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samedi, 28 avril 2018

Grigny (91) : un journaliste d’Europe 1 détroussé à la Grande Borne, il était venu illustrer le « plan Borloo » pour les banlieues

Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2018

 

Il était venu illustrer le «plan Borloo» pour les banlieues. L’un des deux voleurs a été interpellé et sera jugé en juillet prochain.

Le reportage sur le « plan Borloo » a tourné court. Ce mercredi, vers 13 heures, un journaliste pigiste de la station de radio Europe 1 a été pris à partie par deux jeunes. Il s’était garé place aux Herbes, en plein cœur du quartier de la Grande-Borne à Grigny (Essonne), quand ils sont venus lui parler. Mais la discussion tourne rapidement à l’agression verbale. Ils lui demandent ce qu’il fait là et le questionnent sur son matériel. Ils finissent par le menacer et lui volent ses clés de voiture ainsi que la veste dans laquelle se trouvait son portefeuille.

 

Le Parisien via fdesouche

lundi, 26 mars 2018

Une racaille de la cité du terroriste de Trèbes cogne un journaliste

Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2018

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Une racaille de la cité du terroriste islamiste Radouane Lakdim donne un violent coup de poing à un journaliste venu faire un reportage, après lui avoir lancé : « Cassez-vous ou je vais vous tuer là ! Casse-toi ou je vais t’éclater ! »

 

 

Source : France 3, samedi 24 mars 2018, 12h00

 

 

Source : France 3, samedi 24 mars 2018, 12h00

vendredi, 28 avril 2017

Nantes. Un journaliste de Breizh-Info agressé lors d’une manif contre Macron et Le Pen

Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2017

Nantes (Breizh-Info.com) – La liberté de la presse, si souvent bafouée ces derniers jours, est chaque jour un peu plus menacée. Alors qu’il couvrait la manifestation contre le FN et Emmanuel Macron, Nicolas Faure, journaliste pour Breizh-Info, a été lâchement agressé par plusieurs individus au visage masqué. Voici son témoignage.

Notre journaliste jeté au sol et roué de coups, son matériel cassé

Agression journaliste Nantes manif anti FN

« J’ai suivi la manifestation sans souci pendant 20 minutes. C’est en bas de la rue de Strasbourg que les choses se sont gâtées. Alors que je me suis éloigné pour prendre un plan large de la manifestation, un groupe de 4-5 personnes s’est détaché du cortège. Entièrement masqués, les individus étaient clairement venus là pour en découdre avec moi. Après une apostrophe très virulente liée à mon appartenance à Breizh-Info, les individus m’ont mis à terre et frappé au sol. Ils ont pris ma caméra et l’ont jeté au sol violemment avant de s’emparer de la carte SD et de s’enfuir. La BAC est arrivée mais n’a pas pu interpeller mes agresseurs. Il y en a pour plus de 1 500 € de casse ! C’est dramatique pour mon activité de journaliste. J’ai porté plainte et j’espère que les coupables seront punis. »

Un acte grave contre la liberté de la presse

« J’ai commencé à travailler pour Breizh-Info depuis peu de temps. Ce n’était que mon troisième reportage en manif, je m’en souviendrai !
Cela m’inquiète d’autant plus que cet acte s’inscrit dans un cadre plus global de pourrissement du climat dans le monde de la presse. Qu’on attaque un journaliste de cette manière devrait inquiéter tous les démocrates. Mais il en faudra plus pour me décourager ! »

Agression journaliste Nantes manif anti FN

Une manifestation marquée par la faible participation

Avant cette agression lâche et violente, la manifestation avait rassemblé près de 350 personnes dans les rues de Nantes à partir de 15h. Un nombre relativement peu élevé qui laissera d’ailleurs un arrière-gout amer aux participants. Au rendez-vous devant la FNAC, les manifestants décident malgré tout de s’élancer dans les rues de Nantes. Derrière deux banderoles appelant au « soulèvement » et à « lancer les pavés », les manifestants égrènent plusieurs slogans contre Marine Le Pen et Emmanuel Macron.
Après une brève tentative d’incursion dans Bouffay – vite bloquée par les CRS -, le cortège repart le long du cour des 50 otages jusqu’à la préfecture puis atteint le bas de la rue de Strasbourg sans incident notable. A cet instant notre journaliste se fait agresser. La manifestation poursuit son chemin, tentant un deuxième tour du même circuit. Mais arrivés à proximité de la préfecture, la police a dispersé la manifestation en usant de gaz lacrymogènes.
Une interpellation a eu lieu. Un homme, passablement ivre selon le témoignage d’un autre de nos journalistes présent sur les lieux, a jeté une canette sur des policiers. Il a été placé en garde à vue.

Les agresseurs de notre journaliste sont, eux, toujours en liberté.

 

Source : breizh-info

mardi, 19 janvier 2016

« Jungle » de Calais : vidéo de l’agression au couteau de journalistes étrangers

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2016

18 janvier 2016 par Pierrot


La vidéo circule pas mal sur internet, et ça ne plait pas aux gauchistes qui demandent aux auteurs de la supprimer pour ne pas attiser la haine… Ces traîtres à leur pays veulent cacher la réalité aux Français pour encourager l’invasion migratoire !

Trouvé sur Nordlittoral.fr : Quarante et une secondes. 41 secondes de vidéo qui font le tour de la toile depuis samedi. La reporter d’images néerlandaise, Maaike Engels, a mis en ligne sur YouTube les images de l’agression dont elle a été victime vendredi avec le reporter Teun Voeten, spécialisé des conflits de guerre, pendant le tournage de leur documentaire « Calais : Welcome to the jungle ». Ce dernier a notamment travaillé pour le New York Times Magazine et Amnesty International (ci-dessous).

Pendant l’agression, elle continue de filmer

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samedi, 17 mai 2014

Des hommages funèbres oui, mais pas pour tout le monde !

Publié par Guy Jovelin

mali_4Une jeune photographe indépendante a été tuée dans une embuscade dans la région de Bouar, près du Cameroun et du Tchad.
Sa mort a été annoncée mardi par l’Élysée suite à quoi une minute de silence a été observée mercredi à l’Assemblée nationale. Camille Lepage est la troisième journaliste à mourir en Centrafrique ces dernières semaines . François Hollande est donc venu se recueillir pendant une demi-heure auprès de la dépouille de la journaliste française .

Or dans la nuit du 7 au 8 mai dernier, un huitième soldat français trouvait la mort au Mali. Si de nombreux Français se sont retrouvés au pont Alexandre III ce lundi 12 mai pour lui rendre un dernier hommage lors du passage de son cortège funéraire, on notera encore une fois l’absence du pantin qui sert de chef des armées .

Il ne s’agit pas ici de diminuer l’importance de la mort de la jeune femme qui menait un reportage sur les milices animistes et chrétiennes, il s’agit simplement de noter une fois encore le mépris de ce simulacre de chef d’Etat pour son armée !

« Ce drame montre une nouvelle fois combien est dangereux le métier des journalistes qui souvent mettent leur vie en péril pour continuer à nous informer », a souligné à la tribune le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone. A quand d’aussi jolies phrases lors d’hommages aux soldats morts en Opex ?!

Marie de Remoncourt

Source : http://www.contre-info.com/