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jeudi, 05 avril 2018

Carl Lang se réjouit du projet de réduction du nombre des députés

Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2018

Le Président du Parti de la France souhaite que le passage de 577 à 404 députés se réalise, dans l'intérêt des deniers publics.

Carl LANG@carllang2022
 

Le gouvernement prévoit de réduire de 30% le nombre de députés en faisant passer la prochaine assemblée nationale de 577 à 404 membres. Enfin une bonne nouvelle!

L’ancien secrétaire d’Etat Jean-Vincent Placé en garde à vue, il est soupçonné d’avoir importuné des femmes dans un bar et aurait proféré des insultes racistes à l’encontre des policiers (MàJ)

Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2018

Jean-Vincent Placé aurait d’abord importuné plusieurs femmes, dont une qui serait mineure, en lui proposant de la rémunérer contre une danse. Selon le magazine Le Point, l’ancien sénateur de l’Essonne, visiblement remonté après le refus catégorique de la jeune femme, lui aurait alors tenu le bras et l’aurait poussée vers son ami, le tout en lui lançant un « sale pute, tu ne mérites que ça ».

La victime serait allée se plaindre auprès de l’agent de sécurité de l’établissement, qui a raconté sa version des faits à RTL. Selon lui, Jean-Vincent Placé « était en train de draguer une mineure de 17-18 ans en lui disant ‘tiens, danse avec mon pote sénateur, je te paye si tu veux’. (…) La petite était choquée », témoigne-t-il. Et d’ajouter : « Je l’ai pris par le col, je l’ai sorti, et là [il m’a dit] ‘me touche pas, tu sais pas combien ça coûte ma veste, c’est le prix de ce que tu peux gagner dans ton pays’. (…) C’est ignoble ».

Des insultes racistes de la part de Jean-Vincent Placé ?
Lors de l’intervention du premier policier arrivé sur les lieux, Jean-Vincent Placé serait sorti de ses gonds et aurait lancé : « Nous ne sommes pas au Maghreb ici. Tu ne sais pas qui je suis. Je vais te renvoyer en Afrique moi tu vas voir ». Exfiltré sur le champ de l’établissement, l’homme politique aurait tenté de pénétrer à nouveau dans le bar. « Espèce de tocard, qu’est-ce que t’as », aurait-il alors dit au policier qui l’en empêchait. « Ils arrivent quand les connards ? », aurait ensuite déclaré Jean-Vincent Placé en attendant l’arrivée de renfort policier.

Lorsque la présence policière fut plus importante, le président de l’Union des démocrates et des écologistes aurait alors exigé la venue d’un haut gradé, alors qu’il s’était présenté comme un « ministre français » selon le Parisien, alors qu’il ne fait plus partie du gouvernement depuis mai 2017. Outre son placement en garde à vue dans le commissariat du Ve arrondissement de Paris, Jean-Vincent Placé fait également l’objet d’une plainte pour « insulte à agent » de la part de l’un des policiers.

Lors de son transport vers l’hôtel de police, il aurait soutenu, selon Le Point, avoir reçu un coup de poing de la part d’un individu se trouvant dans le bar et se revendiquant de l’extrême-droite. L’hebdomadaire ajoute que l’ami qui accompagnait Jean-Vincent Placé lors de cette soirée est un sénateur du groupe Union centriste. Son attitude aurait été à l’opposée de celle de l’homme politique d’origine coréenne. Il aurait été « très respectueux » et aurait tout de suite confié aux policiers que son ami avait « trop bu ».

(…) L’Internaute

 

L’ancien sénateur est soupçonné d’avoir importuné, en état d’ivresse, des femmes dans un bar et insulté des policiers, selon les informations d’Europe 1. Mais lors de son arrestation, il aurait proféré des insultes à caractère raciste à l’encontre des policiers de la BAC.

Jean-Vincent Placé a été interpellé cette nuit par la police dans le quartier latin à Paris, a appris Europe 1. L’ancien secrétaire d’État, ivre, est soupçonné d’avoir importuné des femmes dans un bar de la rue Princesse, dans le quartier latin, vers 2 heures du matin. Il s’en est pris verbalement à une femme qui refusait de danser avec lui contre rémunération. Puis il a proféré des propos racistes à l’encontre du videur de l’établissement qui intervenait pour calmer la situation.

Lors de son arrestation, il aurait proféré des insultes à caractère raciste à l’encontre des policiers de la BAC. L’outrage à agent a été retenu contre lui, justifiant son placement en garde à vue au commissariat du 5ème arrondissement où il a passé la nuit. Son taux d’alcoolémie a été mesuré à 2,32 g.

Avant d’être embarqué pour « insultes à caractère raciste » et « violences en état d’ébriété », Jean-Vincent Placé a lancé à un des policiers : « Tocard, tu sais pas à qui tu parles ». Il a donc également été placé en garde à vue pour « outrage à agents ». Au cours du transport, l’ex-secrétaire d’Etat aurait, selon nos informations, indiqué aux policiers avoir reçu dans le bar un coup de poing au visage de la part d’un autre client « d’extrême-droite ». Pour autant, ces derniers n’ont constaté aucune blessure. (LCI)

(…) Europe 1

 

Source : fdesouche

Filière démantelée à Montpellier (34) : les mineurs isolés étaient adultes, les parents morts étaient vivants, 900 000 euros de préjudice pour le département

Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2018

Par  le 05/04/2018 
 

Une filière internationale de faux mineurs isolés ou non accompagnés étrangers depuis la Côte d’Ivoire et dont Montpellier était la plaque tournante, a été démantelée par la Police aux frontières de l’Hérault -PAF 34- ces dernières semaines.

Pour la première fois dans ce genre d’enquête difficile et de longue haleine, les policiers français et ivoiriens, qui ont uni leur coopération grâce notamment à des officiers de liaison en poste à Paris et dans ce pays africain, sont parvenus à identifier et à arrêter la tête du réseau. Il était à la fois le faussaire qui a procuré à de jeunes adultes les faux documents d’état-civil -18 ans et 20 ans, au lieu de 15 ans et 17 ans figurant sur les pièces d’identité-, mais également l’organisateur des migrations illégales en bateau en Europe, via la Libye, l’Italie et enfin la France avec comme destination finale, Montpellier. Il utilisait des passeurs.

Ce sont des détails relevés par les spécialistes formés pour repérer à la PAF 34 les faux documents administratifs qui ont éveillé les soupçons et pour cause : les documents d’état-civil de cinq mineurs non accompagnés étrangers pris en charge par le Département de l’Hérault portaient tous le même numéro !

Un mineur de…32 ans !

Autre détail : les cinq africains venaient d’une même province de Côte d’Ivoire. L’arrestation de la tête de cette filière a entraîné l’interpellation d’un agent de la mairie de Daola, une ville ivoirienne du centre-ouest chargé de l’état-civil. Cet employé municipal est suspecté d’avoir été un complice actif du trafiquant et d’avoir délivré des documents falsifiés. La tête du réseau -le faussaire et le responsable des passeurs-, ainsi que les mineurs arrêtés dans cette procédure sont tous domiciliés dans cette province de Daola.

Selon le procureur de la République de Montpellier, Christophe Barret, “récemment, un mineur isolé pris en charge par le conseil départemental de l’Hérault avait indiqué être âgé de 17 ans. Le Département a eu un doute. Des vérifications poussées ont permis d’attester formellement qu’il était âgé de 32 ans, en réalité”.

Pour prouver la différence d’âge plus rapprochée, entre deux affirmant avoir 17 ans, alors qu’ils ont 20 ans, une batterie d’investigations sont diligentées, comme des vérifications dans les pays d’où ces migrants sont originaires, des tests osseux etc. Certains sont trahis par leurs déclarations faites avant d’arriver en France, en déclarant aux autorités italiennes être majeurs, alors qu’à Montpellier, ils assurent être mineurs.

Les parents morts étaient vivants !

Les policiers de la PAF de l’Hérault ont confondu des Ivoiriens qui avaient indiqué aux services du Département qui les avaient pris en charge que leurs parents étaient morts, dans leur pays et qu’ils étaient orphelins. “En réalité, quand nous avons saisi leurs téléphones portables, nous nous sommes aperçu qu’ils appelaient régulièrement leurs parents en Côte d’Ivoire”, révèle le commissaire divisionnaire Laurent Siam, directeur interdépartemental de la Police aux frontières de l’Hérault, du Gard et de la Lozère, qui a sous ses ordres 300 policiers, dont des enquêteurs des brigades mobiles de recherches -BMR- basés à Montpellier et à Nîmes.

Selon nos informations, depuis le mois de janvier, 65 dossiers ont été traités par la PAF 34 et douze mineurs non accompagnés étrangers sont en fuite. Identifiés, ils n’ont pas répondu aux convocations. Une opération a été lancée ces derniers jours, avec cinq suspects mis en examen et écroués après des gardes à vue. Un sixième trafiquant est en cavale et activement recherché.

17 plaintes du Département de l’Hérault

Ces investigations ont été déclenchées après 17 plaintes déposées par le conseil départemental de l’Hérault pour un préjudice estimé à 900’000 euros, puisque les mineurs isolés qui étaient majeurs ont profité des aides financières et matérielles du Département. La prise en charge totale d’un mineur non accompagné étranger coûte 284 euros par jour.  (…)

 

Quand l’Université devient un squat pour migrants

Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2018

   
 
Assemblée générale Université Mirail Blocus

© Infos-Toulouse

Le blocus de l’Université Toulouse-II Jean-Jaurès est ininterrompu depuis le 6 mars. Malgré le départ de Daniel Lacroix, Président de l’Université et la non-recevabilité pour l’IDEX, 30 425 étudiants demeurent dans l’incapacité d’étudier. La lutte contre le projet IDEX s’est transformée en lutte contre la sélection et les projets de loi du Gouvernement. Dorénavant, il s’agit également d’une lutte en faveur des clandestins. 

L’Université n’est plus bloquée, elle est désormais squattée. L’Union des étudiants toulousains (UET), principaux meneurs du blocus, a décidé de contacter des demandeurs d’asile. C’est ainsi que le vendredi 30 mars, une trentaine d’étudiants ont ouvert les portes du grand amphithéâtre de l’Université à une dizaine de migrants afghans, guinéens, congolais… Cette initiative fait suite à la fin de la trêve hivernale, le 31 mars dernier. Les grévistes peuvent a priori compter sur le nouvel administrateur provisoire de l’université, Richard Laganier, qui tente de leur trouver des solutions.

L’Université pour tous, mais sans études

L’UET revendique cette action en faveur de « l’Université pour tous », sans exception, tandis qu’ils empêchent la tenue des cours. Ils souhaitent qu’une solution d’hébergement soit trouvée pour les migrants, que tous les sans-papiers soient régularisés immédiatemment et le retrait de la loi asile-immigration. Ils ont également lancé plusieurs appels à dons pour de la nourriture sans porc, des produits d’hygiène et des vêtements pour hommes.

Lire aussi : Le blocus du Mirail perdure, les étudiants sous pression

Ce n’est pas la première occupation de l’Université du Mirail. Le troisième étage de l’Arche, récemment évacué, avait été occupé pendant plus d’un mois. Le tribunal administratif avait ordonné la levée de l’occupation illégale mais l’administration avait tardé à réagir.

Des dégâts matériels et sociaux

Le blocus n’est plus la seule préoccupation de l’administration. D’après La Dépêche, les révoltes et revendications des différents groupes se sont traduites par de nombreuses dégradations. Des casseurs avaient notamment investi la faculté dans la nuit du 7 au 8 mars, saccageant tout sur leur passage. En outre, des photos avaient été publiées par un employé de la fac. Distributeurs pillés, brisés, matelas, chiens, odeur insoutenable, destruction de documents administratifs, vol de matériel informatique…

L’administration de l’Université faisait déjà état d’une facture de 200 000€ pour les tables et chaises utilisées pour entraver les accès aux locaux.

Lire aussi : Au tour de la Gauche de faire le ménage dans ses rangs !

Le blocus a aussi des répercussions sociales. 3 000 personnes n’ont toujours pas perçu de salaire et les versements destinés aux fournisseurs sont bloqués. En outre, le blocus se répercute sur les commerces environnants, certains connaissent une baisse de 80% de leur chiffre d’affaire. Les commerces de restauration et d’impression sont les plus touchés, leur clientièle étant majoritairement composée d’étudiants.

Audrey Bibollet

 

Source : infos-toulouse

Des légionnaires viennent au secours d’une jeune fille agressée et se retrouvent devant le tribunal !

Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

garde à vue,jeune fille agressée,légionnaires,tribunalC’est une nouvelle illustration de cette justice toujours laxiste avec les voyous mais par contre intraitable avec ceux qui veulent remettre de l’ordre dans ce pays.

Trois légionnaires ont été déférés au parquet de Paris ce mardi, après une garde à vue prolongée.

Qu’ont-ils fait de mal ? Ils ont secouru une jeune fille agressée dans le métro !

Les faits datent du dimanche 1er avril 2018. Vers 6h45 du matin, dans un wagon du métro, au niveau de la station Saint-Ambroise (XIe) sur la ligne 9, un individu arrache le portable d’une jeune fille, sort du métro à l’arrêt et s’enfuit.

Les trois légionnaires en permission, âgés de 21 et 24 ans, poursuivent le voleur. Ils le rattrapent au niveau de l’impasse Truillot, derrière le boulevard Voltaire (XIe). Le voleur veut se battre mais il ne fait pas le poids face aux trois légionnaires.

Quand la police arrive, le voleur, en situation illégale, a perdu une dent, le pauvre. Il devient donc victime aux yeux d’une magistrature gauchiste.

Une source anonyme proche de l’enquête explique :

« Au parquet, ils n’étaient pas d’accord sur la suite à donner. Le dossier s’est baladé. Certains voulaient laisser tomber pour les militaires. Pour finir, une substitut du procureur a décidé de poursuivre les légionnaires. »

On aimerait connaître le nom de cette substitut du procureur. Celle-là, si elle est un jour victime d’une agression, elle aura bien mérité que personne ne vienne à son secours.

 

Source : medias-presse.info