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mardi, 18 décembre 2018

Poutine déclare la guerre au rap : « il corrompt la société »

Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2018

« Quand tu ne peux pas arrêter quelque chose, il faut en prendre le contrôle ». C’est la troisième voie choisie par Vladimir Poutine pour affronter le binôme drogue-concert rap.

Le maître du Kremlin, à l’occasion du conseil consultatif sur la culture et les arts, s‘est alarmé sur la croissante progression de la popularité du rap parmi la jeunesse russe. Or le rap estime-t-il « se base sur trois piliers : le sexe, la drogue et la contestation. De tout cela, la drogue est le plus préoccupant. C’est la voie ouverte vers la corruption de la société ».

Aussi, sans vouloir censurer le rap, il a en revanche l’intention d’en maîtriser la diffusion. Il a donc demandé aux responsables culturels de trouver un moyen pour contrôler plutôt qu’interdire cette musique populaire. A travers notamment des subventions publiques destinées à aider les chanteurs « à corriger » leurs textes.

Depuis longtemps en Russie des groupes de volontaires et des associations de parents se sont mobilisés contre certaines expressions musicales qui « ont une influence négative sur la société et sur les plus jeunes ». Ce que démontrent certaines chansons de rappeurs qui font l’apologie ouverte de la drogue et du suicide.

La guerre contre le rap est ouverte au pays des Tsars !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

lundi, 05 février 2018

Des armes en pleine rue pour le tournage d’un clip de rap

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2018

 
pistolet clip de rap toulouse
Un groupe d’individu en pleine rue, les armes à la main, en pleine soirée dans le quartier des Argoulets. Ce n’était pas le tournage d’un film mais bien d’un clip de rap auquel ont été confrontés les habitants et les policiers, vendredi 2 février dernier à Toulouse. Une information relevé par La Dépêche. 

Démonstration de force de la part d’une dizaine de personnes à Toulouse, vendredi soir. Le tournage d’un clip de rap a été écourté par les policiers après avoir semé l’émoi dans le quartier des Argoulets à Toulouse. Vers 22 heures, de nombreux témoins ont aperçu ce groupe d’individu, les armes à la main rodant dans les rues. Après avoir alerté les policiers, inquiets des potentielles intentions, un grand nombre de fonctionnaires ont été contraints de se rendre sur place.

Une dizaine de personnes ont été contrôlés. Seules une personne a été placé en garde à vue pour détenir un pistolet à grenaille. Un second individu a fait l’objet d’une procédure simplifiée, lui qui était en possession d’un pistolet à plomb et à grenaille. Le tournage du clip n’avait aucune autorisation légale.

Plusieurs clip de rap sauvage ont déjà crée la polémique

Ce n’est pas la première fois que des tournages clandestins s’organisent avec l’exposition d’armes à feu. À Nice, en 2012, un groupe de rap niçois s’était illustré en déployant un drapeau algérien frappé du croissant sur le toit d’une église et tirant en l’air à coup de kalachnikov. Plus récemment, le rappeur Sofiane s’était permis de bloquer l’autoroute A3 en Seine-Saint-Denis, à deux reprises. Le parquet de Bobigny a requit, le 22 janvier dernier, une peine de trois mois de prison ferme, pour entrave à la circulation. Dans le clip visionné 32 millions de fois sur internet, on le voit attablé à une table de bistrot sur les voies de l’autoroute, consommant un café.

La rédaction d’Infos-Toulouse

 

Source : infos-toulouse

dimanche, 15 mai 2016

Fan de rap, Marion Maréchal-Le Pen écoute Sexion d'Assaut, Youssoupha et Maître Gims

Publié par Guy Jovelin le 15 mai 2016

La députée frontiste du Vaucluse a détaillé ses goûts musicaux dans la revue "Charles". 

Marion Maréchal-Le Pen participe au lancement de la campagne pour les régionales du candidat FN en Rhône-Alpes Christophe Boudot, le 6 juin 2015 à Ars-sur-Formans (Ain).
Marion Maréchal-Le Pen participe au lancement de la campagne pour les régionales du candidat FN en Rhône-Alpes Christophe Boudot, le 6 juin 2015 à Ars-sur-Formans (Ain). (MAXPPP)

Mis à jour le , publié le

Quel est le point commun entre Michel Sardou et Youssoupha ? Tous les deux squattent les playlists de Marion Maréchal-le Pen. La députée frontistedu Vaucluse s'est confiée sur ses goûts musicaux dans la revue trimestrielleCharles, qui paraîtra mercredi 24 juin, mais dont des extraits sont repris sur le site des Inrocks. Si elle s'y décrit comme "hyper ringarde musicalement", elle avoue un penchant pour le rap, qu'elle aime écouter sur Skyrock.

Séduite par le "talent d'écriture" de Youssoupha 

La petite-fille de Jean-Marie Le Pen – pour qui le rap est "une attaque barbare" rappelle Le Lab – raconte avoir plaisir à écouter Sexion d'Assaut ou encore Maître Gims. Youssoupha semble être son préféré, "même si [elle] n'[est] pas d'accord avec tout ce qu'il dit sur le fond". La candidate aux régionales en Paca apprécie son "talent d'écriture"

Le rappeur n'a pas manqué de réagir à cette déclaration d'amour par un tweet ironique. Il invite la benjamine de la famille Le Pen à son prochain concert et lui rappelle au passage le nom de son dernier album. 

lundi, 02 mars 2015

Culture républicaine : dès le plus jeune âge, la diversité explique par le rap son projet de vie

 

 

Publié par Johanna

 

dimanche, 20 juillet 2014

Les fils Sarkozy et Trierweiler : pires que Rohff et Booba ! (par Nicolas Gauthier)

Publié par Guy Jovelin

La guerre de Troie n’aura pas lieu, assurait Jean Giraudoux. Pourtant, celle des deux andouilles, les rappeurs Rohff et Booba, elle, a bien ensanglanté les réseaux sociaux, avant de faire de même d’un des magasins de fripes tenus par l’un ou l’autre, on a un peu oublié le feuilleton en cours de route. Motif de l’embrouille ?rap

On aurait pu croire que ces enfantillages étaient réservés aux centres aérés ou aux amateurs de rap – un peu la même chose, au niveau intellectuel s’entend. Eh bien non. Car désormais, c’est dans les plus hautes sphères de l’État qu’on se pouille la gueule par tweets interposés. Comme quoi si nos deux gugusses à casquettes ont fait des petits, Nadine Morano, aussi ; comme aurait pu le chanter le défunt Fernandel.

Ainsi, le « fight » de ce début d’été oppose-t-il Léonard Trierweiler à Louis Sarkozy, fils des deux que vous devinez et même pas chacun dix-huit printemps aux prunes : bref, c’est Quick et Flupke qui se la jouent Notorious Big contre Tupac Shakur, ces deux stars du rap US – l’un issu de la côte Est et l’autre de la côte Ouest –, sauf qu’avec eux, c’était du sérieux, le différent s’étant réglé à coups de chargeurs d’Uzi vidés dans le buffet.

Comme dans les cours de récré, qui a commencé ? Bonne question. Enquête faite, tout démarre avec cette « information » selon laquelle, le passage de Valérie Trierweiler à l’Élysée en tant que première dame aurait coûté 481.000 euros en 2013. Du coup, son fils Léonard aurait ensuite versé le premier sang : « C’est comme si vous demandiez à Sarko Junior de rendre des cptes sur les 600 milliards de dette de son père. » L’orthographe et le montant de la « dette » en question, sont à laisser à l’appréciation du gamin, dont la mère est pourtant journaliste depuis des décennies ; mais il arrive parfois que le talent ne soit pas héréditaire…

Après, ça chipouille sec. Trierweiler junior : « Mais ce n’est pas ma mère qui bénéficiait d’une carte de crédit de l’Élysée pour ses dépenses personnelles. » Sarkozy junior : « Ah bas ça tombe bien, la mienne non plus ! » Puis, le ton monte, comme dans Le Boléro de Ravel ou un solo de batterie de Ian Paice, chez Deep Purple.

Léo ne dit plus rien. Puis, un tweetoricien, Soleiman 1er, avec drapeau palestinien en guise de photo, s’invite dans la fosse aux hamsters, proposant « un combat d’homme à homme. » Réponse immédiate de Loulou : « Quand vous voulez cher les militaires on apprend à se battre » ; mais manifestement pas toujours à manier la langue de Molière. On grimpe d’un cran. Les Horaces contre les Curiaces. Les anciens contre les modernes. OM contre PSG.

Et là, devant une telle montée d’hormones adolescentes, tout dérape. A propos du 7-1 encaissé par le Brésil face à l’Allemagne, en demi-finale de la Coupe du Monde de football, Sarko junior tweete : « Brazilian Genocide », in english, if you please. Ce à quoi l’autre garnement réplique : « Franchement, lâche Twitter et retourne pêcher le mérou… » Il est un fait qu’avant, l’autre avait posté une photo de lui en train de pêcher le… mérou ! Mais le Tweet « génocidaire » en question a vite été dégagé des réseaux sociaux, histoire que le galopin n’écope pas, lui aussi, de neuf mois de prison ferme pour une blague d’humour pas drôle, sachant que certains Brésiliens peuvent être des Guyanais comme les autres.

Et dire que certains s’inquiètent de l’avenir PS comme de celui de l’UMP… Qu’ils en rabattent. La relève intellectuelle est là. Et bien là.

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