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samedi, 08 avril 2017

Aude : une vente aux enchères de vins pour rénover l'église de Cépie

Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2017

Par Joane Mériot

L'église de Cépie, dans l'Aude a été rénovée grâce à la vente aux enchères de Toques et Clochers - 7 avril 2017 / © France 3 LR
L'église de Cépie, dans l'Aude a été rénovée grâce à la vente aux enchères de Toques et Clochers - 7 avril 2017 / © France 3 LR

Toques et Clochers, c’est à Cépie, dans l’Aude, ce samedi. 30 000 personnes sont attendues dans les rues de ce petit village. Le principe : une vente aux enchères de barriques de vin qui permettent aux communes de l'appellation Limoux d'entretenir leur église.

Par Joane Mériot

Cette année, le village de Cépie, dans l'Aude, a été selectionné pour célébrer la rénovation de son église.

Grâce à Toques et Clochers et à la vente aux enchères de vin qui lui est associée, la mairie est sûre d'obtenir 25.000 euros pour ces travaux. Une enveloppe qui a permis de solliciter d'autres financements, des collectivités notamment, pour la remise en état. Budget final : 250.000 euros.

L'objectif est de contribuer à la préservation du patrimoine historique et architectural local. 

Le reportage d'Alexandre Grellier et Frederic Guibal 
Toques et Clochers, c’est à Cépie, dans l’Aude, le samedi 8 avril. 30 000 personnes sont attendues dans les rues de ce petit village. Le principe : une vente aux enchères de barriques de vin qui permettent aux communes de l'appellation Limoux d'entretenir leur église. - France 3 LR  - Alexandre Grellier et Frederic Guibal

Toute l’église du sol au plafond a été refaite. Des fresques du 17ème siècle ont été découvertes en début de chantier.
Des fresques du 17ème ont été découvertes lors du début des travaux de rénovation de l'église - 7 avril 2017  / © France 3 LR
Des fresques du 17ème ont été découvertes lors du début des travaux de rénovation de l'église - 7 avril 2017 / © France 3 LR

On fait en général des restaurations partielles, là on a fait aussi bien l’extérieur que l’intérieur et on a eu la possibilité de remettre en valeur ces peintures qui sont quand même quelque chose de très particulier dans le secteur géographique.

Les mairies profitent de cet argent pour financer d'autres travaux.
La commune de Cépie a choisi de refaire l'éclairage d'une rue et d'enterrer les réseaux. Une autre manière d'entretenir le patrimoine.

Depuis 1991, année de la création de la manifestation, une vingtaine de villages a reçu le soutien de Toques et Clochers.
 
Source : france3-regions.francetvinfo

Le grand remplacement à Londres : mosquées ouvertes et églises fermées

Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2017

Le grand remplacement à Londres : mosquées ouvertes et églises ferméesVoici encore un fait que les négationnistes du « Grand remplacement » auront du mal à nier. Selon un article du Gatestone Institute daté du 2 avril 2017, depuis 2001, 500 églises chrétiennes ont fermé dans la capitale britannique pendant que 423 mosquées ont été ouvertes, la part de la population anglicane étant passée de 21 à 17 % entre 2012 et 2014, soit une perte sèche de 1,7 million de fidèles.  La part des musulmans dans les autres grandes villes britanniques a considérablement augmentée : ils représentent désormais 15,8 % de la population de Manchester, 21,8 % de celle de Birmingham et 24,7 % % de celle de Bradford.

L’église de Hyatt United, sur Hamilton Road, est devenue une mosquée pour des colons égyptiens et l’église Saint Pierre, église catholique, est devenue la mosquée Madina. Rappelons que l’une des premières mosquées de Londres en 1976, celle de Brick Lane à Spitalfields, le fut en lieu et place d’une synagogue, qui elle-même remplaça un temple méthodiste en 1898, lui-même succédant au temple bâti pour les Huguenots français réfugiés en 1742. Submergés ethniquement, il ne reste plus que 679.000 chrétiens à Londres, il ne reste plus que 12 fidèles dans la paroisse de San Giorgio dont l’église peut accueillir 1230 personnes et 20 à celle de Santa Maria.

Le plus intéressant est que sur les 1700 mosquées anglaises, il y’en en a que 2 qui prônent un islam non-fondamentalisme, contre 1176 aux Etats-Unis ! Il existe également à Londres 100 tribunaux de la Charia, la capitale anglaise ayant élu un maire musulman (qui d’ailleurs a condamné mollement les attentats du 22 mars dernier), le Pakistanais Sadiq Aman Khan, ayant succédé au truculent pluripatride (turc par son grand-père paternel, issu de la famille princière du Wurtemberg par sa grand-mère paternelle, anglais par son grand-père maternel et juif par sa grand-mère maternelle) Alexander Boris de Pfeffel Johnson (Boris Johnson en version abrégée). Rappelons que Londres fut évidemment majoritairement hostile au Brexit, la carte lisible ici étant plus que révélatrice

Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur le Gatestone Institute, disons simplement que ses liens avec la prétendu « fachosphère » sont inexistants : fondée par Nina Rosenwald (Démocrate) qui en est la présidente, il est dirigé par l’ancien ambassadeur américain à l’ONU, John Robert Bolton (Républicain) et compte dans ses rangs l’écrivain David Joel Horowitz, le juriste Alan Morton Dershowitz, le conseiller pour la défense de Donald John Trump Sebastian Lukacs Gorka (fils du résistant hongrois Paul Gorka), ainsi que le baron Daniel William  Finkelstein (rédacteur en chef du Times) et, avant sa mort, ce bon vieux Eliezer « Elie » Wiesel, humoriste et romancier Prix Nobel de la Paix.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

AU FIL DES JOURS

Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2017

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Pierre Vial Terre et peuple cliquez ici

Les naïfs qui croyaient que Trump était l’homme capable de casser le Système doivent prendre de l’aspirine. Vilipendé par les tenants du politiquement correct, Trump a compris (ou ses conseillers ont compris pour lui) qu’il tenait une occasion unique de rentrer dans le rang et d’être absous de ses péchés en jouant une carte facile : taper sur le Syrien Bachar El Assad. De Tel Aviv à Paris, Berlin, Londres… et Washington, les hommes et les femmes (n’est-ce pas, Merkel ?) du Système mondialiste sont soulagés : le vilain garçon yankeee reprend son rôle de gendarme du monde et, donc, tout est pardonné, tout est en ordre. On va enfin pouvoir concentrer le tir sur l’empêcheur de mondialiser en rond, Poutine. Car le véritable objectif du mondialisme est là et nulle part ailleurs. Ses créatures pavoisent déjà (les media « français » font assaut de servilité en ce domaine) mais elles vendent peut-être un peu vite la peau de l’ours. Car l’ours, précisément, a de la ressource, c’est un solide… et son coup de patte peut faire mal.

Changement de décor : la population de la Guyane, où les descendants de Gaulois sont bien peu nombreux, réclame des sous. Des sous, des sous, encore des sous, toujours plus de sous… Ces assistés congénitaux pensent pouvoir profiter au maximum de la démission de l’Homme Blanc. La réponse d’un Etat digne de ce nom serait de leur dire : vous êtes des grands garçons et des grandes filles ? Alors maintenant démerdez-vous. On va vous faire un beau cadeau : l’indépendance. Vous ne vivrez plus aux crochets de la France et des Français. Mais, disent certains : « Et la base de lancement d’Ariane ? On ne peut l’abandonner ? ». Mais si, on peut car il y a en Provence un endroit, le plateau d’Albion, qui pourrait devenir une nouvelle base de lancement de fusées. Cela coûterait de l’argent ? Bien sûr. Mais combien coûte la mise sous assistance respiratoire, ad vitam aeternam, des Guyanais ? En fait, sur cette question comme sur beaucoup d’autres, tout est affaire de courage politique. Evidemment, avec les larves que sont nos politiciens…

Parlons-en, d’ailleurs, de ceux-là. Le guignol de l’élection présidentielle n’amuse plus grand monde et le moulin à paroles des candidats tourne à vide. Mais peu importe : il faut bien mériter sa gamelle. Je ne prétends surtout pas jouer les devins mais je sais ne pas prendre le risque de me tromper en annonçant qu’un des principaux résultats de l’élection présidentielle sera la montée croissante d’une méfiance accrue de la population à l’égard d’un système politique qui ne sert qu’à couvrir l’exploitation sans mesure des braves gens. Le temps de la désobéissance civique, de la Sécession, va venir.

 

Source : synthesenationale

LES AMÉRICAINS RESTENT DES AMERICAINS….

Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2017

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Les Américains restent des Américains et nous démontrent ce qu’ils savent faire de « mieux » : bombarder ! Les bombardements ? Ils jalonnent leur histoire, depuis ceux de la flotte espagnole pendant la guerre hispano-américaine de la fin du XIXe siècle, à ceux du jeudi 6 avril en Syrie en passant par l’Allemagne, le Japon et le Vietnam. Il faut dire que dans le cas de l’Empire du Soleil levant tout comme dans celui de l’Allemagne hitlérienne, ces deux Etats l’avaient bien cherché  avec leurs cruelles entreprises impérialistes. Mais était-il nécessaire, que ce soit au Vietnam ou en Normandie, de pénaliser d’innocentes populations civiles, comme récemment encore dans la libération de Mossoul en Irak ? Si, en 1944, une bombe US avait frappé l’immeuble où se cachait ma mère lors du raid contre les objectifs de la gare de La Chapelle et de la TCRP dans le XVIIIe arrondissement de Paris, l’auteur de ces lignes ne serait pas là !

