Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 22 février 2014

Comment les étrangers pillent l’Europe

 Publié le 20 Février 2014 par Guy Jovelin

 

« Mais je ne vole plus. Je ne suis plus pauvre : je vis de vos allocs ! Quand je suis arrivé ici, on m’a conseillé de demander des allocs. Très vite, j’ai fait venir toute ma famille. Pourquoi je travaillerais ? On me verse £300 par semaine [1.460 euros/mois] sur mon compte pour rien ! Et 170 livres de plus par mois et par enfant. On m’en donnait 17 en Roumanie. On est au paradis ! Et si on est malade, le docteur nous reçoit gratos. On est au paradis ! J’ai 25 cousins qui vivent ici, tous autour de Nottingham. Et chacun a trois ou 4 enfants. Votre système social, c’est vraiment dingue ! Je dirai même tordu ! Bien sûr que les Roumains viennent pour l’argent. C’est comme trouver un portefeuille plein de fric par terre. On le ramasse et personne ne dit rien ! Et si on fait des enfants, on a plus d’allocs ! Alors bien sûr qu’on fait des enfants ! […] On se barrera quand le pays commencera à couler sous la masse de gens. C’est ce qui arrivera un jour. » Rudi, gitan interrogé par le Daily Mail

Source

Voir les commentaires

vendredi, 21 février 2014

Un homme qui avait défendu son bar-tabac contre l’agression de deux racailles jugé pour meurtre !

Publié le 21 Février 2014 par Guy Jovelin

 

Luc Fournié, patron d’un bar-tabac de Lavaur (sud-ouest), avait fait face à deux criminels qui attaquaient son établissement en 2009. Il avait réussi à se saisir d’un fusil et à sauver sa vie et son bien en tirant vers les racailles. L’une d’elle, Jonathan, avait perdu la vie. Son avocat, Me Simon Cohen, a obtenu, malgré l’avis contraire du parquet général, que les juges refusent à ce commerçant attaqué le bénéfice de la légitime défense. La victime sera donc jugée devant la cour d’appel de Toulouse pour meurtre et tentative de meurtre.

Source

Voir les commentaires

jeudi, 20 février 2014

L’homme qui vomissait sur le drapeau français, Jean Zay, entrera au Panthéon

François Hollande annoncera vendredi, dans un discours au Mont Valérien en hommage à la « résistance », les noms des prochains « panthéonisés ». Plusieurs médias ont annoncé que quatre noms ont été choisis. Des choix très politiques : tous ont été engagés politiquement, à gauche ou à l’extrême-gauche, ou dans de très autopromotionnels engagements « humanitaires ». Toutes sont liés à la « résistance ».


Le premier est Pierre Brossolette, militant d’extrême-gauche, franc-maçon, mais aussi cadre de la LICA, l’ancêtre de l’une des plus importantes associations de l’anti-France, la LICRA, quand l’association ne se cachait pas d’être un organe de combat des seuls Juifs. François Hollande a ensuite choisi Germaine Tillion et Geneviève De Gaulle, deux autres « figures » de la « résistance » non-patriote.

Le dernier est l’ignoble ministre de l’Éducation nationale sous la IIIe République, Jean Zay. L’entrée au Panthéon de cet homme qui haïssait la France est une vieille revendication de la secte maçonnique. Le Grand Orient de France (GODF) a multiplié ces dernières années les actions pour imposer cette pourriture au Panthéon. En 2007, le GODF avait publié une plaquette consacrée à ce sujet.

Récemment encore une loge juive exigeait que François Hollande cède. Cela n’a pas été long.

Cet homme, qui déshonore par son nom de nombreux établissements scolaires en France, fut un ministre particulièrement haineux contre les valeurs patriotiques et traditionnelles. Il est resté toute sa vie fidèle à la haine de la France et des Français qu’il exprimait dans un « poème » dont il faut rappeler la teneur.

Il s’intitule Le Drapeau. Il traite du drapeau français. Pour Jean Zay, le drapeau national français est décrit comme « cette saloperie-là », « cette saloperie tricolore », « cette loque », « cette immonde petite guenille », « cet ignoble symbole » « de la race vile des torche-culs ». Un drapeau que cette vermine avouait haïr « férocement » : « Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes […] Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel le blanc livide de tes remords. »

Source

« Laïcité » : 1 million d’euros de subventions pour le Grand Orient de France

« Laïcité » : 1 million d’euros de subventions pour le Grand Orient de France

Le Grand Orient de France a bénéficié de près d’ 1 million d’euros de subventions publiques pour son Musée de la franc-maçonnerie.

La rénovation du Musée de la franc-maçonnerie, dans le siège du Grand-Orient de France à Paris, a pu bénéficier de grosses subventions. Ainsi, la Région Île-de France a versé une subvention de 304 898 euros au Grand-Orient de France pour rénover son Musée de la franc-maçonnerie. La Ville de Paris a quant à elle subventionné la loge maçonnique à hauteur de 300 000 euros, et la Direction régionale adjointe des affaires culturelles d’Île-de-France a également versé 305 000 euros d’aides publiques à l’obédience maçonnique. La visite guidée du Musée de la franc-maçonnerie coûte 13 euros par personne.

