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vendredi, 05 mai 2017

Après le débat, les ténors du FN déçus par Marine Le Pen

Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2017

France's far-right National Front (FN) founder Jean-Marie Le Pen delivers a speech during a May Day rally in honour of Joan of Arc (statue) in Paris on May 1, 2017. 
CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP
 
 

Des proches de Marine Le Pen et des figures de l'extrême droite, dont son père et président d'honneur du Front national, ont exprimé des réserves et parfois de vives critiques ce jeudi au sujet de la prestation de la candidate lors du débat présidentiel la veille. 

Le port du voile désormais autorisé par la Fiba

Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2017

La nouvelle règle a été «développée pour minimiser le risque de blessure et préserver une uniformité de couleur avec le reste de l'équipement vestimentaire».

Basket - Yann Soudé - Des internationales afghanes voilées. (AFP)

Des internationales afghanes voilées. (AFP)

Réunis mercredi à Hong Kong, les membres du Bureau central de la Fiba ont approuvé «la proposition soumise par la commission technique qui autorise le port du voile pour les joueuses». Ratifiée jeudi par le Congrès de l'organisation, elle entrera en vigueur le 1er octobre. L'instauration de cette nouvelle mesure a été motivée par le fait que «dans certains pays, le code vestimentaire, qui impose que la tête et/ou le corps entier soi(en)t recouvert(s), n'était pas adapté»aux règlements de la Fiba. 

Noir, blanc ou de la même couleur que le maillot

En 2014, l'équipe féminine du Qatar avait par exemple renoncé à participer aux Jeux Asiatiques en Corée du Sud après que le port du hijab sur le terrain a été refusé à ses joueuses.

La décision de la Fiba met fin à une interdiction de 20 ans des couvre-chefs religieux, initialement imposée pour des raisons de sécurité. «La nouvelle règle a été développée afin de minimiser le risque de blessure et de préserver une uniformité de couleur avec le reste de l'équipement vestimentaire», précise l'organisation internationale. Le voile, turban ou la kippa devront être blancs, noirs ou de la même couleur que celle du maillot. Il devront ne pas couvrir entièrement ou partiellement une partie du visage et ne pas être dangereux pour autrui.

 

Source : lequipe

Insertion par l'emploi pour mille réfugiés

Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2017

Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour

 

Mille réfugiés vont bénéficier d'ici février prochain d'un programme d'insertion associant accès au logement, apprentissage linguistique et formation professionnelle, aux termes d'un accord-cadre signé hier entre trois ministres et Pôle Emploi.

» Lire aussi - Le monde de l'entreprise continue de se mobiliser pour les réfugiés

Ce programme, inspiré d'une expérience menée en Ile-de-France et dans les Hauts-de-France sur 200 personnes, vise à "accompagner les réfugiés sur la voie de l'insertion" une fois qu'ils ont obtenu l'asile et à "faciliter leur sortie des dispositifs d'hébergement", selon un communiqué.

En effet, tant qu'ils sont demandeurs d'asile, les migrants trouvant une place dans les structures d'hébergement sont pris en charge avec logement et accompagnement social à la clé. Paradoxalement, le précieux statut de réfugié réduit cet encadrement en les faisant tomber dans le droit commun, avec pour ceux qui ont obtenu très vite le statut de réfugié des difficultés à trouver un travail, un logement... dans une langue qu'ils maîtrisent mal.

C'est pourquoi "le développement de parcours" d'insertion professionnelle "est indispensable", souligne l'accord cadre signé entre les ministres du Travail Myriam El Khomri, de l'Intérieur Matthias Fekl, du Logement Emmanuel Cosse, Pôle emploi, le Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP) et l'Ofii (Office français d'immigration et d'intégration).

Outre l'hébergement et la restauration, les participants bénéficieront donc d'un apprentissage linguistique "intensif et tourné vers les métiers" (200 à 240 heures, comme tous les réfugiés), mais aussi d'un programme de construction d'un projet professionnel (400 heures environ) et pourront suivre une formation certifiante (450 heures minimum).

Étalé sur huit mois, le programme doit débuter en juin et les derniers bénéficiaires entreront dans le dispositif "avant la fin du mois de février 2018".

 

Source : lefigaro

DES BIJOUX RÉALISÉS À PARTIR D’EMBRYONS SURNUMÉRAIRES ISSUS DE FIV

Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2017

 


Sordide. Un site Internet australien, Baby Bee, propose à des femmes d’exécuter des bijoux à partir de leur lait maternel, de placenta, de cellules souches de sang de cordons, ou de cendres des personnes aimées, mais aussi à partir d’embryons humains surnuméraires issus de fécondations in vitro (FIV). Un nouveau business qui exploite sans scrupules les ambiguïtés entretenues concernant le statut de personne de l’embryon humain. 

A l’issue d’un parcours de PMA, les personnes ayant pu mettre au monde un ou plusieurs enfants, doivent décider d’un sort pour leurs embryons surnuméraires conservés dans des cuves d’azote (cf. Le mauvais sort des embryons surnuméraires). C’est une question qui hante certains parents quand, une fois leur projet parental réalisé, des embryons créés sont encore « disponibles » à l’implantation en vue d’une grossesse. Une femme expliquait que « ces embryons étaient ses enfants. Congelés ». Mais ces parents n’ont pas toujours les moyens, ou l’envie, de les faire adopter, de les donner à la recherche, ni ceux d’assumer dans le temps leurs « coûts de stockage » élevés.

Une ancienne sage-femme, Amy McGlade, a trouvé une « solution » : elle propose d’en faire des bijoux[1]

Les familles envoient des paillettes d’embryons congelés que l’entreprise « préserve » : en fait, elle les détruits puisqu’elle les brûle : elle les réduit en poussière. Ce qu’elle appelle « un type de ‘cendre d’embryon’ ». Mais le détour sémantique a son importance puisque les parents qui ne souhaitent plus avoir d’enfants considèrent leurs embryons surnuméraires comme des membres à part entière de leur famille et comme tels, ils souhaitent leur laisser une place. Une jeune femme explique que, « dans son cœur », elle « ne voulait pas les détruire » : alors, paradoxalement, elle s’est attaché autour du cou un cœur pour contenir ses embryons détruits.

Sur un plan technique, Amy McGlade revendique pour sa société une expertise de la « préservation » de l’ADN qui lui permet de transformer les "poussières d'embryons" en bijoux en résine. Les embryons se portent ensuite en pendentif sur le cœur, en bague au doigt, en bracelet autour du poignet… L’embryon surnuméraire est réduit à un souvenir qu’on porte autour du cou, une chaine bien plus lourde qu’aucun bijou ne pourrait l’être.baby bee,bijoux,embryons,fiv

Une démarche qui montre la confusion malsaine dont sont entourés les tout-débuts de la vie humaine. L’embryon est réduit à un amas de cellules, alors que c’est déjà un petit homme. Dans une visée toujours plus utilitariste, Amy McGlade créé un marché. Du doute de ces couples, elle tire un profit.

 

Serons-nous encore longtemps choqués ?

 

Source : genethique.org