Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 05 octobre 2017

Installation d’un camp de migrants dans l’université de lettres de Clermont-Ferrand

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2017

Les universités françaises vont-elles devenir des nouveaux terrains de campements pour clandestins ?

Fin septembre, l’université de Reims fermait ses portes à ses étudiants à cause de l’installation sauvage par une cinquantaine de migrants illégaux d’un campement dans l’enceinte du campus. La sécurité n’étant plus assurée sur le domaine, le président de l’université avait décidé de prendre cette mesure dans l’attente que les pouvoirs publics trouvent une autre solution de relogement.

L’idée des illégaux de s’installer sur les terrains universitaires a fait des petits…

Depuis mardi 3 octobre, c’est au tour de la faculté de lettres de Clermont-Ferrand, sise en pleine ville, d’être envahie par un campement de migrants. Plus d’une centaine d’entre eux ont planté leur tente sous les fenêtres des salles de cours. Ils se servent des commodités de la fac comme bon leur semble, utilisent les prises électriques pour recharger leur portable, et se promènent au sein des étudiants dans les couloirs universitaires. Pour l’instant, ni le président de l’université ni les pouvoirs publics n’ont entrepris de les déloger. Le campement avec toutes ses nuisances et ses dangers s’installe pour le long terme…

En plein état d’urgence, dans une France soumise à des attentats meurtriers ou des tentatives d’attentats presque chaque jour, une telle complaisance envers des clandestins majoritairement musulmans de la part d’un État toujours plus laxiste est une infamie.

Et le plan anti-terroriste mis en place par le gouvernement Macron n’est qu’un attrape-nigaud de plus…

Francesca de Villasmundo  

 

Source : medias-presse.info

En 2016, vingt-six policiers et gendarmes sont morts dans l'exercice de leur fonction en France

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2017

Un gendarme et un policier municipal sur une plage de l'île Dumet au large de Piriac-sur-Mer (Loire-Atlantique), le 13 juillet 2017.
Un gendarme et un policier municipal sur une plage de l'île Dumet au large de Piriac-sur-Mer (Loire-Atlantique), le 13 juillet 2017. (LOIC VENANCE / AFP)

En 2016, vingt-six policiers et gendarmes sont morts dans l'exercice de leur fonction en France

Un bilan lourd pour les forces de l'ordre. Vingt-six policiers et gendarmes sont morts dans l'exercice de leur fonction en 2016 en France, selon une étude publiée jeudi 5 octobre. L'année a été marquée par l'assassinat jihadiste de Magnanville, par plusieurs dramatiques accidents et par une hausse du nombre de blessés chez les forces de l'ordre plus souvent agressés.

L'augmentation du nombre d'agressions sur des policiers ou des gendarmes en service actif est une tendance qui s'inscrit sur le long terme.

Christophe Soullez,chef de l'ONDRP.

AFP

Selon ce bilan dressé par l'ONDRP (Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales), deux policiers et quatorze gendarmes ont péri alors qu'ils exerçaient une mission opérationnelle de police. Les décès des dix autres fonctionnaires et militaires sont survenus en dehors de leur temps de mission, mais alors qu'ils étaient "en service" (période d'astreinte, formation ou trajets domicile-travail).

Les gendarmes lourdement touchés

Ce bilan humain de 26 morts "est en forte hausse comparé à 2015, année durant laquelle 14 agents avaient perdu la vie", commente l'ONDRP. Depuis 2012, les deux forces de sécurité comptabilisent chaque année en moyenne 19 décès. Les gendarmes ont payé le plus lourd tribut, avec notamment le crash d'un hélicoptère en mai 2016 dans les Hautes-Pyrénées, dans lequel quatre militaires sont morts, et un accident de la route en décembre de la même année dans l'Oise, qui a coûté la vie à trois jeunes gendarmes.

Sur l'ensemble des 16 décès de policiers et gendarmes "en mission", quatre ont été causés par l'usage d'une arme ou une agression physique. Ce total n'intègre pas l'assassinat du commandant de police Jean-Baptiste Salvaing et de sa compagne Jessica Schneider, à leur domicile de Magnanville (Yvelines) par un tueur se revendiquant de l'Etat islamique, répertorié parmi les morts "en service".

 

Source : mobile.francetvinfo

Ulla Lundegård, féministe suédoise : « La polygamie, ce n’est pas si horrible… »

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2017

 

Pourquoi serait-ce si horrible qu’un homme arrive en Suède avec trois épouses et une ribambelle d’enfants ?
Est-ce que chaque membre de cette famille est plus pestiféré que chacun d’entre nous ? Ces personnes n’ont-elles pas un droit égal à vivre dignement et à résider en Suède ?

Pourquoi insistons-nous autant sur le fait que cet homme a trois épouses ? Et pourquoi ces déclarations de rejet quand la municipalité doit procurer un logement à tous ces gens ? Ils ont aussi le droit de vivre, non ?

