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Une voiture qui fonce dans la nuit sur l’autoroute Albi-Toulouse. Le conducteur hésite à l’entrée du périphérique de Toulouse : à gauche, à droite… À très haute vitesse, le Renault Megane RS va tout droit et défonce les glissières de sécurité. Cet accident a été filmé en direct par les caméras de surveillance du réseau autoroute. Des images d’une violence « effrayante ».
Cet accident s’est produit vers 3 h 18. Les pompiers, alertés à 3 h 21, n’ont pas pu sauver Mohamed Djilalli. 33 ans, qui a été écrasé notamment par le volant, ni Farid El Aras., 36 ans, qui a été éjecté lors du choc. Les policiers ignoraient encore hier soir qui conduisait... Une expertise déterminera la vitesse à laquelle la voiture roulait quand elle s’est encastrée dans les barrières avant de se retourner... Bien au-delà des 90 km/h prévus à cet endroit.
Premier accrochage vers 2 heures
Cette voiture a été signalée une première fois vers 2 heures quand suite à une embardée, elle a obligé une conductrice à se rabattre en catastrophe pour éviter l’accident. Cette femme s’en est sortie sans blessure mais avec une vraie peur et sa voiture a terminé chez le carrossier. La Renault Megane et son chauffeur ont disparu.
Vers 2 h 50, boulevard Eihenhower, dans l’ouest de Toulouse secteur du Mirail, le même véhicule a doublé par la droite une voiture banalisée de la brigade anticriminalité. Les policiers ont voulu contrôler le chauffard mais ce dernier a accéléré. Les policiers l’ont perdu dans le secteur de Montaudran.
Premier accrochage vers 2 heures
La voiture, peut-être volée - les policiers ne l'ont pas encore déterminé - mais qui était équipée de fausses plaques d’immatriculation, a alors été signalée sur les ondes et des gendarmes l’ont retrouvée dans le secteur de L’Union, vers 3 h 10. Les gendarmes ont voulu l’intercepter mais à trois reprises le conducteur a bloqué les manœuvres de dépassement que tentaient les militaires. « Les deux véhicules ne se sont pas touchés parce que le gendarme au volant a freiné », souligne une source proche du dossier. Puis le conducteur a encore foncé et la Renault Megane a pris de l’avance. Les gendarmes l’ont alors vu effectuer un demi-tour et prendre la direction de l’autoroute, à hauteur du péage de l’Union. Des policiers, présents sur un pont au-dessus de l’autoroute, a vu le conducteur foncer vers le périphérique. Ils ont tenté de suivre. Deux minutes plus tard, ils découvraient le véhicule écrasé et sur le toit contre les glissières de sécurité.
Des victimes connues des services de police
Les deux victimes, qui ont grandi dans le quartier de Bellefontaine, à Toulouse, auraient eu dans le passé de nombreux soucis avec la justice. Pourquoi ont-ils fui et pris tant de risques ? La question reste sans réponse. Ils ne transportaient rien d’interdit. Chargé de l’enquête, la police étudie « plusieurs hypothèses ».
Trois personnes ont été blessées dans la collision, qui s'est produite devant une école de commerce à Blagnac.
Peu avant 16h ce vendredi, un véhicule a foncé délibérément sur un groupe de personnes devant une école de commerce à Blagnac (Haute-Garonne), près de Toulouse.
Trois étudiants chinois ont été blessés dans la collision. Selon le Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (CODIS) de Haute-Garonne, un homme de 23 ans et une femme de 22 ans ont été légèrement blessés. Une femme de 23 ans l'est plus grièvement. Ils ont été transférés à l'hôpital Purpan à Toulouse.
Le conducteur interpellé sans difficulté
"A 15h54, un homme au volant d’un véhicule Clio aurait foncé délibérément sur trois personnes qui se trouvaient sur le passage piéton", a déclaré sur BFMTV le procureur de la République de Toulouse Pierre-Yves Couilleau.
Le conducteur, né en 1989, est connu pour des faits de droit commun, notamment en rapport avec les stupéfiants selon nos informations, mais n'est pas fiché S. Il a été interpellé sans difficulté.
Selon ses propos, rapportés par le procureur, il aurait été condamné "une dizaine de fois" et "ferait l’objet actuellement d’un suivi dans le cadre de condamnations à des sursis et mises à l'épreuve". Ce suivi comporterait des obligations de soins, "qu'il respectait", a poursuivi Pierre-Yves Couilleau.
Le service régional de la police judiciaire de Toulouse a été saisi.
Les demandeurs d’asile ne manquent pas d’exigences. Fréquemment, ils se plaignent de la nourriture qui leur est servie ou du confort de l’abri dans lequel ils sont logés. En Carinthie, des immigrés ont organisé une grève de la faim pour obtenir 2.000 euros d’argent de poche par mois !
Les personnes en charge d’accueillir les « réfugiés » constatent que ces immigrés arrivent généralement avec des idées fausses sur la « Terre Promise » que serait l’Autriche ou l’Allemagne.
Un article paru dans le Dachau Rundschau est particulièrement révélateur. Isabell Sittner, coordinatrice de la politique d’asile pour Bayern, y expliquait :
« Je me rends compte que la plupart d’entre eux arrivent ici avec des idées et des attentes irréalistes. Ils me demandent souvent: «Quand vais-je recevoir ma maison et ma voiture? » Ces idées fausses sont entretenues par les passeurs. »