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vendredi, 08 décembre 2017

Le Danemark pourrait envoyer les demandeurs d’asile déboutés vivre sur des îles désertes

Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2017

Inger Stojberg
  • Le ministre de l'immigration, Inger Stojberg, est réceptive à la proposition du parti d'extrême droite.
  • Le plan verrait les demandeurs d'asile déboutés expédiés vers des îles inhabitées.
  • Il y a 300 îles sur le territoire danois et 1 000 demandeurs d'asile déboutés.

Il y a un peu moins de 1 000 demandeurs d'asile déboutés au Danemark qui attendent d'être expulsés. Leur sort est une question politique brûlante dans la nation nordique.

Stojberg, qui représente le centre-droit du parti Venstre dans un gouvernement de coalition, a déclaré: "Je suis toujours prête à chercher de bonnes idées pour améliorer le contrôle des demandeurs d'asile déboutés.

"Bien entendu, c'est une proposition du parti populaire danois" a-t-elle déclaré au quotidien danois Berlingske.

Stojberg a toutefois averti que même si c'était souhaitable, le plan risque de ne pas être réalisable.

"Il peut y avoir des défis pratiques et juridiques qui doivent être considérés en établissant un centre dans un endroit très isolé", a-t-elle dit.

(...)

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

Macron en Algérie : toujours plus de visas !

Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2017

Passons rapidement sur le côté économique de la « visite éclair » du président Emmanuel Macron à Alger.

Il est vrai que la France a perdu, depuis 2013, son leadership de premier partenaire de l’Algérie avec 20% d’exportations. Ce pourcentage a chuté à 10% en 2016 et n’atteint que 9% pour le premier semestre 2017, et tout cela au profit de la Chine, bien entendu.

L’Algérie reproche à la France son absence d’investissement alors que le problème majeur, qui justement freine totalement ce manque d’investissement, surtout celui de très nombreuses PME qui y seraient intéressées, est sa loi du 51/49, ce qui est tout à fait compréhensible, ainsi que la grande instabilité du cadre de réglementation des licences d’importations.

Seules quelques grandes entreprises internationales s’impliquent : Lafarge, Alstom, Sanofi, Schneider, Total et notamment la prochaine installation d’une usine de montage Peugeot.

Autre problème majeur, celui de la lutte contre le terrorisme et le manque d’implication évident de l’Algérie dans le regroupement des États du « G5 Sahel », qui se réunira à Paris le 13 décembre. Y participeront les États-Unis, l’Allemagne et même l’Arabie Saoudite, mais pas l’Algérie !

Mais, peut-être aurons-nous une réponse lors du prochain déplacement en France du Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia, qui présidera le « Comité Interministériel de haut niveau algéro-français ».

Il réclamera certainement l’indemnisation des victimes algériennes des essais nucléaires et chimiques français effectués au Sahara jusque dans les années 70.

Omettant volontairement de se prononcer sur l’indemnisation, toujours espérée, que l’Algérie devait payer, selon les fameux « Accords d’Évian », sur les biens abandonnés lors du départ des Français en 1962 et qui se chiffrent par des milliards d’euros !

Le Premier ministre algérien remettra sur le tapis la question mémorielle inévitable et totalement inutile de la « repentance » sur les « crimes contre l’humanité » de l’époque coloniale, ceux de la France évidemment, pas ceux des terroristes algériens ni des assassins du FLN et de l’ALN !

Emmanuel Macron a tenté de mesurer par la suite ses propos et semble y avoir mis un point final en annonçant qu’il rejetait aussi bien le « déni » que la « repentance » ! Faudra voir ce qu’en pense son éminence grise Benjamin Stora ! Ce pseudo historien trotskiste, communiste, qui le suit comme son ombre ?

Emmanuel Macron va fêter ses 40 ans dans quelques jours. Il n’a connu ni l’avant-guerre, ni la guerre, ni même l’après-guerre d’Algérie, c’est-à-dire la manière odieuse et honteuse que fut la conduite de la France, de son chef de l’état et de son gouvernement dans l’accueil (si l’on peut appeler cela un accueil) des Français d’Algérie et des Harkis et si l’on peut, à juste titre, lui reprocher certaines déclarations incontrôlées et injustifiables, l’un des principaux responsables en est certainement Benjamin Stora, l’un de ses maîtres à penser, hélas !

Stora n’avait que 4 ans lors du début des évènements, en 1954, et 12 ans lors de son départ d’Algérie et l’on peut se demander quels contacts physiques ont été les siens avec la « guerre d’Algérie », à part ses lectures « d’intellectuels gauchistes » tout comme lui.

Et ceci explique cela car, contrairement à ce qu’il affirme il n’a jamais été un contemporain de la guerre d’Algérie et n’a eu aucun rapport physique avec cette histoire.

C’est à cause d’un Benjamin Stora qu’Emmanuel Macron ne peut pas avoir, sur ce passé douloureux, un regard lucide et plus distancié !

Nous sommes quelques uns à sa disposition s’il exprime le désir d’en savoir davantage, et avec une bien plus grande objectivité, sur l’avant, le pendant et l’après « Guerre d’Algérie ».

Il a promis de « renvoyer » en Algérie les crânes des 36 résistants algériens du 19esiècle, le colis ne sera pas très volumineux. En revanche, si l’Algérie devait nous retourner les crânes des milliers de nos morts, assassinés par le FLN après le cessez-le-feu unilatéral ordonné par les « Accords d’Évian » ce seraient plusieurs voyages qui seraient nécessaires !

