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vendredi, 15 septembre 2017

À L’UNIVERSITÉ, LES TOILETTES NEUTRES, C’EST LEUR GENRE

 

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Aristide Leucate

Que « celles et ceux » qui, « en même temps », douteraient de la « détermination » des pouvoirs publics à « lutter » contre toutes les « discriminations » pour « réduire les inégalités » se rassurent. La grande révolution sociétale se poursuit, à bas bruit, au sein des entreprises privées comme dans les administrations publiques.

En cette rentrée, l’université François-Rabelais de Tours a pris « deux engagements » pour les étudiants « transgenres » : elle officialise le prénom d’usage et instaure des toilettes neutres. L’article que consacre La Nouvelle République (11 septembre) à cette incongruité générique vaut son pesant d’hormones : « Tout a commencé par cet étudiant de 1re année de psychologie venu frapper à la porte de la chargée de mission diversité, égalité et handicap, Concetta Pennuto, à la rentrée 2016. Inscrit sous un prénom féminin, il se fait appeler Charly et vient de s’engager dans un parcours de réassignation de genre (sic !). « Je leur ai raconté mon histoire, mon parcours, et j’ai évoqué les problèmes que les étudiants trans rencontrent à la fac », explique ce jeune engagé. […] « La fac est une période charnière », souligne Charly. « On commence notre vie d’adulte, c’est important de se sentir respecté dans son identité. » Engagé dans un traitement hormonal, attaché à son apparence désormais masculine, il doit régulièrement se justifier du décalage entre son apparence et son prénom officiel – en attendant de pouvoir le modifier à l’état civil. […] L’université de Tours décide de s’emparer du sujet en s’appuyant sur la loi de 2016 contre les discriminations de genre. « Même si cela ne concernait qu’un seul étudiant, c’est important qu’il puisse poursuivre ses études dans les meilleures conditions, c’est une question d’égalité des chances », affirme la chargée de mission à l’égalité, fermement soutenue par le président de l’université Philippe Vendrix. « À Tours, une dizaine d’étudiants seraient concernés. »

À part ça, la théorie du genre « n’existe pas », ainsi que se plaisait à le clamer l’ancien ministre de l’Éradication nationale, Najat Vallaud-Belkacem. Mais si cette fumeuse théorie n’existe que dans les cervelles carbonisées au LSD des addictologues de la « French Theory » foucaldienne américaine comme dans celles de leurs épigones européens, la tyrannie du genre, quant à elle, étend tranquillement mais inexorablement sa toile. Cette importation outre-Atlantique – au Canada, des toilettes universelles et des salles de bains « neutres » ont été inaugurées dans les universités – est en train de faire tâche d’huile en Europe – la Suède, aux avant-postes du progressisme le plus échevelé, s’y est mise en 2015 – et gagne petit à petit les universités françaises – Angers, Grenoble, Montpellier, Rennes –, ces autres maisons de tolérance où, en sus du voile mahométan, l’on dispense, le plus sérieusement du monde, d’improbables « cours » de sociologie du genre – dont Marie-Hélène/Sam Bourcier de l’université Lille 3 est la très burlesque et médiatique représentante.

Quand des curiosités médicales ou d’infantiles caprices narcissiques deviennent la norme, qui plus est par la voie légale, l’on se demande, à la manière de Guy Debord, si, dans le monde renversé, le vrai n’est pas un moment du faux. Le père du situationnisme – la plus corrosive critique du capitalisme de la séduction – considérait que « le spectacle qui inverse le réel est effectivement produit. En même temps la réalité vécue est matériellement envahie par la contemplation du spectacle, et reprend en elle-même l’ordre spectaculaire en lui donnant une adhésion positive. » CQFD.

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Explosion «terroriste» dans le métro à Londres

Publié par Guy Jovelin le 15 septembre 2017

Plusieurs personnes ont souffert de brûlures après la détonation d'un engin artisanal dans une rame du métro à l'heure de pointe. La police considère l'affaire comme un acte «terroriste».

Correspondant à Londres

Une explosion s'est produite vendredi matin à l'heure de pointe dans le métro de Londres. Une détonation suivie de flammes a eu lieu dans un wagon d'un train à la station de Parsons Green, dans le sud-ouest de la capitale. Au moins une vingtaine de personnes ont été blessées, principalement des brûlures au visage ou aux membres, selon les premiers témoignages.

Des photos postées sur Twitter montrent un seau en flammes dans un sac en plastique sur le sol de la rame qui ne semble pas avoir été endommagée par l'explosion. 

Les services de secours ont été appelés à 8h20 (9h20 à Paris) et sont arrivés sur place en cinq minutes. Le métro, sur la District line, est à cet endroit à ciel ouvert. Des photos postées sur Twitter montrent un seau en flammes dans un sac en plastique sur le sol de la rame qui ne semble pas avoir été endommagée par l'explosion. Leur authenticité n'a pas été confirmée, mais les témoignages de passagers semblent corroborer cette hypothèse. Des témoins évoquent une «boule de feu» traversant le wagon.

Panique

Une journaliste de la BBC, Riz Lateef, présente sur les lieux, en route vers son travail, témoigne de la «panique alors que les gens se précipitaient pour sortir du train». Certains ont été blessés dans la précipitation. Une femme a été évacuée sur une civière. «Beaucoup de gens boitaient et étaient couverts de sang. Plein de gens pleuraient et tremblaient», a raconté un témoin sur BBC 5 Live.

La police considère l'événement comme un acte «terroriste». Les services antiterroristes ont repris l'enquête, initialement lancée par la police des transports. Selon le Daily Mail, un second engin explosif artisanal n'aurait pas fonctionné.

Le trafic a été interrompu sur la ligne de métro et la circulation coupée dans le quartier de Parsons Green pour faciliter l'accès des secours. De nombreux Français expatriés vivent dans ce quartier, où se trouve une école francophone. La première ministre Theresa May doit tenir une réunion de crise des services de sécurité en début d'après-midi.

Londres a subi deux attaques terroristes cette année, à Westminster (4 morts), en mars, et à London Bridge en juin (8 morts). 22 personnes ont été tuées dans l'explosion d'une bombe dans une salle de concert à Manchester en mai. Tous ces attentats ont été revendiqués par l'État islamique.

 
Florentin Collomp
 
Source : lefigaro

Paris : un militaire de l’opération Sentinelle attaqué par un homme armé faisant référence à Allah

Publié par Guy Jovelin le 15 septembre 2017

vigipirate

Un homme a attaqué un militaire de l'opération Sentinelle, vendredi à Paris, à la station de métro Châtelet, sans faire de blessé. L'agresseur a été arrêté.

Un homme armé d'un couteau a attaqué un militaire de l'opération Sentinelle en patrouille à la station de métro Châtelet à Paris, vendredi vers 6h30, sans faire de blessé, a-t-on appris auprès de la Préfecture de police. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'assaillant, rapidement maîtrisé par le militaire, aurait tenu des propos faisant référence à Allah, a précisé une source policière.

Septième attaque contre la force Sentinelle. L'individu n'était pas connu des services de police, a ajouté une source policière. L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire. C'est la septième attaque contre des militaires de la force Sentinelle, mise en place dans le cadre du plan Vigipirate après les attentats de janvier 2015. La dernière en date a fait six blessés parmi un groupe de militaires percutés le 9 août par une voiture à Levallois-Perret, dans les Hauts-de-Seine.

Source et article complet

Moissac (82) : Le collège privé remet l’uniforme et le lever du drapeau au goût du jour

Publié par Guy Jovelin le 15 septembre 2017

 
 

En cette rentrée, les nouveautés sont nombreuses au collège privé Jeanne-d’Arc de Moissac. Première d’entre elles : l’uniforme. Un sweat à capuche, un pull et un polo bleu marine sur lequel est inscrite la devise de l’école (« Par-dessus tout, la charité ») constituent la nouvelle tenue de tous les élèves. Une décision mûrement réfléchie et discutée au cours de nombreuses réunions, indique le directeur de l’établissement Marc Ternisien. « Il s’agissait d’une demande répétée de nombreux parents. Les élèves ont été consultés l’an dernier et sont globalement contents. »

(…) Enfin, depuis cette rentrée, des « préfets » sont désignés dans chaque classe. Ils sont chargés de faire le lien entre les adultes et les élèves. Des délégués pour tout ce qui concerne la théologie constituent aussi une nouveauté. L’objectif de ces initiatives est de créer un sentiment de fierté et d’appartenance. « À l’école, on apprend les croisades et la colonisation, mais on voit assez peu les réalisations nationales, or, il y a aussi de très jolies choses sans sombrer dans l’angélisme, explique Marc Ternisien. Notre idée est de faire aimer la nation. » L’homme ne craint pas la récupération par certains mouvements : « C’est le drapeau de tous les Français, pas celui d’un mouvement. Cela permet de laisser moins de champs à ceux qui essayent d’en faire une exclusivité politique. »


La Dépêche

L’Education nationale va disposer d’une « cellule laïcité »

Publié par Guy Jovelin le 15 septembre 2017

Jean-Michel Blanquer a annoncé la création d’une cellule laïcité qui rassemblera des juristes, des spécialistes de la radicalisation ou de la laïcité, afin de lutter contre les « dérives » au sein des établissements scolaires.

Selon le ministère, il s’agirait d’une équipe « restreinte » d’experts juridiques, de spécialistes de la radicalisation ou de la laïcité qui devront être un soutien aux chefs d’établissements et aux référents laïcité déjà présents dans les académies. Le dispositif devrait être mis en place au début de l’année prochaine, dès le mois de janvier. À ce propos, le ministère reconnaît que « jusqu’ici, il pouvait y avoir des disparités entre les territoires » et qu’il « n’y avait pas dans tous les établissements la même attention » aux questions de laïcité.

Karine Autissier, secrétaire nationale de l’UNSA Éducation, souhaite également que le nouveau dispositif préserve l’efficacité des référents laïcité déjà présents sur le terrain. « Ils permettent de dépassionner le débat et de trouver des solutions », estime-t-elle, citant au passage le rapport «Laïcité et fonction publique » qui « montre que les problèmes, lorsqu’ils sont détectés, sont résolus par les référents laïcité grâce à un rappel à la loi et au dialogue ».

La cellule nationale devrait intervenir « quand les référents des académies n’auront pas la solution à eux seuls ». Pour le ministère, il s’agirait effectivement de permettre aux référents laïcité et aux chefs d’établissements de faire appel aux connaissances et au soutien d’experts.

La Croix