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vendredi, 07 avril 2017

Tollé en Suède: une police «islamique» oblige les filles de s'asseoir à l'arrière d'un bus scolaire et raille leur jupe

Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2017

Un reportage de la télévision suédoise, diffusé ce mardi soir, a provoqué un véritable tollé en Suède. Des enregistrements montrent ainsi une femme qui se dit de la « police de la morale islamique » railler des jaunes filles en jupe courte et leur demander d’aller à l’arrière d’un bus scolaire, séparées des garçons
Cette femme a accepté de témoigner pour la télévision suédoise.

Capture TV4

Cette femme a accepté de témoigner pour la télévision suédoise.

L’émission de télévision nommée « Kalla Fakta » (Faits rudes) et diffusée sur la chaîne suédoise TV4 a ainsi dévoilé en caméra cachée des comportements inhabituels dans la banlieue nord de Stockholm, la capitale de la Suède. Comme le révèle le quotidien suédois Aftonbladat, le reportage fait notamment état de nombreuses interdictions morales et autres intimidations adressées à certaines personnes dans des quartiers chauds de la capitale, notamment de la part d’individus se revendiquant de la « police de la morale islamique ».

L’une des réalisatrices du reportage a ainsi réalisé plusieurs visites dans des cafés, toujours en caméra cachée. À plusieurs reprises, des hommes lui ont ainsi demandé d’aller s’asseoir à un autre endroit de l’établissement, là où des hommes ne peuvent pas la voir.

D’autres femmes ont également témoigné et affirment qu’elles ont déjà été harcelées et intimidées parce qu’elles sortaient seules, même en promenant leur chien… Une femme du quartier de Hjusta affirme pour sa part comment des voisins ont commencé à lui crier dessus parce qu’elle était sur son balcon en train de boire un verre de vin. Quelques minutes plus tard, un groupe de jeunes hommes s’est rassemblé devant son appartement et a commencé à la menacer avant de tenter de rejoindre son balcon via le tuyau d’évacuation des eaux.

Une autre femme, une réfugiée venue de Syrie, explique pour sa part qu’elle a été la cible de nombreuses intimidations depuis l’été dernier, principalement lors de la dernière période de Ramadan. Habillée plus légèrement, elle affirme sous couvert d’anonymat que des hommes l’ont menacée et lui ont jeté des objets par la fenêtre. « Je me suis enfuie d’un pays où les femmes étaient opprimées pour venir en Suède », confie-t-elle. « Maintenant, je suis ici et j’ai le même sentiment qu’à l’époque où j’étais dans mon pays natal ».

Des jeunes filles âgées de 6 à 10 ans, établies à l’école islamique Al-Azhar, dans la banlieue nord de Stockholm, ont elles été contraintes par une « policière de la morale » de s’asseoir à l’arrière de leur bus scolaire les menant à leur établissement, séparées des garçons. Elles ont également été raillées car certaines venaient en jupe… Le directeur de l’établissement Roger Lindquist a précisé pour sa part qu’il n’était pas au courant de cette pratique. Pourtant, l’école a récemment instauré des cours de sport non-mixtes.

Le Premier ministre suédois Stefan Löven s’est offusqué en voyant ses images et a réagi : « C’est scandaleux. Cela ne peut pas arriver en Suède. Il est interdit de séparer les enfants selon leur sexe. En Suède, nous prenons le bus ensemble ! » Des mesures devraient être prises à l’encontre de l’école, selon le gouvernement suédois.

 

Source : sudinfo

13 millions d’euros par an pour les 180 « mineurs » étrangers qui sèment la terreur à Montpellier

Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2017

Par le 06/04/2017  

Officiellement 180 dans l’Hérault, la sécurité publique les estime à trois cents. Dont certains sont en fait majeurs.

