balance mon porc ! ».

Laurence Maugest
16/10/17

Correspondance Polémia – 17/10/2017

mardi, 23 août 2016

Italie: Expédition punitive contre des migrants après le harcèlement sexuel qu’aurait subi une Italienne

Publié par Guy Jovelin le 23 août 2016

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Christian Hofer: Un article qui démontre à quel point les médias sont désormais des organes de propagande: On se souvient que pour l'agression des Maghrébins à l'encontre des Corses, ce même 20 Minutes.ch utilisait le terme... "rixe", terme qui dédouane les Africains d'une quelconque culpabilité ou de leur agressivité. Ici l'article est à sens unique et cela permet de diaboliser les "méchants" Italiens qui seraient fautifs de défendre l'une de leurs filles.

On notera le vocabulaire soporifique utilisé pour tromper le lecteur lambda et ainsi éviter de parler de harcèlement: "L'une des victimes aurait été trop pressante envers une jeune femme du coin." Bien sûr, ces migrants sont connus pour être simplement "trop pressants". On connaît très bien leur respect de la femme européenne à présent! Le journaliste semble l'oublier ou nous prend directement pour des imbéciles!

D'autre part, il est clair que si le 20 Minutes publie cette nouvelle, c'est que ce média a aussi connaissance de toutes les agressions que les Européens et les Chrétiens subissent mais qu'il ne veut guère les publier!

Enfin, ces mêmes journalistes ne se posent évidemment pas la question de la présence de migrants égyptiens sur le sol européen. Il serait très délicat de prétendre que ces gens sont des réfugiés et encore plus d'avouer qu'ils profitent des largesses de l'Europe tout en multipliant les crimes!

Une expédition punitive d'une grande violence a eu lieu samedi près de Catane, en Sicile. Trois Egyptiens ont été blessés, dont un grièvement. L'acte a été filmé.

Une enquête est ouverte. D'après les autorités, une précédente altercation survenue quelques jours auparavant serait à l'origine du guet-apens. L'une des victimes aurait été trop pressante envers une jeune femme du coin. Pour le Ministère public, il n'y a pas un véritable mobile d'ordre racial, mais cela montre le climat difficile de cohabitation entre les populations locales et les résidents du centre.

Source et article complet via le Facebook du PNS