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vendredi, 02 février 2018

« Les conflits religieux augmentent dans l’entreprise, presque toutes les questions concernent les musulmans »

Publié par Guy Jovelin le 02 février 2018

Par  le 02/02/2018

Confrontées à des revendications ou des comportements dictés par la religion, les entreprises tentent de résoudre les problèmes avec discrétion. Elles savent que le moindre faux-pas risque d’être récupéré.

C’était «un collaborateur très bien noté», «sérieux» et «performant». Un matin de 2015, il ne s’est pas présenté sur le chantier où on l’attendait. «On a découvert qu’il venait d’être interpellé, raconte le DRH de cette entreprise de travaux publics. En prison pour djihadisme, à la suite d’un voyage en Syrie.» Dans cette société de BTP, qui possède plusieurs filiales régionales, l’affaire a créé un choc: «On n’avait rien vu venir! s’effare encore la direction.

On a essayé de savoir s’il avait eu le temps de semer de mauvaises graines… Aujourd’hui, avec l’aide des syndicats, on surveille de près certains de nos salariés très pratiquants. Et parfois, on nous rapporte des propos incroyables!» Des propos, mais aussi des comportements «incroyables» que l’on retrouve surtout dans de grandes entreprises de main-d’œuvre, mais qui commencent à toucher tous les secteurs. Même si bien peu de managers osent en parler publiquement. «Faut-il étouffer ces faits religieux? Réprimander? Interdire? S’accommoder?, s’interroge l’un d’eux. En fait, nous sommes bien désemparés…»

Dans l’entreprise de BTP, on a bien sûr immédiatement pensé à licencier le salarié djihadiste. Mais le directeur régional a supplié: «Dans cette ville moyenne, tout le monde savait où ses enfants allaient à l’école, explique le directeur des ressources humaines. Il faut rappeler que deux mois auparavant, en Isère, un patron avait été décapité par un terroriste… Or la famille de notre salarié faisait pression, réclamait des avances sur salaire pour soutenir l’épouse sans travail. Notre patron local a organisé une collecte, mais personne n’a participé!» Finalement, la société a concédé «un petit don». Mais aujourd’hui, elle tremble: «Un jour, dans quelques années, on risque de voir réapparaître ce salarié, puisque son contrat n’est que suspendu durant sa peine de prison, s’inquiète le DRH. Que va-t-on faire?

Autre cas de conscience: l’affaire de cet agent de sécurité, qui a vu son port d’arme retiré pour des raisons de radicalisation. «Ce n’était pas un motif suffisant pour le licencier, affirme Me Éric Manca. Il ne fallait pas évoquer la radicalisation, mais simplement le contrat désormais privé d’objet.» L’homme a contesté son licenciement devant les prud’hommes. «C’est le procès de la religion!, a-t-il lancé. Si on ne me réintègre pas, plus rien ne m’empêche de répondre aux appels des Frères musulmans…» Un raisonnement qui a permis à l’avocat de la société de prouver qu’il représentait «un danger imminent». Mais l’agent a fait appel, tandis que l’un de ses collègues, dans le même cas, demande des dizaines de milliers d’euros de dommages et intérêts.

Les «faits religieux» que rencontrent les entreprises ne sont pas tous aussi graves, mais ils ne se règlent pas pour autant à coup de formations à la laïcité et de nomination de «référents diversité». À Bordeaux, Me Sébastien Millet observe que «l’immense majorité des cas sont traités par la voie de la concertation». Le voile, «c’est le cas le plus problématique, pointe un associé dans un grand cabinet de conseil. Il a une portée symbolique très forte, et il y a très peu de moyens légaux pour le proscrire. On constate que pas mal d’entreprises finissent par lâcher sur le voile. Mais elles ne veulent pas faire de com sur le sujet, car elles ne veulent surtout pas être identifiées comme “voile-compatible”, et voir un afflux de candidatures voilées… ou un boycott de clients!».

Dans ce grand groupe de distribution alimentaire, on avoue avoir préféré «exfiltrer discrètement, avec une petite compensation financière» un manutentionnaire qui, soudain, ne voulait plus toucher de l’alcool ou du porc. Dans cette usine, c’est un jeune homme qui, de lui-même, à la fin de sa période d’essai, a décidé de «partir, car il n’y a pas assez de musulmans ici»… À Montpellier, cette entreprise de BTP rencontre de plus en plus de revendications: «Des salles de prière sur les chantiers, des vestiaires pour les différentes communautés, les Maliens, les Portugais… en plus de ceux pour les femmes, détaille un responsable. On a un jeune Maghrébin qui nous traîne devant les tribunaux pour discrimination raciale.» «Dis-moi, l’Arabe!», lui aurait lancé son supérieur; «Dis-moi, le Portos!», lui aurait-il répondu. «Du langage de chantier…», soupire la société. Le jeune homme est en tout cas en arrêt-maladie, pour dépression, depuis trois ans.

«Le taux de conflits entre salariés et managers augmente régulièrement, estime Me Manca. Et aujourd’hui, presque toutes les questions concernent la religion musulmane. Dans notre cabinet, il faut remonter à au moins dix ans pour retrouver un cas concernant les catholiques: en l’occurrence, la gérante d’une boutique qui imposait le bénédicité à ses collègues. La difficulté, c’est que l’on est assis sur des années de tolérance. Il y a un moment, quand on veut revenir sur un usage, ça crée encore plus de problèmes! Et depuis que les réseaux sociaux existent, le moindre faux pas, et le salarié peut s’ériger en martyr… Il est évident qu’il y a des personnes qui sont téléguidées par des associations qui veulent voir jusqu’où on peut aller.» Toujours promptes à dégainer l’accusation d’«islamophobie».

Même constat chez Me Marie Courpied-Baratelli: «J’ai eu trois contentieux l’an dernier», dénombre-t-elle. Un commercial, qui ne voulait plus serrer la main des femmes, qui refusait de s’asseoir sur un siège où une femme l’avait précédé, objectant que c’était «sale». Un éboueur qui, ayant trouvé une mitraillette – un jouet, selon lui – a poursuivi deux secrétaires dans les couloirs en criant «Allah Akbar!», pour «rigoler». Et un autre qui, lors de l’Aïd, est arrivé avec son mouton, parce que c’était plus pratique de «l’égorger dans l’entreprise, avec les jets d’eau». Dans ces trois cas, l’entreprise avait préféré trouver un autre motif de licenciement plutôt que risquer de se faire taxer d’islamophobie. […]

 

Le Figaro via fdesouche

 

 

Déjeuner patriotique du 27 janvier dans le département de l'Aude (11) avec Carl lang

Publié par Guy Jovelin le 02 février 2018

Après un problème technique et quelques retouches, voici quelques photos de la visite du Président Carl Lang le 27 janvier 2018 en Occitanie (Languedoc-Roussillon)

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Fusillade et rixe inter-ethnique entre ces si gentils migrants en transit à Calais

Publié par Guy Jovelin le 02 février 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

Les violences inter-ethniques qui ont opposé des immigrés illégaux afghans à des immigrés illégaux africains se sont même soldées par des tirs d’arme à feu… Comment est-ce possible ? Ces garçons décrits comme si gentils et cultivés, fin connaisseurs de Victor Hugo et futurs contributeurs au payement de nos pensions, auraient donc découvert quelques armes à feu traînant par mégarde au pied de l’un ou l’autre arbre calaisien ? Nul doute que Yann Moix fournira une intéressante théorie à ce sujet.

En attendant, pour parler des faits, c’est près du centre hospitalier de Calais, où a eu lieu une distribution de repas, qu’une centaine d’immigrés illégaux érythréens et une trentaine de leurs collègues afghans ont échangé quelques amabilités gratinées de coups de feu. A cet instant, cinq immigrés sont blessés par balles, dont quatre grièvement.

Vers 16 heures, un deuxième affrontement se produit 5 km plus loin, à Marck-en-Calaisis. « Une centaine de migrants africains armés de bâtons [veulent] s’en prendre à une vingtaine d’Afghans », raconte le parquet de Boulogne-sur-Mer. Maternelle, la police protège alors les Afghans pris à partie par 150 à 200 Erythréens, selon la description de la préfecture.

En pleine forme, nos gaillards se retrouvent en fin d’après-midi et jusqu’en début de soirée pour de nouveaux affrontements dans la zone industrielle des dunes de Calais, à proximité du site de l’ancienne « jungle ».

« Les Afghans sont venus pour une distribution de repas rue des Verrotières et sont tombés sur une forte présence africaine. On a eu un mouvement de foule qui a entraîné des blessés avec des barres de fer », décrit le parquet. Cette fois, six immigrés sont blessés, dont un grièvement à la tête.

Au dernier décompte officiel, vingt-deux personnes ont été hospitalisées. Cinq immigrés ont été blessés par balles, dont quatre d’entre eux, de nationalité érythréenne, pour qui le « pronostic vital était engagé« , selon le parquet. Les autres immigrés blessés l’ont souvent été par des armes blanches. Dans le décompte des blessés figurent également deux policiers.

Dans le cadre de la merveilleuse gestion gouvernementale du dossier de l’immigration, il y aurait au bas mot, selon les chiffres minimalistes des autorités, 800 immigrés, traînant actuellement à Calais. Et « le conflit entre Afghans et Africains a toujours été sous-jacent », raconte la préfecture.

« Sur les aires de distribution des repas, il y a des Erythréens, des Afghans, qui marquent leur territoire et qui se font la guerre, s’agressent violemment », explique joliment Natacha Bouchart, maire de Calais.

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Source :  medias-presse.info

 

Violences inter-ethniques à Calais ? Le maire dénonce la complicité « de certains No Border ou de certains associatifs »… Comme la franc-maçonnerie ?

Publié par Guy Jovelin le 02 février 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Suite aux affrontements inter-ethniques avec tirs d’armes à feu qui ont eu lieu jeudi à Calais, Natacha Bouchart, maire (Les Républicains) de Calais a dénoncé sur franceinfo « la complicité de certains passeurs, de certains activistes, de certains No Border ou de certains associatifs ». 

« Ils sont complices parce qu’ils sont en permanence avec les migrants, leur font commettre des actes délictueux et ne les incitent pas à rejoindre les dispositifs d’Etat qui sont mis en place. »

Et les armes à feu utilisées par les immigrés illégaux ?

« (…) ce n’est pas à Calais qu’ils les ont trouvées »

« Il y a bien eu des personnes extérieures pour les fournir. »

Et le maire de Calais de continuer :

« C’est une situation qu’on ne peut pas accepter, puisque ce sont des migrants qui ne demandent rien et qu’on laisse s’installer sur le périmètre de Calais, ce n’est plus possible »

Pourtant, en d’autres circonstances, Natacha Bouchart n’a pas de mots assez enthousiastes à l’égard de cette immigration illégale massive.

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D’ailleurs, elle suit à la lettre les recommandations de la franc-maçonnerie concernant l' »accueil en Fraternité des migrants« .

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Source : medias-presse.info