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mardi, 29 janvier 2019

Une racaille violente nommée membre de la commission contre “les violences d’extrême droite “

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2019

Auteur : Rédaction

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Vous souvenez-vous du député LREM M’jid El Guerrab, qui s'était comporté comme une racaille en frappant violemment à coup de casque de scooter un responsable socialiste (occasionnant un traumatisme crânien, une hospitalisation en soins intensifs et deux mois d’arrêt de travail !) ?

Cet individu fait partie de la « commission d'enquête sur la lutte contre les groupuscules d'extrême-droite en France » qui vient d’être créée et sera présidée par un député d’extrême-gauche !

La « lutte » contre un courant politique – très réduit – est donc une préoccupation des parlementeurs. Drôle de conception du pluralisme démocratique. Et drôle de priorité, quand on voit les problèmes nombreux que connait le pays…

Des étrangers, des voyous, des bolcheviques prétendent incarner l’Etat français et s’en prendre aux éléments les plus patriotes du peuple ! Quelle époque odieuse !

Jean-Yves Le Gallou@jylgallou
Le député El Guerrab est membre de la commission contre "les violences d’extrême droite " (sic) . Il a agressé et gravement blessé un de ses ex-camarades du à coups de casque de moto. Rassurez moi c'est bien une ? Ou alors vous en pensez quoi @MRessiguier ?
 

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Source : lesalonbeige via contre-info

Près de 130 jihadistes “français” vont revenir

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2019

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Près de 130 jihadistes “français” vont revenir

Près de 130 jihadistes français, détenus dans des camps en Syrie sous la surveillance des Kurdes, vont être rapatriés dans les prochaines semaines en France. Christophe Castaner a annoncé :

“Tous ceux qui rentreront en France seront judiciarisés et confiés aux juges. Lorsque le juge estimera qu’il faudra les mettre en prison – et ce sera l’essentiel des cas – ils seront mis en prison”.
“Certains sont déjà revenus et sont incarcérés, nous les connaissons. Ceux qui reviendront seront écroués.”

Que signifie “l’essentiel des cas” ? Pas tous ? Il y a des djihadistes qui seront donc laissés en liberté ?

Chaque cas sera examiné et jugé individuellement. A leur arrivée en France, les hommes qui ne font pas l’objet d’un mandat d’arrêt international seront entendus par la police. Ceux qui sont déjà recherchés, seront directement déférés devant le juge. Ils seront ensuite mis en examen et placés en détention provisoire en attendant leur procès.

A ce jour, plus de 500 personnes sont incarcérée en France soit dans le cadre d’une détention provisoire, soit dans le cadre d’une condamnation. Ils sont suivis par des surveillants et des équipes disciplinaires, composée de psychologues, d’éducateurs, d’imams et des conseillers pénitentiaires d’insertion qui travaillent au désengagement de la violence. Rien que ça.

 

Source : lesalonbeige

En 7 ans, Marine Le Pen a surendetté et ruiné son parti

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier2019

Un ancien du FN dénonce la gestion du parti par Marine Le Pen. En sept ans, la dette a explosé de + 785% pour atteindre 24 millions d’euros, alors que la subvention publique grimpait dans le même temps de 1,8 à 5 millions d’euros par an. 

 
En 7 ans, Marine Le Pen a surendetté et ruiné son parti

Conseiller régional dans les Hauts-de-France, André Murawski a claqué la porte du Rassemblement national en septembre dernier. Cet intendant dans un collège déplore la dégradation des comptes du parti qui a conduit à "une spirale folle de l'endettement""Si Marine Le Pen n'est même pas capable de gérer un parti, on la voit mal s'occuper du budget de la France", assène-t-il.   

Challenges - Vous avez ausculté l’évolution des comptes du Front national, devenu Rassemblement national, depuis que Marine Le Pen en a pris les rênes, quelle conclusion en tirez-vous ? 

André Murawski : Il existe une véritable dérive de la gestion financière du FN depuis que Marine Le Pen en est la présidente. Depuis 2012, le parti est en effet en déficit permanent alors même que ses recettes ont sensiblement augmenté. En six ans, les recettes ont progressé de 26% et, si l’on retire des rentrées financières exceptionnelles de 2011, la hausse atteint même 136% ! Les financements publics payés par les contribuables sont par exemple passés de 1,8 million d’euros en 2011 à 5 millions d’euros en 2017. Les dons ont grimpé de 262.600 euros en 2011 à 960.000 euros en 2017 (+265%) et les contributions des élus de 577.760 euros en 2011 à un million en 2017. 

Avec de telles augmentations de recettes, comment le parti de Marine Le Pen peut-il être en déficit permanent depuis six ans ? 

Tout simplement parce que les dépenses ont progressé encore plus vite et de manière continue. Entre 2011 et 2017, leur montant a explosé de 284%, passant de 5,9 millions à près de 23 millions d’euros ! Marine Le Pen a laissé filer les dépenses sans mesure. Exemple : la masse salariale du FN représentait la moitié de la subvention publique annuelle en 2011 et en pèse plus de 90% aujourd’hui, alors même que cette subvention a été multipliée par 2,7… D’après mes calculs, les cinquante permanents du parti bénéficiaient en 2017 d’un salaire moyen de 7.693 euros par mois, charges sociales comprises [soit 3.900 euros net, NDLR]. La ligne budgétaire incluant les déplacements, voyages et frais de bouche a, elle, bondi de 230 % en six ans, de 2,2 millions d’euros à 7,3 millions d’euros. 

Dès lors, le parti a été contraint d’emprunter… 

Avec des dépenses qui progressent plus vite que les recettes, le Front national, devenu Rassemblement national, a en effet été obligé d’emprunter tous azimuts. En 2017, la dette du parti a ainsi atteint la somme record de 24 millions d’euros, soit le double de la dette de 2016. Outre le fameux emprunt de 9,4 millions à une banque tchéco-russe, le Rassemblement national avait emprunté un million d’euros auprès de Cotelec, le micro-parti de Jean-Marie Le Pen, et pas moins de 12,6 millions d’euros auprès de particuliers, dont 7,7 millions auprès d’une seule personne. En comparaison, les prêts de particuliers représentaient à peine 1,8 million d’euros en 2016. 

Le Rassemblement national ne risque-t-il pas la banqueroute ? 

Le parti est pris dans une spirale folle de l’endettement. En sept ans, sa dette a explosé de + 785% ! Au vu des comptes du parti, je ne vois pas comment le prêt russe de 9,4 millions d’euros pourrait être remboursé dans sa totalité en septembre 2019 sans remettre en cause gravement le fonctionnement du parti. Le Rassemblement national paraît en situation de grande difficulté financière et la fermeture de ses comptes bancaires par la Société générale il y a un an semble presque logique. Quand on pense que Marine Le Pen promettait durant la campagne présidentielle de "remettre de l’ordre dans les finances publiques", cela prête à sourire. Si elle n’est même pas capable de gérer les comptes d’un parti, on la voit mal s’occuper du budget de la France. 

Source : http://challenges.fr