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mardi, 31 mai 2016

Enseignement de l'arabe à l'école: une "polémique absurde" répond Najat Vallaud-Belkacem

La ministre de l'Education est revenue ce mardi au micro de Jean-Jacques Bourdin sur la polémique au sujet de l'introduction de nouvelles langues étrangères à l'école, et particulièrement l'arabe.

Trafic à la Reynerie (Toulouse) : M'Rabet 8 ans, Benabadji 10 ans de prison

Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2016

Les prévenus ont reconnu l'importantion de 1600 kg de cannabis. /DDM archives
Les prévenus ont reconnu l'importantion de 1600 kg de cannabis. /DDM archives

«Le mobile principal de ce trafic structuré autour de M. M'Rabet, avec une organisation, des ouvreurs, des chauffeurs, des hommes de main, des Salaf, reste l'argent facile. Et contrairement à ce que nous avons entendu parmi les arguments de la défense, il ne s'agissait pas de régler des dettes mais bien de réaliser d'importants profits comme les démontrent les très nombreuses importations de cannabis et les quantités significatives de cocaïne.»

Hier à 15 h 45, le président Denis Roucou n'a pas mâché ses mots au moment où, avant d'annoncer les peines, il a détaillé les grandes lignes de la motivation du jugement de la 1re chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Bordeaux. Le tribunal jugeait depuis lundi un dossier de la Jirs, juridiction interrégionale spécialisée de Bordeaux après une enquête des gendarmes de la Sr de Toulouse (nos précédentes éditions)..

Après quatre jours de débat, exceptés les cinq prévenus qui se trouvaient sous mandat de dépôt, la salle d'audience sonnait bien vide hier. Et la quinzaine de policiers venus pour «assurer» l'ordre, et les mandats de dépôt, n'a pas eu à s'employer puisqu'aucun des 15 prévenus libres ne s'est déplacé, sans doute pas pressé pour repartir en prison.

Mohssine M'Rabet, 34 ans, a été condamné à 8 ans de prison. Le tribunal l'a également estimé coupable de la séquestration du «Salaf», le banquier à qui il avait remis 450 000 € pour l'achat de 200 kg de cannabis avant de le faire «enlever» juste après, pour récupérer l'argent plus la drogue. «Il ne s'agit nullement d'un projet. Cela s'est bien déroulé», souligne le président. Condamné pour la séquestration d'un inconnu qui ne s'est jamais plaint…», commente Me Arnaud Bayle, amer.

Le tribunal n'a pas été tendre, non plus, avec Kamel Benabadji Sanchez, 42 ans, «associé avec M'Rabet et La Reynerie» qui écope de dix ans de détention, 150 000 € d'amende et une interdiction définitive du territoire français. Son lieutenant Hakim Bouderradji, pris avec 450 kg de résine et 4 kg de cocaïne prend 5 ans de prison. Le tribunal a délivré un mandat d'arrêt qui concerne également les principaux lieutenants de M'Rabet qui doivent tous revenir en prison pour purger 4 ans pour ses chauffeurs, Karim Nouar ou Hajdje Tamacha, 3 ans pour Boudali Bey, considéré comme son homme de main. Le tribunal s'est aussi attardé sur le cas de Youssef Chaabani, un Montpelliérain, un peu «banquier», un peu trafiquant qui écope de 5 ans de détention avec un mandat d'arrêt. «Interdit de séjour, deux fois condamné en 2006 et 2011, il reste malgré tout en France pour se livrer à des actes de délinquance, notamment le trafic de stupéfiants !»

Dette chinoise : la Grande Muraille du silence Par Philippe Béchade

Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2016

La Chronique Agora le 17 Mai 2016

 

La Chinamérica est un des concepts clef permettant de comprendre la mise en place de la Mondialisation et de son avatar/prolongation  idéologique : le mondialisme…D’improbable attelage dans les années 70  ( ou il s’agissait pour la Chine de dépasser le communisme et pour les US de surpasser le capitalisme ) nous sommes arrivé aujourd’hui à une sorte de vase communicant entre les deux ou l’un ne va pas sans l’autre et surtout quand l’un va l’autre va bien ET LE VICE VERSA…Capitalisme d’Etat pour la Chine, crony capitalisme pour les US , créances  douteuses pour la Chines subprime titrisés pour les US  et bien sûr montagne de dettes pour la Chine et son corollaire montagne de dettes pour les US CAR ICI COMME LA BAS TOUT PASSE PAR LE CREDIT véritable moteur d’ économies qui ne trouvent leurs marques  que dans la démesure d’une allocation et épuisement/gaspillage des ressources en dehors de toute rationalité…. Alors les médias maintream ont beau nous balancer régulièrement les 2 tartes à la crème que sont une économie mue par sa consommation interne pour la Chine et une relocalisation de la production pour les Etats – Unis force est de constater qu’année après année on est loin du compte et que la logique interne du système se trouve ailleurs que dans la confrontation entre les 2 Frères amis mais à plutôt à voir dans la collaboration active aussi bien économique qu’idéologique et que les vrais dindons de la farce Chinamérica ce sont les Européens qui se font rafler la mise un peu partout dans le monde : à commencer par L’Afrique et jusqu’au plus reculé de leur propre territoire avec le pillage/acquisitions systèmatiques et organisés de  leurs entreprises,  infrastructures et technologies …Mais qu’importe pourvu qu’à Bruxelles  l’on ait l’ivresse de l’illusion du controle et que l’on puisse reprendre à satiété un peu de BRIC et surtout de BROC… 

Source : https://leblogalupus.com/

Perpignan : La police met au jour une série d'escroqueries "à l'africaine"

Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2016

Moyennant 10 % des bénéfices frauduleux, l'internaute participait à une escroquerie sur la toile commanditée depuis l'Afrique.

Une enquête de la brigade financière du commissariat de police vient d'aboutir par la mise en cause formelle d'un individu auteur d'escroqueries. Il agissait comme intermédiaire. À la base, l'homme est lui-même contacté par internet. On lui propose d'encaisser des mandats cash et de garder 10 % pour lui, à condition qu'il envoie le reste à une adresse donnée à l'étranger. L'appât du gain a fini par avoir raison de son honnêteté et, ainsi, durant plus de trois années, l'homme a perçu des mandats cash à son nom. Il renvoyait 90 % des sommes, par le mode Western Union, à un commanditaire africain qui n'a pu être identifié.

  • Cent mille euros

Le suspect mis en cause a reconnu avoir ainsi en trois ans, reçu et renvoyé près de 100 000 euros à son correspondant africain. Il a donc perçu 10 000 euros pour ses prestations d'intermédiaire. L'objet des virements était généralement des annonces postées sur internet dans différents sites, pour la vente de petits véhicules ou autre produits. Il s'agissait toujours de marchandises de petite ou moyenne valeur afin de ne pas trop effrayer les personnes intéressées, par des demandes de virements trop importants (jusqu'à 2 000 euros environ).

À ce jour, huit victimes résidant dans des départements différents ont été recensées pour un préjudice de plus de 8 000 euros. L'homme, déjà connu des services de police, a fait l'objet d'une convocation au tribunal à l'issue de ses auditions et sera jugé pour ces faits.

 

Source : lindependant

L’étrange rendez-vous de Béziers !

Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2016

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La chronique de Philippe Randa

Le « rendez-vous de Béziers » organisé ce week-end par le maire de la ville Robert Ménard portait bien mal son nom : de « rendez-vous », à l’évidence, il n’y eut point, puisque la plupart des « têtes d’affiche » annoncées (Philippe de Villiers, Nicolas Dupont-Aignan, Éric Zemmour,…) se firent porter pâles, tandis que les députés Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard tournèrent rapidement les talons, heurtés par les propos tenus à l’encontre de leur mouvement.

À défaut de « rendez-vous », les deux milliers de participants connurent donc une double déconvenue : non seulement l’échec de cette fantasmatique « union » des droites, mais pire encore, de l’exposition en place publique de la réelle « désunion » de celles-ci… sur fond de mépris pour les uns, d’agressivité pour les autres et malgré un discours convaincant de Robert Ménard dimanche en fin de matinée et ses 51 propositions, la plupart de bon sens, reconnaissons-le !

Le prétendu « peuple de droite » n’aura donc, à l’issu de ce week-end, non seulement ni homme (ou femme) providentiel(le) à adouber, ni lot de consolation avec les nombreuses tables-rondes où les débats, forcément, furent de fait plombés par l’ambiance délétère des dissensions politiciennes, trop politiciennes.

Les plus optimistes pouvaient craindre que ce « rendez-vous de Béziers » fut un succès d’affluence et de promesses politiques aussi grandes qu’elles seraient rapidement passées à la corbeille dès le lundi matin ; les plus pessimistes pouvaient de leur côté en anticiper la déconfiture dès l’annonce de la création d’un mouvement, un de plus ! – au nom « surprenant » (pour ne pas être plus méchant) : « Oz ta droite » – et bien que son fondateur se défende âprement de toutes velléïtés futures de le jeter dans l’arène politique.

Du premier parti de France au plus modeste électoralement, il est évident qu’aucun parti n’accepterait ce nouveau venu – automatiquement perçu, même à tort, comme rival potentiel, d’autant plus que son fondateur s’est empressé, avec une rare maladresse, d’affirmer qu’il ne serait un marche-pied pour aucun d’entre eux – surtout à moins d’un an d’une échéance électorale d’importance, soit la « Reine des batailles » comme il est convenu désormais de nommer l’élection présidentielle… Une telle naïveté de la part de Robert Ménard ne pourrait finalement que confirmer la sincérité de sa démarche, mais naïveté et politique ont de tout temps été férocement incompatibles ; on s’étonne qu’il ne le sache pas, qu’il l’ait oublié… ou plus encore que personne dans son entourage ne le lui ait rappelé.

Ensuite, quel intérêt d’avoir voulu convier des leaders politiques à un « rendez-vous » qui se voulait d’abord et avant tout débat d’idées ? A-t-on jamais vu un politicien subir des remontrances publiques, sous les feux des caméras, dans des échanges auxquels il était prévu qu’aucun d’eux ne participe ? C’était forcément l’occasion de prendre des coups, sans même être en mesure de les rendre… Convier des leaders nationaux à un tel « rendez-vous » fait fâcheusement penser à un « dîner de cons » ; Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard qui n’avaient pas vu le coup venir, l’ont très vite réalisé ! Leur sens de l’humour a des limites qu’on peut comprendre.

Robert Ménard connut par le passé un succès mérité comme co-fondateur de Reporters sans frontière et du site Boulevard Voltaire, puis en prenant d’assaut électoral la Mairie de Béziers pour la diriger ensuite avec une compétence réelle…

Il a malheureusement crû qu’il pourrait de même endosser le costume de Directeur de conscience de la droite se voulant de conviction… Il serait dommage que certains lui en tiennent trop grande rigueur désormais ; rappelons qu’il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne commettent pas d’erreur. Et les convictions sont toujours estimables, même si elles peuvent aveugler !

 

Source : synthesenationale