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samedi, 23 décembre 2017

Carl Lang et Le Parti de la France vous souhaitent une heureuse et sainte fête de Noël.

 

Le Parti de la France

Allemagne: Une famille de réfugiés afghans reçoit un appartement neuf de 140 mètres carrés.

Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2017

Flüchtlinge, Wohnung, Raunheim
 
 

Question: Qui parmi les Européens pourraient se payer un tel appartement de 140 mètres carrés?

Extrêmement peu de personnes! Non seulement ces migrants vident nos caisses, imposent l'islam, font énormément d'enfants qui à leur tour propageront encore davantage ce dogme, mais encore nos autorités les protègent et nous font passer à la caisse tout en nous traitant de racistes à la moindre contestation!

Rien qu'en constatant le standing de la cuisine, on sait très bien qu'on se trouve devant un appartement de luxe, moderne, offert à des gens qui n'ont jamais cotisé et dont la famille se revendique clairement musulmane alors que les musulmans ne cachent guère leur mépris à notre égard!

A noter qu'ils ont eu un enfant en sachant que ce sont les contribuables allemands qui devront financer. Et cela, pendant que les Européens comptent chaque sou en fin de mois!

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RAUNHEIM. 

Les yeux de Vida s'illuminent: "J'ai une très belle chambre." La jeune fille de 15 ans présente fièrement son royaume et s'excuse en même temps: elle n'a pas encore de meubles, donc ça a l'air un peu brouillon.

Deux matelas avec literie sont sur le sol. Pendant plusieurs nuits, son frère Sherzad, âgé de sept ans, dort avec elle. Quand la peur s'empare d'elle, si seule dans la chambre noire, car la chambre des parents est située de l'autre côté de l'appartement de 140 mètres carrés et semble alors si loin.

En tant que seule fille parmi les quatre frères cadets, Vida a été autorisée à emménager dans sa propre chambre. Les garçons Sherzad, Arfan (dix ans) et Arian (douze ans) partagent une chambre. Le plus jeune, Shazad, n'a que sept semaines. Les parents, Tahira et Akhtar Rahimi, sont heureux. Au début du mois de décembre, ils ont emménagé dans un appartement de cinq pièces à Raunheim. Le superviseur des réfugiés, Jens Grode, se réjouit du développement des conditions de vie de la famille.

 

Flüchtlinge, Wohnung, Raunheim

(...)

Ils ont acheté un tapis pour le salon il y a quelques jours. Une armoire et un lit pour la fille sont commandés. La fille ne peut pas attendre. L'achat de meubles est un grand défi pour la famille. Parce qu'elle n'a pas de voiture, elle est donc tributaire des transports en commun et doit se faire livrer ses meubles.

Sans oublier les prix. "Un lit coûte 300, 400, 500 euros", explique Vida. Les réfugiés reconnus reçoivent un soutien financier pour commencer à acheter des meubles auprès du Jobcenter.

La cuisine est entièrement meublée.

Tahira Rahimi est une cuisinière passionnée et se sent bien. La cuisine dans sa maison en Afghanistan avait été construite par le père de la famille.

Source et article complet Traduction libre Les Observateurs.ch

Une Europe d’endettement…

Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2017

 

Au mois de novembre, nous avions vu le taux d’endettement des divers puissances économiques mondiales. Les derniers chiffres viennent de tomber en ce qui concerne l’Europe, et certains pays déjà en situation précaires, telles l’Italie et la Grèce, voient celle-ci se détériorer encore plus, alors que celle de l’Irlande s’est considérablement améliorée.

On peut diviser l’Europe en 5 strates :

  • Pays à endettement catastrophique (+ de 100 % du PIB) : Grèce (182 %), Italie (133 %), Portugal (126 %¨), Belgique (107%).
  • Pays à endettement lourd (+ de 75%) : Espagne (100 %), Chypre (98 %), France (97 %), Royaume-Uni (92 %), Croatie (88 %), Autriche (86 %), Slovénie (79 %), Irlande (78 %), Hongrie (75 %).
  • Pays à endettement modéré (+ de 50 %) : Ukraine (72 %), Albanie (71 %), Allemagne (69 %), Serbie (66 %), Finlande (65 %), Pays-Bas (64 %), Malte (63 %), Biélorussie (61 %), Monténégro (60 %), Islande (57 %), Slovaquie (52 %), Macédoine (51 %).
  • Pays à faible endettement (+ de 25 %) : Bosnie (47 %), Pologne (45 %), Moldavie (45 %), Lituanie (42 %), Andorre (41 %), Suède (41 %), Danemark (40 %), Lettonie (39 %), Roumanie (39 %), Tchéquie (35 %), Suisse (33 %), Turquie (33 %), Norvège (32 %), San Marin (26 %).
  • Pays à endettement très faible (- de 25 %) : Bulgarie (24 %), Luxembourg (21 %), Kosovo (15 %), Russie (14 %), Estonie (10 %).
  • Pays sans dettes (0 %) : Liechtenstein, Monaco.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

LE GRAIN DE SEL DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2017

Le grain de sel de Jean-Claude ROLINAT

Attendue, espérée, la clarification de la situation politique par les urnes en Catalogne a  tourné au cauchemar au soir du jeudi 21 décembre 2017. La vox populi a offert à la Catalogne  et à l’Espagne la pire des situations ! Si les partis hostiles à l’indépendance sont majoritaires en voix,près de 52 %, ils sont minoritaires en sièges au Parlement local de Barcelone. Une solution, provisoire,schizophrénique ! 