Une consolation pour la France, nous en parlions récemment sur « Riposte Laïque », elle ne perd pas de parts de marché sur le nombre de visas attribués aux jeunes algériens qui souhaitent « fuir » leur pays, bien au contraire : plus de 400.000 en 2016 et ils atteindront les 600.000 en 2017, à cause de la crise économique qui frappe l’Algérie et n’est pas près de cesser si le pays reste aux mains des « Bouteflika » !

Manuel Gomez

 

Source :ripostelaique

Paradis fiscaux : sans surprise, l’UE se ridiculise

Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2017

Rédigé par notre équipe le 07 décembre 2017 

Attendue depuis des années, la liste des paradis fiscaux dressée par l’Union européenne a accouché d’une souris. Ce sale coup était prévu tant les critères pour coucher un nom sur le papier étaient à géométrie variable et devaient recueillir l’unanimité des pays membres de l’UE. Le Luxembourg, l’île de Man, Guernesey ? Circulez, il n’y a rien à voir ! Mais promis, la liste sera mise à jour régulièrement… 

Le 5 décembre 2017 devait être une grande date dans l’histoire de la lutte contre les paradis fiscaux. Des dizaines d’Etats aspirent des centaines de milliards de dollars grâce à des circuits financiers plus ou moins légaux devaient être mis hors jeu. Mais qu’est-ce que la légalité (et la morale) face à l’appât du gain ? L’Union européenne ne compte-t-elle pas des paradis fiscaux en son sein ? A croire la liste publiée par cette dernière la réponse est « NON » ! Pour excuse, il faut souligner que la liste noire ne compte que dix-sept noms… Donc les îles anglo-normandes, et Malte pour ne prendre que ces exemples, n’ont pas eu l’occasion de se faire une place dans cette liste !

Deux listes pour une double fumisterie

C’est bien dommage et comme prévu, les ONG sont scandalisées face à une liste complètement tronquée où manque une bonne trentaine d’Etats. Taper sur Trinidad-et-Tobago ou la Namibie est une farce qui ne plaît qu’à Pierre Moscovici. Le Commissaire européen à la Fiscalité a oublié ses belles paroles d’avril 2016 après les révélations du LuxLeaks : « Il faut en finir avec cette hétérogénéité et parfois ces complaisances ou ces attitudes compréhensives à l’égard des paradis fiscaux ». La complaisance a encore de beaux jours devant elle, même si Moscovici pérore désormais avec cette liste qui constitue une « étape » importante dans « le combat contre les paradis fiscaux ».

Une étape et donc pas une ligne d’arrivée. C’est ce que laissent entendre les européistes amoureux de la finance internationale la plus débridée. Car en plus de la première liste risible de dix-sept noms, ces génies ont monté un bric-à-brac qualifié de liste grise et comprenant quarante-sept juridictions dont les fameuses îles anglo-normandes. Malte, le Luxembourg, l’Irlande et les Pays-Bas manquent toujours à l’appel… Le sérieux n’est pas le fort de ces fonctionnaires bruxellois ! On apprend que certains pays ont été exfiltrés de la première liste in extremis et que d’autres n’ont pas eu assez de poids diplomatique pour éviter cette injure publique sans aucune conséquence in fine.

Car, il est bien joli de constituer des listes (qui ne tiennent pas la route) si ce n’est que pour les mettre sur un coin de table. Des sanctions réelles seront-elles prises ? La réponse est là encore négative, car le système financier mondial repose aussi sur les trous noirs que sont les paradis fiscaux. Les profiteurs du système peuvent-ils vraiment y mettre un terme ?

Ainsi, le peuple aura le droit régulièrement à des entrées (et des sorties) spectaculaires de la liste noire et dans quelques mois à peine, les eurocrates affirmeront que « le système financier mondial est beaucoup plus sain même si des efforts supplémentaires doivent être fournis ». Que les paradis fiscaux dorment sur leurs deux oreilles et leurs sacs d’or. La grande récréation peut continuer !

La liste noire comprend : la Mongolie, la Namibie, la Tunisie, la Corée du sud, Bahreïn, les Samoa, les Samoa américaines, l’île de Guam, Grenade, Macao, les Iles Marshall, les Palaos, Sainte-Lucie, Trinité-et-Tobago, les Emirats arabes unis, le Panama et la Barbade.

 

Source : 24heuresactu

La France, numéro 1 en Europe... pour les impôts

Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2017

Unknown-44La France a brillamment défendu sa première place européenne en matière de taxes et de cotisations sociales.

En 2016, les prélèvements fiscaux et sociaux ont représenté 47,6 % de la richesse produite (PIB) en France, contre 47,3 % au Danemark, deuxième du classement, et 46,8 % en Belgique, d'après les chiffres publiés jeudi par l'office européen de statistiques, Eurostat.

Comme les années précédentes, la France doit sa première place au poids des cotisations sociales. Celles-ci pèsent 18,8 % du PIB, record européen, soit un peu plus de deux points que le deuxième sur le podium, c'est-à-dire l'Allemagne (16,7 % du PIB). Quant aux impôts sur les entreprises (16,1 % du PIB), ils se situent nettement au-dessus de la moyenne de l'Union européenne (13,6 %). En revanche, les taxes et impôts frappant les particuliers, à 12,5 % du PIB, se situent légèrement en dessous de la moyenne de l'UE (13 %).

C'est le genre de record dont on n'aimerait se débarrasser.

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige