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vendredi, 10 novembre 2017

Des lendemains qui déchantent ?

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2017

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Bernard Plouvier

Notre jeune, élégant et distingué Président vient d’annoncer, le 9 novembre 2017, la fin prochaine de l’État Islamique (variante : Daech). Est-ce un joli coup médiatique ? Peut-être, mais Emmanuel Macron n’a pas besoin de ce genre de publicité tapageuse : s’il conserve ses sponsors – ceux-là même qui ont assuré à la fois son ascension de météore et l‘implosion de tous les partis politiques de France -, il remontera très facilement dans les sondages lorsque ce sera nécessaire, soit avant une grande échéance électorale.

En réalité, il est potentiellement très dangereux de faire ce type d’annonce, face à un certain public. La guerre est, à l’évidence, perdue en Syrie et au Kurdistan pour les fous furieux du calife Abou Bakr II (dont on ne sait même pas s’il est encore en vie). Avec des belligérants intelligents, M. Macron aurait parfaitement raison de s’exprimer comme il l’a fait : la guerre est finie, on signe un traité de paix, on exécute éventuellement quelques chefs (c’est à la mode depuis 1945) et on reconstruit… c’est bon pour le Big Business.

Seulement, dans ce cas précis, l’on a affaire, non à des gens intelligents, mais à des abrutis complets, des psychotiques délirants, des « fous d’allah ». Il est infiniment probable qu’un grand nombre d’illuminés, qui connaissent les sourates coraniques prêchant le Djihâd, vont se faire une joie maligne de faire payer leur victoire aux Nations belligérantes du clan des gagnants.

D’où un risque maximal d’attentats durant les années à venir, aux dates jugées symboliques par les mahométans ou, plus simplement, quand la logistique le permettra.

Doit-on raisonner en pure intelligence avec des psychotiques, des pervers, des psychopathes ? Assurément pas ! Plus que jamais, il importe de protéger la Nation française des fous furieux inutilement importés en même temps que les authentiques réfugiés politiques ou les migrants pour cause économique. 

 

Source :  synthesenationale

COMPTE-RENDU DU PROCÈS DE THOMAS JOLY À BEAUVAIS

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2017

Ce jeudi 9 novembre 2017 se tenait au tribunal correctionnel de Beauvais, le procès de Thomas Joly, accusé d’avoir mis en ligne sur son blog des photos « violentes » de nature à contrevenir à l’article 222-33-3 du Code Pénal qui sanctionne : « l’enregistrement et la diffusion d’images de violence portant atteinte volontaire à l’intégrité de la personne ».


Compte-rendu du procès de Thomas Joly à Beauvais

Il s’agissait en l’espèce des images de deux victimes du terrorisme islamique : James Wright Foley, décapité à Raqqa le 19 août 2014 et Hervé Cornara, décapité à Saint Quentin Fallavier en Isère le 26 juin 2015. 

Le président du Tribunal rappelle le chef d’accusation à l’encontre du prévenu puis donne la parole à Thomas Joly qui comparait libre, tout en ayant subi six heures de garde à vue le 19 février 2016 pour cette même affaire. 

Mais ce dernier n’a pas l’intention de se laisser intimider : il revendique haut et fort son engagement politique en qualité de secrétaire du Parti de la France (le PDF, parti créé par Carl Lang en 2009) auquel contribue son blog qui dénonce notamment le terrorisme islamique. Pour lui, toute cette procédure est le fruit du « politiquement correct ». Quant à la dénonciation à l’origine de la poursuite pénale, elle rappelle nous dit-il les heures les plus sombres de notre histoire… Ce à quoi le Président du Tribunal répond qu’on n’est pas ici dans le politiquement correct mais dans une salle d’audience, au pénal ! Ça commence très fort ! 

Thomas Joly précise que son blog n’est pas destiné aux mineurs et qu’il n’y a pas que les militants du Parti de la France, qui dénoncent le terrorisme islamique. Il évoque la diffusion massive de la photo du cadavre du petit Aylan Kurdi découvert sur une plage de Turquie le 2 septembre 2015 sans que personne ne saisisse les tribunaux en dépit du caractère émotionnel et violent de cette image, qui a fait le tour de la planète. 

« J’ai usé de ma liberté d’expression » dit-il, ce à quoi le juge répond que si la liberté d’expression est un droit fondamental, elle souffre aussi de certaines limites ! 

Maître Pierre-Marie Bonneau, avocat de Thomas Joly et spécialiste de droit pénal, lui demande alors s’il a reçu une quelconque désapprobation de la part des familles des personnes décapitées, à propos de la diffusion de ces photos sur son blog. Réponse : « non, et si tel avait été le cas, j’aurais immédiatement réagi ! »

La parole est ensuite donnée au Procureur de la République. Il tente de prouver que l’infraction est constituée : pour lui, pas de doute sur la matérialité des faits, ni sur l’intention de diffuser des images violentes. Il y a bien volonté de choquer et de surcroît sur un site accessible à des mineurs ! Puis il ose opposer le travail d’information de Thomas Joly à celui de la « presse classique » qui elle « se conforme à la Loi » ! Quel euphémisme pour désigner les médias du système ! C’est oublier un peu vite ces vertueux journalistes qui n’ont pas hésité à passer en boucle les images du petit Aylan Kurdi dans le but de vendre à l’opinion publique européenne l’idée d’une ouverture totale des frontières et par voie de conséquence l’acceptation d’une immigration massive ! 

L’article de Loi 222-33-3 nous dit que « le présent article n’est pas applicable lorsque l’enregistrement ou la diffusion résulte de l’exercice normal d’une profession ayant pour objet d’informer le public ou est réalisé afin de servir de preuve en justice ». En clair, cela voudrait dire qu’il y aurait des « informateurs protégés »et d’autres qui ne le seraient pas, dans ce beau pays de France ! Bref, une liberté d’expression à géométrie variable que la Cour Européenne de Strasbourg n’apprécierait guère ! 

Le procureur demande deux mois de prison avec sursis et 4.000 € d’amende à Thomas Joly qui, selon lui, a « dépassé les limites ». Murmures dans la salle ! 

 
 

Maître Pierre-Marie Bonneau, du barreau de Toulouse commence alors sa plaidoirie. Pour lui, l’image à elle seule ne véhicule pas un « message » violent. L’image n’a été choisie que pour illustrer, par un banal « copier/coller » un article dont le contenu n’a curieusement jamais été évoqué au cours du procès. Il ne s’agit pas non plus d’un « enregistrement ». Un « message » selon Maître Bonneau est une construction intellectuelle qui ne se limite pas à la simple constatation de l’image. L’image n’est ici qu’une illustration destinée à parfaire une information. D’ailleurs ici l’image ne trahit pas le sens de l’article auquel elle est associée. 

Le blog, poursuit-il, s’adresse à des personnes qui s’intéressent à la politique. Il n’a pas vocation à attirer les mineurs. Ce n’est pas un blog de scoutisme destiné à la jeunesse ! De plus, les photos incriminées sont facilement accessibles au grand public et elles le sont encore aujourd’hui à l’heure du procès, ce que le lecteur pourra aisément vérifier, au moins en ce qui concerne celles d’Hervé Cornara (NDLC : j’ai recensé cinq sites en quelques clics permettant d’accéder à cette image). 

De plus, l’élément intentionnel n’est nullement démontré. Plusieurs arrêts de la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’Homme), rappellent la nécessité, en matière de liberté d’expression, de prendre en compte la légitimité du but recherché : ici illustrer un article et non vouloir choquer en montrant du sang dégoulinant ! Faut-il préciser qu’aucune accusation d’incitation à la haine raciale n’a été engagée à l’encontre de M. Joly et que son casier judiciaire est parfaitement vide.
Pas de parties civiles à l’audience, ni de demandes de dommages et intérêts. On se demande alors bien qui sont les personnes lésées par les agissements de M. Joly ! 

En conclusion, Maître Bonneau invite les juges à ne pas se laisser aller dans ce genre de dérive consistant à détourner une procédure pour faire taire celui dont la parole ne plait pas. Il plaide donc la relaxe de son client. 

Thomas Joly reprend la parole en dernier, selon l’usage, pour expliquer que tous les partis politiques ont dit qu’on était en guerre contre le terrorisme et qu’il ne croyait pas avoir commis une infraction. 

Source : http://ripostelaique.com 

Déradicalisation : le gouvernement dévoile son dispositif secret

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2017

Par Auteurvaleursactuelles.com 

/ Jeudi 9 novembre 2017 à 23:40

 
 Nicole Belloubet, la ministre de la Justice. Photo © AFP

Société. Ce jeudi 9 novembre, la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, a levé le voile sur un dispositif de déradicalisation lancé il y a un an dans le plus grand secret.

Peu de gens le savent, mais il y a un an, le gouvernement a lancé un dispositif de déradicalisation dans le plus grand secret. Baptisé “Recherche et intervention sur les violences extrémistes” (Rive), ce dispositif prend en charge en milieu ouvert, à la demande d'un juge, des personnes déjà condamnées ou en attente de leur jugement, pour une infraction en lien avec une entreprise terroriste ou du fait d'un signalement pour radicalisation violente. Ce jeudi 9 novembre, la ministre de la Justice Nicole Belloubet a rendu une visite dans les locaux parisiens de Rive et a ainsi dévoilé ce programme expérimental un mois avant l’annonce par le gouvernement d’un plan national de lutte contre la radicalisation.

 

Un suivi individuel

“Le processus mis en place est extrêmement intéressant”, a déclaré la garde des Sceaux. “Nous avons autour de 500 détenus très radicalisés et 1.500 personnes en voie de radicalisation. Donc il faut agir”, a-t-elle fait valoir. Contrairement aux précédentes méthodes, qui consistaient à regrouper en prison les détenus impliqués dans des dossiers djihadistes, soit pour les évaluer, soit pour les isoler au sein de quartiers dédiés, le programme de Rive propose un suivi individuel, à raison d'au moins six heures par semaine les premiers mois, mêlant entretiens et aide à la réinsertion.

 

Quatorze personnes - huit hommes et six femmes - sont prises en charge au minimum pour un an, par une équipe d'éducateurs, psychologue, référent religieux ou psychiatre. En outre, le lien est établi avec la famille et les entretiens sont réalisés dans les locaux de Rive, dans le quartier ou au domicile de la personne suivie. Cette dernière est également accompagnée dans ses démarches administratives. “L'objectif, c'est le désengagement de la violence extrémiste. Pour cela, nous favorisons le mentorat, la mise en place d'une relation de confiance dans une prise en charge sur mesure, en complément de l'action des services de probation et d'insertion (SPIP)”, a expliqué Samantha Enderlin, directrice de Rive. Pour l'heure, les retours sont “très positifs”, s’est-elle félicitée.

 

Source : valeursactuelles

A Annecy, le migrant mineur isolé a touché 150 000 euros d’aide en 4 ans : il avait en réalité 26 ans

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2017

(…) Il a, pendant quatre ans et demi, vécu sur le territoire français en tant que “mineur isolé”, pris en charge à ce titre par différentes instances, dont le conseil départemental.

Des examens osseux et dentaires attestant de son âge

Il avait à l’époque fourni un extrait d’acte de naissance attestant de son âge. Sa majorité approchant, il se rend en préfecture pour demander une carte de séjour. Selon le protocole, ses empreintes sont entrées dans le fichier. Le hic, c’est que sa fiche est ressortie avec un tout autre âge. L’homme aurait en fait 26 ans. Sur décision de la procureure de la République, il est envoyé à Lyon pour subir une série d’examens osseux, de la mâchoire et de la clavicule, mais également dentaires. Les résultats ont conforté son âge adulte. Il est donc poursuivi par la justice pour faux document et escroquerie. D’après les premières estimations, il aurait touché autour de 150 000 euros d’aides depuis quatre ans et demi. (…)

jeudi, 09 novembre 2017

Pour justifier son escapade coquine, l'ex-candidate FN avait fait croire à un enlèvement

Publié par Guy Jovelin le 09 novembre 2017

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Pour la retrouver, la gendarmerie avait mis en place un important (et coûteux) dispositif de recherche. La jeune femme encourt 6 mois de prison ferme.

Sandy Gaillard, une ancienne candidate frontiste en Lozère, est jugée à compter de ce jeudi à Mende, signale Le Parisien. Motif: en juillet dernier, elle avait fait croire à son enlèvement afin de justifier une escapade coquine avec son amant. 

Le soir du pseudo-enlèvement, elle avait envoyé des SMS à un ami, racontant avoir été jetée dans le coffre d'une voiture par un mystérieux ravisseur. Inquiet, l'ami en question avait immédiatement alerté la gendarmerie, qui avait mis en œuvre d'importants moyens pour retrouver la disparue. 

Dès le lendemain, Sandy avait pu être retrouvée. Mais vite, lors de sa déposition, les gendarmes vont remarquer que quelque chose cloche. La victime ne porte pas de trace de blessure et ne semble pas plus traumatisée que ça par sa mésaventure. 

6 mois de prison ferme

Pendant la garde à vue, la jeune femme va finalement avouer avoir tout inventé. Elle voulait s'accorder un week-end en amoureux au Puy-en-Velay avec son amant et n'avait rien trouvé de mieux pour cacher la vérité à son mari, dont elle était en train de se séparer. 

Le mari avait d'ailleurs été soupçonné de l'avoir enlevée. Ce courtier en assurance, lui aussi candidat FN aux dernières législatives en Lozère, avait déjà été condamné pour des faits de violences conjugales sur la jeune femme. 

Ce jeudi, Sandy Gaillard comparaît au tribunal correctionnel de Mende pour "dénonciation de crime imaginaire", un délit passible de six mois de prison ferme et 7.500 € d'amende. 

Pour la retrouver, la gendarmerie avait mis en place un important dispositif de recherche. Selon Le Parisien, elle avait notamment "utilisé pendant plus de deux heures un hélicoptère EC 145 dont le coût d’exploitation à l’heure est de 4600 euros, hors équipage". 

 

Source : news.sfr.fr