Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 08 novembre 2018

Hongrie : soutien aux familles, pas à l’immigration

Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2018

 le

Hongrie : soutien aux familles, pas à l’immigration

Katalin Novák, secrétaire d’Etat à la Famille au sein du « ministère des capacités humaines », a dévoiléle nouveau questionnaire de Consultation Nationale qui va être envoyé aux foyers hongrois. Le titre : « Défense de la famille ». Chaque question est précédée d’un bref argumentaire donnant la position du gouvernement.

La première des dix questions a immédiatement suscité la colère de Bruxelles :

« Etes-vous d’accord qu’on ne doit pas remédier au déclin de la population par l’immigration, mais par un soutien accru aux familles ? »

L’argumentaire souligne que « les bureaucrates de Bruxelles » veulent résoudre le problème du déclin démographique par l’immigration, un « mécanisme permanent d’installation » et une « Agence européenne d’immigration ».

Parmi les autres questions :

  • la maternité doit-elle être reconnue comme un emploi à plein temps pour les femmes élevant au moins quatre enfants,
  • le droit de l’enfant à un père et à une mère doit-il être inscrit dans la Constitution,
  • les jeunes qui fondent une famille, et les membres de la famille qui s’occupent de leur enfant malade, doivent-ils être davantage soutenus,
  • la protection du développement intellectuel et physique des enfants est-elle une valeur que l’État doit défendre.

L’argumentaire de la dixième question dénonce les coupes du soutien aux familles par la coalition socialiste-libérale de 2002 et la question demande s’il faut garantir une « protection des deux tiers », à savoir inscrire dans la Constitution le soutien aux familles.

 

Source : lesalonbeige

dimanche, 19 août 2018

Colonies de vacances : les familles ne veulent plus de mixité sociale

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2018

Par  le 19/08/2018

 
L’idéal du brassage social des jeunes, à travers des expériences communes et joyeuses, a été longtemps porté par les mouvements d’éducation populaire, les syndicats ouvriers et les Eglises. Leur affaiblissement appelle de nouvelles options pour « faire France ensemble », estime le sociologue Jean Viard, spécialiste des temps sociaux, mais aussi de l’aménagement du territoire, de l’agriculture et des comportements politiques.

En tout cas, le déclin, depuis plusieurs générations, est spectaculaire. Quelles en sont les raisons ? Elles sont nombreuses et ne sont pas toutes mauvaises, même si la principale explication – sur laquelle je reviendrai – tient à une réticence croissante envers l’idéal du « vivre-ensemble ».

 

Le Monde via fdesouche

vendredi, 13 avril 2018

Un réfugié mineur peut demander à faire venir sa famille (Cour de justice de l’UE)

Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2018

Par  le 12/04/2018

 

Les réfugiés qui entrent seuls dans l’Union européenne en tant que mineurs peuvent demander à être réunis avec leurs familles, et cela même s’ils ont atteint la majorité lorsque le processus arrive à son terme, a décidé aujourd’hui la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE).

La CJUE statuait sur un cas concernant les Pays-Bas, où les autorités ont rejeté la demande d’une Erythréenne arrivée dans l’UE alors qu’elle était mineure, qui souhaitait que sa famille obtienne une permis de séjour provisoire. […]

 

Le Figaro via fdesouche

jeudi, 01 mars 2018

Après avoir détruit la famille, il ne reste qu'à achever les vieux

Publié par Guy Jovelin le 01 mars 2018 

Gabrielle Cluzel dans La Nef montre que la destruction de la filiation ne nuit pas seulement aux jeunes. Elle isole aussi les vieux, désormais abandonnés dans des établissements en attendant qu'ils meurent :

Couverture301"Les salariés des EHPAD se sont mis en grève, dénonçant un manque de moyens ayant pour conséquence un travail bâclé et dans l’urgence. Fruit du hasard – mais le hasard fait parfois froid dans le dos –, concomitamment au mouvement des EHPAD, le débat sur l’euthanasie était remis sur le tapis.

Pour calmer le jeu, Agnès Buzyn a décidé de débloquer 50 millions d’euros. Trop peu, selon les professionnels. Où trouver le reste ? Quel fond de tiroir racler ? On aurait bien quelques idées de subventions baroques – pour rester polies – à réaffecter, mais celles-là seront aussi très vite « mangées ». Parce que l’on a négligé le seul investissement durable : la famille. Et si la détruire inlassablement, méticuleusement, pièce par pièce, au bulldozer où à la lime à ongles selon les occasions, avait été, y compris sur ce plan-là, une très mauvaise idée ?

Bien sûr – éclatement géographique, exiguïté des logements, allongement de la durée de vie obligent – il y a longtemps que les générations, sauf exception, ne cohabitent plus dans la même maison. Naturellement, j’ai lu comme vous Poil de Carotte, Génitrix, Vipère au Poing… et sais qu’il est des familles où l’on s’éreinte plus que l’on s’étreint. Mais enfin la plupart des parents, tout maladroits qu’ils soient, aiment leurs enfants, et réciproquement. Et lorsque les autres visitent les uns, c’est un renfort précieux : un repas qu’ils vont accompagner, un coussin mal installé qu’ils vont remonter, des angoisses qu’ils vont dissiper, de vieilles histoires cent fois rabâchées qu’ils vont écouter, des doléances qu’ils vont adroitement relayer. Et tout cela… bénévolement. Permettant ainsi aux soignants de se consacrer aux autres patients. Mais pour cela, encore faut-il que le mot parent ait un sens. Un sens qui ne soit pas fluctuant, aux contours mal définis. [...]"

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

mardi, 30 septembre 2014

Nouvelle attaque socialiste contre la famille

 Publié par 

Guy Jovelin

Communiqué de Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France

Le gouvernement socialiste, face au déficit abyssal des comptes de la Sécurité sociale, a pour projet de réduire le congé parental des femmes qui passerait de 36 à 18 mois, sous un faux-prétexte de parité : celui des hommes - qui y ont très peu recours - augmenterait de 6 à 18 mois. La prime de naissance est également dans le viseur puisqu'elle ne serait versée que sous des conditions de ressources excluant les Français qui travaillent et seulement pour le premier enfant.

Alors que le poids de l'immigration est la principale cause de la faillite de notre système de protection sociale, c'est aux familles françaises que François Hollande s'en prend une nouvelle fois en rabotant les quelques aides de l'État qui leur sont accordées. Il n'est pas saugrenu de se demander si la prochaine étape ne sera pas la mise en place de la politique de l'enfant unique comme aux pires heures de la Chine communiste.

Cet acharnement contre la famille traditionnelle n'est évidemment pas due au hasard, la volonté de nos gouvernants est clairement de favoriser la substitution du peuple français par une immigration de peuplement et de remplacement. 

A l'inverse, le Parti de la France s'engage à relancer la natalité française en accordant un statut juridique aux mères de familles, en réservant les aides sociales et familiales exclusivement aux Français, en supprimant le droit du sol, en mettant en place une législation protégeant la vie de la conception à la mort naturelle.