Vendredi 31 mars, vers 4 h, un homme s’est fait dérober son portable après avoir été abordé par un groupe de cinq jeunes gens. Une heure et demie plus tard, c’est une jeune femme qui, à son tour, a été dépouillée boulevard Victor-Hugo. Dimanche, vers 0 h 25, deux autres ont subi une tentative de vol rue de la Loge.
Puis, quelques minutes plus tard, une troisième s’est fait déposséder de son sac à l’arrêt de tramway de la Comédie. Le point commun entre ces faits ? À chaque fois, les équipages de police appelés sur les lieux ont interpellé des adolescent(es)s. Des mineurs non accompagnés (ex-mineurs étrangers isolés) dans le jargon administratif.

Des jeunes migrants dont la Direction départementale de la sécurité publique de l’Hérault (DDSP 34) note une recrudescence ces derniers mois, particulièrement à Montpellier. Parmi ceux-ci, une partie est livrée à elle-même car non chaperonnée par le Département et les différents services et associations idoines. Des arrivées dont certaines ont entraîné une accentuation du nombre de faits délictueux.
Principalement commis en fin de semaine, à des heures avancées ou matinales. Et dont les victimes ne sont bien évidemment pas choisies au hasard.Parce qu’à la limite de la vulnérabilité (victime seule et/ou physiquement démunie, alcoolisée…).
Certains fonctionnaires du commissariat central, confrontés de plein fouet à cette forme de délinquance, n’hésitant désormais plus à parler, hors champ, de « carnage ». Excessif ? Peut-être bien. Mais mâtiné à un sentiment d’insécurité bien réel.
Et dû à l’exaspération croissante d’une partie des policiers affectés aux missions de voie publique. Lesquels procèdent, certains week-ends, jusqu’à douze interpellations pour des actes délictuels identiques. Et sont aussi parfois exaspérés face à la réponse pénale apportée, insuffisante selon eux. Un sentiment contradictoire à celui du parquet.

Le Midi Libre

► Le chiffre : 13. C’est, en millions d’euros par an, la somme consacrée aux mineurs non-accompagnés.Soit un peu moins de dix pour cent du budget dédié à la protection de l’enfance dans l’Hérault (135 M€).

Le Midi Libre

 

Laetitia Pouliquen : L’identité féminine est menacée par le féminisme radical, le « gender » et le transhumanisme

Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2017

laetitia pouliquen

Laetitia Pouliquen est la fondatrice de Woman Attitude et est l’auteur de « Femmes 2.0. Féminisme et transhumanisme, quel avenir pour la femme ? ». Brillante femme d’affaires dans un environnement technologique américain, l’invitée de TVLibertés a opéré, il y a plusieurs années, une reconversion professionnelle . Elle promeut dorénavant, notamment au Parlement européen, un féminisme décomplexé et reposant sur le réel : Egalité, complémentarité et altérité. Laetitia Pouliquen, avec un discours novateur et dynamique, affirme que l’identité féminine est menacée par trois agendas politiques imbriqués les uns dans les autres : l’agenda politique du féminisme radical des années 60, l’agenda du Gender puis celui du transhumanisme. Pour l’auteur, apparaît avec le transhumanisme, l’idée du désanfentement de l’humanité et de la disparition de la femme.

 

 

Source : nd

Mieux vaudrait créer un jardin public à la place de la Grande Mosquée de Paris, si on devait la céder à l'Algérie !

Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2017

 

L'Algérie a entamé officiellement les procédures d'appropriation de la Grande Mosquée de Paris, a affirmé son ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa : « Les procédures visant à faire de la Mosquée de Paris une propriété de l'Etat algérien ont été entamées officiellement par le biais de l'ambassade d'Algérie à Paris », a-t-il affirmé devant la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale. Selon lui, la démarche s'appuie sur une loi française stipulant qu' « un pays étranger guerre-1914-1918-annee-1915-036-d.jpgqui finance une association de droit français peut, passés 15 ans, prétendre à la propriété de cette entité, ce qui est le cas pour la Grande Mosquée de Paris ». Rappelons que la décision de construire la Mosquée de Paris fut prise après la Première Guerre mondiale, pour rendre hommage aux dizaines de milliers de morts musulmans, venus de ce qui était alors l'Empire français combattre - courageusement - pour la France.  

Sans refuser l'idée en soi, Charles Maurras se montra très circonspect, dans l'Action française du 13 juillet 1926, sur les conditions dans lesquelles cette décision fut exécutée. A l'occasion de l'inauguration de cette grande mosquée, lors de la visite du sultan du Maroc Moulay-Youssef, il écrivit, ce jour-là, un article dans lequel on découvre un Maurras perspicace (il avait anticipé le réveil de l'Islam : « je ne crois pas que l'on puisse en douter...»); un Maurras respectueux - comme cet autre grand royaliste que fut Lyautey - vis à vis des peuples musulmans (ces « nobles races...»: on dirait, aujourd'hui, qu'il était non-raciste !...); un Maurras lucide et reconnaissant («...auxquelles nous avons dû un concours si précieux...»). Et qui jette sur ces populations un regard amical, voire admiratif, lorsqu'il évoque « les très belles robes de nos visiteurs marocains », de « ces majestueux enfants du désert » ...

capture-d_c3a9cran-2015-08-11-c3a0-21-12-31.pngMais aussi, et simultanément, un Maurras inquiet parce que, justement, perspicace, et bien plus futé que bien d'autres, qui ne voyaient pas plus loin que le bout de leur nez. Ne sollicitons pas trop les textes, en cherchant à leur faire dire ceci ou cela. Mais, pourtant, n'y a-t-il pas un solide avertissement, qui ressemble à s'y méprendre à de la prémonition, dans les lignes qui suivent ? Et Maurras n'y apparaît-il pas visionnaire ? (Extrait) : 

« ...Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon.... s'il y a un réveil de l'Islam, et je ne crois pas que l'on puisse en douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte Geneviève où tous les plus grands docteurs de la chrétienté enseignèrent contre l'Islam représente plus qu'une offense à notre passé : une menace pour notre avenir... la construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe républicaine, expriment quelque chose qui ressemble à une pénétration de notre pays et à sa prise de possession par nos sujets ou nos protégés...

...Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l'amitié. Nous venons de commettre le crime d'excès. Fasse le ciel que nous n'ayons pas à le payer avant peu... »

Et, dans le même article, mesuré, reconnaissant, mais bien plus lucide que beaucoup, Maurras exprimait le souhait que « ...les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse... »

Aujourd'hui, le contexte a, évidemment, changé. L'Empire français n'existe plus, et ceux qui, loyalement, courageusement et glorieusement sont venus en Métropole pour défendre leur patrie sont, bien sûrs, tous morts. L'hommage qui devait, à bon droit, leur être rendu l'a été, quelle qu'en soit la façon. Le monument toujours debout est donc le témoignage commémoratif d’un passé glorieux, certes, mais sa raison d'être première a disparu, avec le contexte qui l'accompagnait. Aussi, si les 7.500 mètres carrés qu'il occupe devaient être, pour une raison X ou Y, cédés à l'Algérie, donc aliénés, il nous semblerait plus normal de tourner une page que l'Histoire ne nous a pas attendus pour tourner, de toute façon, et de leur trouver une nouvelle affectation.

Si l'Algérie tient tant que cela au « monument de la colline », elle n'a qu'à le démonter et le remonter chez elle : elle a largement de quoi payer l'opération, ses coffres regorgent de milliards, venant des bénéfices que lui procure le pétrole que nous avons trouvé et exploité, et que nous lui avons laissé, on ne sait pas trop pourquoi, en lui offrant un Sahara qui ne lui avait jamais appartenu, l'Algérie elle-même en tant que telle n'ayant jamais existé, sous sa forme actuelle, avant nous...

Un espace vert public, dans une ville qui en manque, serait certainement l'une des solutions les plus raisonnables. En tout cas plus raisonnable que la cession pure et simple à l'Etat Algérien d'un morceau de la colline Sainte-Geneviève ; du cœur de Paris ; en plein cœur de Paris... 

 

Source : lafautearousseau