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lundi, 03 septembre 2018

APPEL DE CARL LANG AUX MILITANTS, ÉLUS ET SYMPATHISANTS DE DROITE NATIONALE ET DE L’EX FRONT NATIONAL.

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2018

Après avoir exclu en 2015 son père, fondateur et président d’honneur du FN, Marine Le Pen vient aujourd’hui de liquider le Front national. 
La boucle de l’imposture, du parricide, des reniements et des allégeances honteuses est bouclée. Il aura suffi de sept années à Marine le Pen pour détruire l’héritage politique et le mouvement dont elle a hérité en 2011. 


 Appel de Carl Lang aux militants, élus et sympathisants de droite nationale et de l’ex Front National.
Le mythe de la dédiabolisation et la quête frénétique de la normalisation médiatique ont transformé le parti de Marine Le Pen en composante docile et caricaturale du système politique en place auquel elle n’a cessé de donner des gages de soumission. 
Si l’on ajoute à tout cela les changements de cap à répétition sur les questions européennes, la gauchisation démagogique du discours, le lamentable et honteux débat présidentiel face à Macron, la gestion calamiteuse et caractérielle de ses ressources humaines, la montagne de dettes du Front national et les renvois multiples devant le tribunal correctionnel, on constate qu’elle a non seulement transformé l’extraordinaire boulevard électoral qui s’offrait à elle en 2017 en chemin de traverse, mais surtout qu’elle a réussi là où toute la classe politico médiatique avait échoué depuis 40 ans : enterrer le Front national. Jean-Marie Le Pen a été le fondateur du Front national, Marine Le Pen, sa fille, en est la fossoyeuse. 
Dans cette situation, et quelles que soient les désillusions et les déceptions compréhensibles de nombreux militants de l’ancien FN, l’heure n’est pas aux atermoiements, à la réserve ou aux renoncements. Il est au nécessaire engagement. 
J’appelle les militants, les élus et les sympathisants de la droite nationale de conviction qui ne se reconnaissent pas dans le nouveau parti de Marine Le Pen à rejoindre le Parti de la France. Ensemble, au service de la France et du peuple français, nous porterons avec fierté les valeurs et les principes de la droite nationale, populaire et sociale. Plus que jamais notre combat de résistance et de reconquête continue ! 



Communiqué de presse de Carl Lang  
Président du Parti de la France

mardi, 28 août 2018

Rentrée… politique !

Publié par Guy Jovelin le 28 août 2018

 
 
 
 
 

27 août 

 
   
 
 
 

Rentrée…

 
… politique !
   
  • Une gauche socialiste défaite, sans projet, sans stratégie, sans chef, durablement discréditée et en voie de marginalisation.
  • Une droite atomisée, parcourue de tellurismes négatifs, où culminent les ambitions personnelles, se brouillent les lignes politiques et s’est depuis longtemps perdu le sens même du mot conviction.
  • Un Rassemblement National somnambule égaré dans ses rêves normalisants figé en lui-même par l'inconsistance de sa présidente, exsangue financièrement et cerné par les affaires.
  • Une galaxie macronienne fragilisée et invertébrée qui ne se tient debout que par la seule force des Institutions républicaines.
Face à cette lise politique tout entière vouée à la pérennisation du Système, la France Insoumise et l’extrême gauche avancent leurs pions en toute sérénité, profitant du vide et de l'absence, et s’apprêtant à exploiter tous les échecs du pouvoir.
Pendant ce temps, des centaines de nouveaux migrants franchissent chaque jour nos portes (une déferlante qui ne peut aller qu'en se renforçant comme le montre une note secrète du Quai d'Orsay signée par la ministre des Affaires européennes Nathalie Loiseau, publiée par l’Express et particulièrement révélatrice du laxisme immigrationniste), et la gangrène salafiste gagne du terrain.
La Droite nationale ne peut rester immobile. Le temps nous est compté et la montée en puissance des néo communistes de Mélenchon, idiot utile des révolutionnaires internationalistes et, au final fourrier de l'islamisme ne peut demeurer sans réponse politique.
Les douze mois qui viennent seront cruciaux et décisifs. Le Parti de la France doit les mettre à profit pour rassembler l’ensemble de notre camp - et au-delà - afin d'offrir enfin au Pays une perspective de changement radical par le relèvement de l’État national.
C'est maintenant que tout se joue. Plus une seconde à perdre… Bougeons-nous !

 

par Jean-François  Touzé  
membre du bureau politique du PdF

samedi, 02 juin 2018

APPEL DE CARL LANG AUX MILITANTS, ÉLUS ET SYMPATHISANTS DE DROITE NATIONALE ET DE L’EX FRONT NATIONAL.

Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2018

Après avoir exclu en 2015 son père, fondateur et président d’honneur du FN, Marine Le Pen vient aujourd’hui de liquider le Front national. 
La boucle de l’imposture, du parricide, des reniements et des allégeances honteuses est bouclée. Il aura suffi de sept années à Marine le Pen pour détruire l’héritage politique et le mouvement dont elle a hérité en 2011. 


 Appel de Carl Lang aux militants, élus et sympathisants de droite nationale et de l’ex Front National.
Le mythe de la dédiabolisation et la quête frénétique de la normalisation médiatique ont transformé le parti de Marine Le Pen en composante docile et caricaturale du système politique en place auquel elle n’a cessé de donner des gages de soumission. 
Si l’on ajoute à tout cela les changements de cap à répétition sur les questions européennes, la gauchisation démagogique du discours, le lamentable et honteux débat présidentiel face à Macron, la gestion calamiteuse et caractérielle de ses ressources humaines, la montagne de dettes du Front national et les renvois multiples devant le tribunal correctionnel, on constate qu’elle a non seulement transformé l’extraordinaire boulevard électoral qui s’offrait à elle en 2017 en chemin de traverse, mais surtout qu’elle a réussi là où toute la classe politico médiatique avait échoué depuis 40 ans : enterrer le Front national. Jean-Marie Le Pen a été le fondateur du Front national, Marine Le Pen, sa fille, en est la fossoyeuse. 
Dans cette situation, et quelles que soient les désillusions et les déceptions compréhensibles de nombreux militants de l’ancien FN, l’heure n’est pas aux atermoiements, à la réserve ou aux renoncements. Il est au nécessaire engagement. 
J’appelle les militants, les élus et les sympathisants de la droite nationale de conviction qui ne se reconnaissent pas dans le nouveau parti de Marine Le Pen à rejoindre le Parti de la France. Ensemble, au service de la France et du peuple français, nous porterons avec fierté les valeurs et les principes de la droite nationale, populaire et sociale. Plus que jamais notre combat de résistance et de reconquête continue ! 



Communiqué de presse de Carl Lang  
Président du Parti de la France

mardi, 29 mai 2018

Italie : Le Système plus fort que le pot pourri populiste.

Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2018

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Jean-Francois Touzé

Membre du Bureau politique du Parti de la France. Directeur de la revue Confrontation.

Le seul but légitime du combat politique est l'accession de ceux qui le mènent aux responsabilités du pouvoir.

Pour le Parti de la France, seul l'exercice, par la droite nationale, de la conduite de l’État permettra à notre Pays de se relever et de se reconstruire.

Pour parvenir à cette fin, aucune stratégie ne peut être exclue et le pragmatisme doit être notre loi tactique. A la condition de ne jamais dévier de notre ligne et de n’agir que dans la cohérence du projet.

Certains, en France comme dans toute l'Europe, suivent des chemins différents.

Les partis du Système, bien sûr, pour qui la « gouvernance républicaine » n'est que prétexte aux ambitions personnelles et, pour les nouveaux venus, volonté de s’accaparer à leur tour d’une part du butin.

Quelques uns (ou quelques unes), convaincus que la métapolitique et la formation des élites constituent la voie royale qui permettra, le jour venu, de dresser des passerelles (oubliant que les passerelles sont avant tout faites pour qu’on leur marche dessus), remettent à plus tard l’engagement militant et électoral, comme si le temps ne nous était pas compté.

D'autres, enfin, dont la sincérité des convictions ne saurait être mise en cause, parent au plus pressé estimant que mieux vaut être en capacité de mettre en œuvre une petite partie de leur programme plutôt que d'attendre indéfiniment de pouvoir en réaliser la totalité.

C'est le cas de nos amis italiens de la Ligue.

En s’accordant sur un programme de gouvernement avec le mouvement cinq étoiles, patchwork improbable de comiques troupiers, de néo écolos et d'anciens gauchistes, Matteo Salvani et les siens faisaient le pari de se servir de leurs alliés du M5S et du nouveau président du conseil désigné par eux, Guiseppe Conte, pour avancer sur la voie de la maîtrise des dépenses publiques, et surtout de la lutte contre la submersion migratoire.

Louables objectifs. Mais l’expérience montre que, chaque fois qu'un mouvement identitaire et national s'est allié avec un autre parti, de droite, de gauche ou d'ailleurs dans une coalition gouvernementale, il s'est embourbé dans le jeu des compromis politiciens comme de la dépendance européiste, et que les avancées promises se sont réduites à quelques gestes symboliques sans portée réelle. L'hétérogénéité de l'alliance italienne porte en elle les germes de l’échec à venir.

Ce n’est pas un hasard si la Commission de Bruxelles est restée plus que prudente après la nomination officielle de Conte par le très systémique président de la République italienne Sergio Mattarella, tandis qu'Emmanuel Macron tendait la main au nouveau gouvernement.

Tout portait dès lors à croire que, dans ces conditions, le printemps italien de l'identité, de la solidarité sociale dans le dynamisme économique, de la volonté anti migratoire et, sur le plan international, du rapprochement avec la Russie ne sera qu’une brève lueur dans la nuit hivernale.

La démission de Conte ce dimanche soir et la probable nomination d'un gouvernement technique avec un Président du Conseil passé par le FMI ne viennent que renforcer notre conviction : il n'est plus temps de transiger avec le Système qui trouve de toutes façons toujours les portes de sortie de crise. Il ne faut pas composer avec lui. Il faut l’abattre, le détruire et lui substituer l’Etat national. Le chemin sera plus long. Mais il sera celui de la vraie victoire.

Le Parti de la France considère que la Droite nationale, si elle doit, un jour, s'inscrire dans un jeu d’alliance pour accéder au pouvoir, ne pourra le faire qu'en situation de force. La situation dramatique de notre France et de notre vieille Europe impose, en effet, l'application d'un programme radical de salut national qui ne peut être que global.

jeudi, 21 décembre 2017

CARL LANG UN CHEMIN DE RÉSISTANCE

Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2017

jeudi 21 décembre 2017par Pierre Picace

Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, tel pourrait être le sous-titre du livre d’entretiens entre Carl Lang, Président du Parti de la France (PdF) et Jean-François Touzé. L’ex secrétaire général du Front national, qui a pris dès 2008 ses distances avec Marine Le Pen, y expose le sens de son engagement. Il y affirme qu’il est possible de faire renaître une véritable Droite nationale, sociale, populaire, identitaire et européenne capable de défendre la France et ses valeurs de civilisation, sans en dissimuler la difficulté, tant l’omniprésence du FN dans les médias et l’opinion occulte tout autre message.

En prenant la tête du Front national, Marine Le Pen ambitionnait d’en faire un instrument pour sa conquête du pouvoir. On allait voir, ce qu’on allait voir ! Dehors les vieilles badernes, à commencer par son vieux père de Président d’Honneur, qui selon elle, prenait un malin plaisir à freiner son ascension grandiose. Las, trois fois hélas, que reste-t-il, six ans après de ce « désir d’avenir ». Peu de chose en vérité. Un groupe de parlementaires européens qui se délite au gré des ambitions des uns et des autres (Le point d’orgue pourrait être atteint, si d’aventure les députés du FPÖ décidaient, dans un souci de respectabilité, à quitter le groupe l’Europe des nations et des liberté après son entrée dans le gouvernement autrichien.).
Un tiers des personnes élues aux municipales et régionales ont déjà mis les pouces ou scissionné mettant à mal la fameuse implantation synonyme, selon Marine Le Pen et son ex bras droit Philippot, de la professionnalisation du parti. A l’Assemblée, celle qui se voulait la principale opposante au macronisme en est encore à chercher sa place, si jamais, elle la trouve.
Ne parlons même pas des affaires judiciaires, elles sont si nombreuses et variées, que même le Petit Poucet en perdrait son chemin. Quant aux finances : le congrès dit de la refondation et du changement de nom, il s’apparente plutôt à celui de la dernière chance avant le dépôt de bilan. La disparition du néo-FN, maintenant que Marine le Pen sait qu’elle ne sera jamais Présidente de la République, serait la meilleure des choses qui puisse arriver à la Droite national, si elle veut se relever du champs de ruines idéologiques où l’a laissée l’expérience Marine le Pen/Philippot. Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, c’est en quelque sorte le message que porte ce livre d’entretiens.

UN CHEMIN DE RÉSISTANCE
Carl Lang
190 pages
20,00 € (+ 4,00 € de port)
Cahier photo
Les Bouquins de Synthèse nationale
ISBN 978-2-36798-043-0

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Source : national-hebdo