Examinons de plus près les résultats des uns et des autres. Les séparatistes, qui retrouvent quasiment leur dernier score avec 47,6 % des 82 % de votants, obtiennent 70 des 135 sièges du Parlement régional, soit deux de plus que la majorité absolue, mais deux de moins qu’en 2015. Ils posent un défi majeur à l’Espagne et affrontent, une fois de plus, Mr Mariano Rajoy, chef du gouvernement central de Madrid et administrateur, provisoire, de la Généralité. Au sein de cette coalition indépendantiste, les électeurs ont placé en tête avec 34 députés, la liste  « Ensemble pour la Catalogne », celle justement de Carles Puigdement, le Président destitué qui vient d’être réélu député. « L’Etat espagnol a été vaincu. Rajoy et ses alliés ont perdu le plébiscite qu’ils cherchaient », a-t-il déclaré depuis Bruxelles où il est exilé. 

Une opposition majoritaire en voix, minoritaire en sièges 

Le camp unioniste est dispersé. Le Parti populaire du Premier ministre espagnol subit une « raclée » majeure en ne retrouvant que trois fauteuils de parlementaires sur les huit sortants. PODEM, « Catalogne en commun », le parti de la maire de Barcelone, la gauchiste Ada Colau, qui est favorable à un référendum d’autodétermination mais hostile à l’indépendance, a obtenu huit sièges. En revanche, le jeune parti CIUDADANOS emmené par la brune Ines Arrimadas ,caracole en tête des opposants à la sécession avec 25 % des voix et 37 députés. Mais, même en ajoutant les sièges de tous ces mouvements, ils n’en  cumulent que 57. C’est la quadrature du cercle….  

Fracturée, la Catalogne sera difficilement gouvernable 

Sur le papier, il y a une majorité. Conduite par qui ? Le leader sortant, Puigdemont, est toujours poursuivi pour «  rébellion, sédition et malversation de fonds publics » pour avoir organisé un référendum illégal. Son Vice-président issu de la gauche radicale, qui vient d’être comme lui réélu, est toujours sous les verrous. Il avait mené campagne depuis sa cellule grâce aux….tweets ! Au moment où ces lignes sont écrites, Rajoy et Puigdement, séparément bien sûr, vont s’exprimer. L’enjeu est énorme, et aucun des deux ne veut et ne peut perdre la face. Il n’y a plus, désormais, d’alternative : il faut, une fois pour toutes, trancher dans le vif. La seule solution réside désormais, selon nous, dans l’organisation légale d’un référendum constitutionnel sur, effectivement, oui ou non, la séparation de la Catalogne d’avec l’Espagne. Ceux qui ont joué avec le feu, qui bénéficient, encore, d’un injuste découpage électoral favorisant la province contre Barcelone, la ruralité contre les villes catalanes à l’exception de Gérone, fief de Puigdemont, en seront pour leurs frais : il n’y a pas, « aujourd’hui et maintenant », de majorité pour l’indépendance. 

Les indépendantistes Corses comme ceux du FLNKS auraient tort de se réjouir prématurément 

On sait que le dimanche 3 décembre, les électeurs corses ont voté majoritairement pour la liste coagulant autonomistes et indépendantistes, enfin ceux qui se sont déplacés, car un inscrit sur deux n’a pas voté ! Alors, Messieurs  Siméoni et Talamoni, les deux Présidents sortants de l’exécutif et du « législatif » corses, peuvent bien pérorer, se réjouir, se congratuler, se féliciter de leur performance, « à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire ». La seule satisfaction que l’on puisse ressentir à l’issue de ce scrutin marqué par un recul considérable du Front National qui, avec 3 % des suffrages, n’obtient aucun siège, - alors que sa Présidente avait été en tête lors de l’élection présidentielle du printemps dernier-,c’est que les institutions politico-administratives de la collectivité territoriale corse sont simplifiées. En effet,départements et région fusionnant, leurs compétences s’additionnent. 

En Nouvelle-Calédonie, le Premier ministre Edouard Philippe a fait la « tournée des popotes ». En 2018 , l’île et ses dépendances se prononceront sur leur maintien ou non au sein de la République française. Si la question était clairement posée, il ne fait aucun doute que les électeurs, toutes ethnies confondues, voteraient contre l’indépendance. Mais la question posée n’est pas encore rédigée et tout dépendra des options présentées au peuple géographiquement mêlé, des Canaques, des « caldoches », des Wallisiens et autres indonésiens. Dans les deux cas touchant la plus proche commela plus éloignée de nos îles, l’intégrité de notre territoire est menacée. Nous ne ne pourrons pas plaire à tout le monde. Quand je dis « nous », ce sont les patriotes, ce sont les Français attaché à l’unité de leur pays, qu’il soit continental ou… « exotique ». Mais les réalités historiques comme géographiques nous commandent d’être pragmatiques. On ne gouverne pas des îles comme la Seine-et-Marne ou le Loir-et-Cher ! Il y a dans ces zones aux caractères culturels bien trempés, parfois, opposés, des spécifiés dont il faut, nécessairement, tenir compte. Justement, l’autonomie, l’autogouvernement pour les questions qui ne relèvent pas du domaine régalien, offrent des solutions susceptibles de contenter tout le monde : ceux qui veulent que l’unité nationale soit respectée et, « en même temps » comme dirait Emmanuel Macron, ceux qui veulent «  de l’air » pour régler localement leurs affaires administratives, économiques et politiques. De plus, rien n’empêcherait, sous réserve de modification institutionnelle, que ces possessions insulairespuissent directement coopérer avec leurs voisins dans un dialogue régional fructueux : Cagliari n’est pas loin d’Ajaccio, Nouméa n’est pas très éloignée de Port Vila ! C’est tout le mal que l’on peut souhaiter à ces deux perles du collier français ! 

Jean-Claude ROLINAT