[…]

Il se peut même qu’ils vivent une vie plus intéressante que de nombreux couples suédois […]

Ce que je veux dire par là, c’est que la tradition patriarcale prévaut dans toutes les générations, dans toutes les couches, en privé et en public.[…] et nous en sommes tous victimes, quel que soit le sexe ou la culture.‎

Ulla Lundegård, artiste et écrivain

(Traduction Fdesouche)

Expressen

Le gauchisme est éternel !

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2017

Rédigé par notre équipe le 04 octobre 2017

 
 
C’est bien connu, la gauche a le monopole du cœur et de la morale. Alors, plus on est à gauche, plus on peut s’ériger en parangon de vertu. Des modèles qui oublient pour certains de payer leurs cotisations sociales ou qui pleurent les terroristes qui assassinent les Français dans nos rues. Le gauchisme continue de se perdre et ne pourra jamais prendre le pouvoir, n’en déplaise à un Mélenchon qui croit l’arracher au banquier Macron.

Mélenchon et les Insoumis comme première force d’opposition à En Marche. Macron en rêvait, les médias l’ont fait ! Entre ces deux forces politiques, il n’y aurait qu’un désert qui oblige à choisir sa voie : l’ultralibéralisme économique mâtiné d’une gauche sociétale infecte ou l’extrême gauche mélenchonienne secondée par quelques sectes d’obédience marxiste-léniniste. Le choix est fort peu sympathique et pour les brebis qui pourraient s’égarer, l’actualité se charge de lever une partie du voile sur ce qu’est vraiment l’extrême gauche.

Les cotisations sociales : c’est bien, mais seulement pour les autres

Sur le plan économico-sociale, elle prend la forme d’une contestation dure contre la réforme du Code du Travail. Les salariés n’ont, par exemple, pas besoin de voir les indemnités prud’homales être plafonnées en cas de harcèlement, mais ils n’ont pas non plus besoin d’être représentés par des porte-paroles auto-proclamés qui ne respectent même pas les règles les plus élémentaires de l’imposition et de la solidarité entre les générations. C’est ainsi que Raquel Garrido, porte-parole des Insoumis, égérie des plateaux de télévision où elle est devenue officiellement chroniqueuse sur C8 – une chaîne rappelons-le détenu par un « grand ami » de l’extrême gauche : Vincent Bolloré. Mais sa principale activité est censée être le métier d’avocat.

Il n’est pas sûr qu’être défendu par la franco-chilienne insoumise soit une bonne idée, car ses notions de droit sont plus que douteuses. La preuve en est que depuis six ans, elle a oublié de payer ses cotisations sociales à la caisse de retraite des avocats. L’information publiée dans le Canard Enchaîné n’a fait l’objet d’aucun démenti ou de déclaration de la part de celle qui squattait encore il y a peu les plateaux de télévision. Pour gueuler, il y a du monde, mais dès qu’il faut payer la note ou se justifier de ne pas l’avoir fait, le silence est d’or. Plus de 32 000 euros d’impayés, on comprend aisément que la première réaction soit mûrement réfléchie… Garrido n’a plus aucune crédibilité si tant est qu’elle en eut une.

Non ! Un terroriste n’est pas un « martyr »

Dans un autre registre, mais qui illustre lui aussi le dégoût que suscite l’extrême gauche, la palme revient à Sonia Nour, collaboratrice à la mairie de La Courneuve. Celle qui se définit comme militante communiste et décoloniale a posté sur les réseaux sociaux un message qui fait froid dans le dos à propos de l’attentat de Marseille : « Quand un martyr égorge une femme et poignarde une autre là ça fait du bruit. Terrorisme, du sang, civilisation bla bla bla… Par contre que le terrorisme patriarcal nous tue tous les deux jours on l’entend moins votre grande gueule ». Outre le langage ordurier qui vient conclure cette saillie, qualifier le terroriste de « martyr » est un outrage à la mémoire des victimes et à la nation française. En droit, cela s’appelle « apologie du terrorisme ». Le maire communiste de la charmante bourgade qu’est La Courneuve a été obligé de condamner ces propos et de suspendre sa collaboratrice. La Justice fera-t-elle son travail ? Comment peut-on avoir de tels individus dans nos mairies ?

Et pour bien faire comprendre dans quel camp elle se place, elle minimise l’horreur des crimes terroristes et conclut avec un superbe : « Suite au déferlement de haine des fachos, je viens de me faire suspendre de mon taf et je vais en conseil de discipline pour un statut Facebook ». Etre quelque peu réservé à l’endroit du terrorisme est synonyme d’esprit fascisant pour certains… Des propos incroyables qui montrent le degré de dépravation d’une certaine gauche coupable de s’allier avec tous les ennemis du genre humain pour espérer ne pas sombrer trop vite dans les oubliettes de l’Histoire. Rassurez-vous mesdames et messieurs les gauchistes, les crimes passés et présents dont vous êtes si fiers ne seront pas oubliés.

 

Source : 24heuresactu