Le Musée de la franc-maçonnerie du Grand-Orient de France détient l’appellation « Musée de France », délivrée par le ministère de la Culture. Ce même ministère avait d’ailleurs versé une subvention de 14 000 euros au Grand-Orient de France en 2012.

Au total, le Grand-Orient de France aura reçu 909 898 euros de subventions publiques, payées par les contribuables.

Source : Observatoire des Subventions

mercredi, 19 février 2014

« Harlem Shake », hystérie collective et prémisse d’une fin de cycle

 Harlem ShakeOn se croyait naïvement arrivés au bout avec le « Gangnam Style » du sud coréen obèse, qui manqua de peu de nous réconcilier avec les parades chamarrées de Pyongyang ! Au bout ? Au bout de quoi au fait ? De l’insignifiance artistique, de l’abrutissement généralisé, de l’involution culturelle peut-être.. Enfin, ce qui est certain c’est qu’on se croyait benoitement « au bout » : Tout vu, tout entendu, « touché le fond » qu’on disait !

Voilà qu’on commençait à grand peine à reprendre notre souffle que la seconde vague, « Harlem Shake » venait s’échouer à son tour sur nos rivages navrés.

Ha ! Que notre malheureux complexe visio-auditif n’eut été achevé par le bridé ! Comme la terrible affliction semble n’avoir jamais eu d’égale ! Le grotesque a fait place au malin.

Le bruit absurde qui porte le mouvement n’est de loin que la face émergée du phénomène et qui se trouve être en fait, relativement au reste, parfaitement innocente. Un son convenu à en mourir, même pour sa famille musicale dégénérée, au point qu’il soit franchement difficile d’en dire quoi que ce soit. « Baauer », le merdeux à casquette de Philadelphie, tandis qu’il devait débiter, débile, son énième étron sonore n’a de toute façon à aucun moment imaginé avec quelle ampleur il allait gratifier le monde de sa triste production.

Tout terne qu’il était, pour connaître sa gloire, fallait-il encore que le « morceau » s’accouple de la bonne idée : suffisamment insipide pour plaire aux plus crétins et suffisamment malsaine pour rencontrer l’approbation unanime des masses désabusées. De cette gigantesque marée de consciences abruties on n’aurait pourtant pas parié gros qu’il puisse émerger quoi que ce soit d’encore assez fertile pour féconder avec les honneurs la « chose » en suspens. C’était bien mal connaître les potentialités de cette vieille putain d’humanité post-moderne quand il s’agit de déchéance organisée.

Car le phénomène « Harlem Shake » c’est la chorégraphie. « Harlem Shake » c’est les innombrables chorégraphies – l’instant grégaire toujours à l’œuvre, plus puissant que jamais, à nous faire douter que le vieux Zarathoustra en soit finalement sorti, ce jour-là, de sa caverne.

Nous ne pouvons plus en cette matière faire l’économie d’un rappel  : Toute danse a toujours été communion. Dans la danse les individualités se questionnent et se répondent. Des farandoles populaires aux ballets sophistiqués du XVIIe siècle, en remontant jusqu’aux magnifiques danses antiques, toutes fondent l’être esseulé et insignifiant dans une union virtuose, exaltant tantôt la joie, tantôt le tragique, souvent l’énergie et tout simplement la vie.

« Harlem Shake » en est lui l’antithèse absolue. Le morbide règne en maître. Bien loin de s’unir les « danseurs » s’enferment dans leur espace attitré. Le regard est vide, le visage ne recèle plus la moindre émotion, l’âme a déserté. Les corps ainsi privés de leur substance s’agitent frénétiquement sur eux-mêmes sans prêter une seule attention à ceux qui les entourent et qui pourtant, sont affligés du même mal. Ces marionnettes désaxées semblent pathologiquement partagées entre une horrible crise d’épilepsie, un autisme des plus sourds et un authentique accès de possession. Des postures inquiétantes dignes de l’aliéné le plus parfait et des faciès bestiaux étrangement figés parfont le plus souvent l’atmosphère suffocante et tourmentée des vidéos qui se multiplient sur la toile.

Pour les quelques esprits sains qui ressentent encore autre chose qu’un espèce d’enthousiasme mi-béat, mi-fasciné au contact du « phénomène », tous les stigmates de l’esprit fétide d’une fin de cycle semblent s’y retrouver, étrangement ordonnés dans le chaos des décors.

A l’heure où j’écris ces quelques lignes, on ne compte plus depuis longtemps les millions de parfaits anonymes, de grands magasins, de prestigieuses écoles ou facultés, de clubs sportifs mais aussi de prisons, de régiments militaires voire même de maisons de retraite à avoir déjà repris fiévreusement le mouvement. L’ampleur planétaire de la chose, malgré sa symbolique satanique évidente, est claire : l’inconscient des foules s’y reconnaît désormais immédiatement. Elle y voit, comme dans un miroir, une masse informe d’individus déconnectés, reclus dans un état de conscience minimal, soudainement arrachés de leurs occupations stériles pour se désarticuler bestialement à l’unisson dans une démence automotrice et dont l’aboutissement ultime ne fait désormais plus partie du tableau.

Le Pape a quitté Rome. Les hommes sont mûrs pour l’Apocalypse.

 S. C.

 

Quelques échantillons à titre scientifique :

 

 

Source : E&R Lorraine