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samedi, 30 juin 2018

FIERS D'ETRE PIEDS NOIRS

Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2018

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Le 30 juin 1962 à 10 h du matin, malgré l'opposition de de #Gaulle, le général #Franco donne l'ordre à ses capitaines d’embarquer les pieds-noirs, faisant fi de la pression imposée par la France.
Franco prévint de Gaulle qu’il était prêt à l’affrontement militaire pour sauver ces pieds-noirs abandonnés sur les quais d’#Oran et livrés à la barbarie du #FLN.
De Gaulle est également informé que l’aviation et la marine de guerre espagnoles sont en route jusqu’aux eaux internationales, face à Oran.
Finalement, face à la détermination du général Franco, la France cède et le samedi 30 à 13h00 ces deux bateaux espagnols peuvent embarquer 2200 pieds-noirs, 85 voitures et un camion.
Lors de l’embarquement, les courageux capitaines espagnols durent s’opposer à la montée sur leurs bâtiments d’une compagnie de #CRS qui voulaient lister tous les pieds-noirs embarqués à destination de l’Espagne.
Les capitaines espagnols avouèrent n’avoir pas compris l’attitude arrogante des autorités françaises dans une situation aussi dramatique.
Contre vents et marées, finalement à 15h30, les quais d’Oran, noirs de monde, se vidèrent. Les bateaux espagnols prirent enfin la mer malgré une importante surcharge.
De l’arrivée jusqu’au départ des ferrys espagnols, une liesse, joie et larmes, s’était emparée des pieds-noirs aux cris de « Viva Espana ! » et « Viva Franco ! » ...

 

mardi, 31 octobre 2017

Lorsque Barcelone acclamait le Général Franco

Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2017 

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Comme chacun est sensé le croire (pour respecter les dogmes de la pensée dominante), la Catalogne aurait terriblement souffert du franquisme...

Pourtant, lorsque le Général Franco s'est rendu en 1970 à Barcelone, soit plus de 30 ans après la fin de la sinistre république de triste mémoire et son accession au pouvoir, les Catalans ne semblaient pas lui en tenir beaucoup rigueur si l'on en juge par le reportage ci-dessus.

A moins qu'il s'agisse de figurants ou que, derrière chaque habitant de la capitale de la Catalogne venu acclamer la Caudillo, une baïonnette soit sournoisement pointée. Mais sur le film, on ne les voit pas.

 

Source : synthesenationale