Une opération de politique intérieure avant tout

Donald Trump est en difficulté. Quelques semaines après son installation à la Maison Blanche, sa politique patine : il se heurtes aux empêcheurs de gouverner en rond qui polluent l’application de son programme, que ce soit en matière de réforme de la politique de la santé (« Obamacare »), de tri aux frontières des voyageurs musulmans ou de nominations diverses et variées dans son cabinet comme à la Cour suprême, nécessitant l’approbation d’un Sénat théoriquement acquis à un Président républicain. Pour son image, Il était urgent que le Donald donne du bec ! Je n’irai pas jusqu’à dire que le bombardement des villageois de la province d’Idlib avec des projectiles chimiques était une aubaine, mais le Président qui avait montré ses muscles, malgré son inclination à un arrangement avec Moscou, ne pouvait plus faire machine arrière. Avait-on pourtant la certitude absolue que c’est bien l’aviation de Bachar Al Assad qui a commis ce crime de guerre ? (80 personnes dont des enfants gazés avec du chlore ou du sarin). Le Président syrien s’est-il « tiré une balle dans le pied » ou bien, si réellement son aviation est coupable de ce raid meurtrier, a-t-il voulu forcer la main à Moscou, obliger les Russes et ses alliés iraniens à être solidaires quoiqu’il en coûte? C’est que les temps ont changé. L’époque où les « Grands », USA comme URSS, se débarrassaient de potentats « gênants » - Trujillo ou Diem pour les premiers, Présidents afghans pour les seconds – est finie. Même si Vladimir Poutine trouve le despote syrien bien encombrant, il faut faire avec.

Ajouter la guerre à la guerre

Ce sont 59 missiles de croisières « Tomahawk » tirés depuis deux destroyers de l’US Navy naviguant au large des côtes libano-syriennes, qui ont frappé la base aérienne de Shayrat dans la province d’Homs, détruisant quelques avions au sol, des infrastructures, et tuant tout de même quelques civils et militaires. Un investissement maximum pour un rendement minimum, car cette action ne fait qu’ajouter la guerre à la guerre, sans stopper pour autant les velléités guerrières du Président syrien qui, morceau par morceau, est en passe de reconquérir sur son pays contre Dae’ch. Si Washington avait REELLEMENT voulu punir et arrêter Assad, son aviation pouvait bombarder, alors, le complexe présidentiel qui s’étire sur 31 000 m2 du plateau de Mezzah à l’ouest de Damas, avec sa caserne de la garde présidentielle, la résidence et l’hôpital. Un ensemble d’immeubles modernes aux lignes carrées dressé selon les plans d’un architecte japonais, avec un glacis où tout attaque terrestre par surprise est impossible. Alors, à défaut de vouloir VRAIMENT exfiltrer Assad, il faut négocier avec lui, comme les Russes, pour leur part, tentent de l’obliger à discuter avec les rebelles.

Une indignation sélective ?

Les images poignantes d’enfants morts ou agonisant sous les effets mortels d’armes chimiques ne peuvent laisser indifférent. Mais, si certains cas sont portés à la connaissance du monde par des télévisions dont c’est le métier, curieusement, d’autres crimes de guerre sont passés sous silence. Qui parle du conflit yéménite où les partisans chiites de l’ancien Président affrontent une coalition emmenée par l’Arabie Saoudite dont l’aviation, elle aussi, massacre en toute impunité ? N’y a-t-il pointlà, de caméras pour saisir de leur objectif les mêmes horreurs ? Y aurait-il ici des bombes « sales » et là des bombes « propres » ? Les victimes sont les mêmes, bien souvent des femmes, des hommes, des enfants qui n’ont rien demandé, ballotés qu’ils sont entre des belligérants qui n’ont que faire d’eux. Les Occidentaux sont solidaires des Etats-Unis. Les Russes défendent, peut-être à contrecœur, leur « poulain » alaouite, comme l’Amérique « protège » les Wahhabites et leur pétrole. Le fait d’armes américain ne change rien à la donne sur le terrain. La Syrie compte ses morts, se dépeuple et des millions de ses citoyens, prisonniers des rebelles ou réfugiés dans les zones gouvernementales, tournent en rond, sans espoir. Il faut prendre le taureau par les cornes, une bonne fois pour toutes. Si Bachar est le problème – lui comme son père, le défunt général Hafez-Al-Assad ne sont pas exempts de crimes – il ne saurait y avoir de solution SANS le parti Baas. Il ne saurait y avoir de solution SANS la reconnaissance d’une légitime autonomie de la minorité kurde, n’en déplaise aux Turcs, il ne saurait y avoir de solution tant que Dae’ch ne sera pas totalement et définitivement éradiqué. Au lieu de s’invectiver, de s’affronter aux Nations-Unies, Russes et Occidentaux devraient convenir d’une feuille de route commune, agir ENSEMBLE pour chasser les islamistes – pas uniquement ceux, d’ailleurs, qui se réclament de l’E-I – et créer les conditions d’un dialogue constitutionnel, période transitoire permettant de recenser TOUS les Syriens en vue d’une consultation électorale libre et internationalement contrôlée. Et là, le peuple syrien pourra dire s’il veut de Bachar comme Président. Tout le reste n’est que tragique littérature.

 

Source :synthesenationale