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lundi, 03 septembre 2018

Les vacances de M. Hulot

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2018

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 Le billet de Patrick Parment

Les folliculaires clament à la une de tous leurs médias que le président de la République est affaibli par le départ de monsieur Hulot. Voici qui a de quoi nous faire sourire pour la bonne raison qu’Emmanuel Macron n’a face à lui qu’une opposition en lambeaux. A gauche, Mélenchon a une voix de fausset, Hamon et Faure se regardent en chien de faïence dans leur cabinet téléphonique. A droite, c’est Waterloo, Valérie Pécresse et Xavier Bertrand désertent la ligne du général Wauquiez. Quant à ce fameux ministère de la Transition écologique, c’est un mistigri qu’on se refile de gouvernement en gouvernement, histoire de dire qu’on est aussi écolo. Sur le fond, il n’en est rien. Car, on bavasse longuement sur le nucléaire, tandis que les paysans continuent de déverser des tonnes de pesticides dans leurs champs, que la grande surface et la grande distribution continuent de tuer la campagne française au même titre que le petit commerce et donc la vie de nos villages.

Enfin, le souci écologique n’est pas uniquement français, il est mondial, alors qu’on est en train d’éradiquer la forêt amazonienne sur l’aire du profit, que la mer charrie des toxiques et des tonnes de plastique, qu’une pêche industrielle épuise les ressources halieutiques, que les écosystèmes disparaissent au détriment de la faune et de la flore. Tout cela est le résultat d’une politique libérale qui s’imagine que le soi-disant progrès est sans fin et que la terre est inépuisable. Un libéralisme suicidaire qui est en train de tuer la substance humaine même.

Alors, un vrai ministère de l’écologie se devrait de protéger nos paysans de sorte qu’ils vivent décemment du produit de leur labeur. Un vrai ministère de l’écologie éradiquerait grande surface et reverrait les finalités de la grande distribution. Un ministère de l’écologie devrait s’intéresser à nos sources d’énergie et investir dans les énergies renouvelables comme la géothermie, la biomasse et l’hydrogène, sans abandonner nos centrales nucléaires qui nous fournissent une énergie bon marché et peu polluante dont nos industries ont besoin et ce afin de réduire notre dépendance au pétrole et au gaz et d’illustrer cette belle formule « On n’a pas de pétrole, mais on a des idées ».

 

Source : synthesenationale

samedi, 04 août 2018

Ces « réfugiés » qui vont en vacances dans leur pays d’origine où ils risquent soi-disant leur vie

Publié par Guy Jovelin le 04 août 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

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Belgique – Durant les six premiers mois de cette année, 115 personnes ayant obtenu le statut de « réfugiés » en Belgique ont déjà été identifiées alors qu’elles étaient en train de se rendre dans leur pays d’origine. C’est presque autant qu’en 2017 et plus de deux fois plus qu’en 2016. La presse flamande signale que ces « réfugiés » risquent de perdre leur permis de séjour en Belgique. Cette sanction n’est même pas une certitude.

Pourtant, ces immigrés ont obtenu le statut de « réfugié » et le permis de séjour qui l’accompagne en affirmant être en danger dans leur pays d’origine. Le fait d’y retourner démontre bien qu’ils ont menti et ne sont nullement en danger dans leur pays d’origine. C’est donc tout simplement une escroquerie pour obtenir différents avantages financiers et matériels. Et la sanction devrait être automatique et systématique.

Mais c’est sans compter le laxisme des autorités, en Belgique comme en France.

En Belgique, depuis 2016, 103 personnes ont perdu leur statut de réfugié, mais 67 autres ont été autorisées à le conserver malgré le voyage dans leur pays d’origine. 135 autres dossiers sont toujours en cours d’examen par le Commissariat Général aux Réfugiés et Apatrides.

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 14 septembre 2016

Allemagne : des réfugiés allocataires partent en vacances dans le pays qu’ils ont fui

Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2016

Par le 13/09/2016

Le journal allemand Die Welt am Sonntag révèle que des personnes réfugiées en Allemagne, bénéficiaires d’allocations, feraient des séjours dans leur pays d’origine. Cela jetterait le doute sur la réalité des persécutions ayant motivé leur exil.

Selon une enquête de l’hebdomadaire allemand Die Welt am Sonntag, des réfugiés enregistrés en Allemagne, et à ce titre bénéficiaires d’allocations, feraient de courts séjours dans leurs pays d’origine. On note parmi ces destinations la Syrie, l’Irak et l’Afghanistan. Autant de pays dont certains ressortissants obtiennent le statut de réfugié en Occident compte tenu des dangers et des persécutions dont ils pourraient être victimes en y vivant. Des pays où les consulats occidentaux recommandent de ne pas se rendre, sinon pour des raisons d’extrême urgence.

La Bundesamt für Arbeit (BA), l’agence fédérale allemande pour l’emploi, évoque pour sa part un «certain nombre de cas» de séjours de migrants au pays. Mais selon un porte-parole cité par Die Welt am Sonntag, l’agence est dans l’impossibilité de fournir des statistiques précises : «Il n’y a pas base légale pour cela, aussi nous n’avons aucune information.» Selon les règles allemandes régissant les droits des demandeurs d’asile, les migrants ont le droit de quitter leur pays d’accueil pour un durée maximale de 21 jours.

(…) RT.com

 

Source : fdesouche

dimanche, 17 août 2014

De moins en moins de Français prennent des vacances depuis quinze ans

Publié par Guy Jovelin

Selon le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (CRÉDOC), seuls 57 % des Français partent en vacances. Après une augmentation jusqu’au milieu des années 1990, cette proportion n’a jamais cessé de baisser depuis, passant de 66 % à 57 %, 70 % parmi les cadres supérieurs et 35 % chez les ouvriers. « Depuis la fin des années 1990, le taux de départ est orienté à la baisse, et ce phénomène s’est accéléré avec la crise » note le CRÉDOC.

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