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mardi, 08 mai 2018

LE "GRAIN DE SEL" DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

L’IRAN ET LA COREE, « CHAUD », « CHAUD » DEVANT ….


Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Le Président Macron semble-t-il, a le « devoir de mémoire » sélectif. A Washington, il y a deux semaines, à l’invitation de Donald Trump, notre fringuant Président a sacrifié, bien sûr, aux traditionnelles cérémonies protocolaires. Mais on a pu observer avec regrets que s’il avait consacré beaucoup de temps pour honorer la mémoire de Martin Luther King, le célèbre pasteur militant de la cause des Noirs au profil tout de même assez ambigu, il n’avait pas daigné se rendre au mur du Vietnam veterans mémorial où sont gravés les noms des 58 000 combattants US morts pour défendre la liberté en Asie du Sud-Est,  face à l’impérialisme des communistes vietnamiens. 

Des « papouilles » très démonstratives ! 
Mais, une fois terminé le temps des agapes, des tapes dans le dos, des mains sur la cuisse et des embrassades  à  n’en plus finir, que reste-t-il de concret de cette visite d’Etat de l’autre côté de l’Océan ? ( Trump aurait pu montrer à son ami « Emmanouwel » à Mount Vernon, les cases où vivaient les esclaves de ce bon Monsieur Georges Washington, lequel combattit, on l’oublie trop souvent, dans les rangs de la milice anglaise contre les Français du marquis de Montcalm au Québec ). Pas grand-chose en vérité, si ce n’est la confirmation que la France reste un zélé partenaire membre de l’Alliance Atlantique, alors que cette dernière n’a plus la même nécessité qu’à l’époque de la « Guerre froide ». Il reste des divergences sur au moins deux dossiers : 
-celui de la célèbre COP-21 et ses suites, la fameuse conférence  sur les dérèglements climatiques qui prétendait être, par ses attendus,  plus forte que la nature et redresser ses cycles immuables ; 
-le nucléaire iranien. A ce sujet il serait tout de même incongru qu’un seul signataire de l’accord passé avec Téhéran par cinq puissances majeures, fasse tout capoter. Rappelons que l’Iran s’est engagé  à cesser d’enrichir son uranium à des fins militaires en échange d’une progressive levée des sanctions. On n’a pas demandé  la même chose à l’Etat d’Israël qui dispose d’un arsenal nucléaire conséquent, lui assurant une domination géostratégique sur le Proche-Orient. Mais, tant que des pays lui contesteront le droit à l’existence,  quelque part , n’est pas justifié ? 
Qui détient « La » vérité ? 
Il serait d’ailleurs scandaleux que les partenaires de l’ex-Empire perse puissent tenir compte des dernières élucubrations de Benyamin Netanyahu brandissant les « preuves » que l’Iran, malgré les contrôles de l’AIEA de Vienne et les observations satellitaires, continuerait à travailler, secrètement, sur la bombe. Où est la vérité en ce domaine ? Un bref rappel. L’Iran du Shah qui entretenait de bonnes relations avec l’Etat juif, s’est mué en un farouche ennemi des Sionistes dès la prise de pouvoir par Khomeiny et sa clique d’Ayatollahs. Le Président Ahmadinejad, prédécesseur de Rohani, -plus modéré dans son expression-, par ses prises de paroles malheureuses sinon scandaleuses, annonçant qu’il voulait détruire l’Etat hébreu, a poussé ce dernier dans l’intransigeance et dans une surenchère anti-iranienne meurtrière : assassinats de savants, sur terre et dans les airs *, sabotages divers et variés, lobbying actif pour isoler commercialement l’Iran etc…. Légitime défense diront certains, simples mesures de précaution diront d’autres. Peut-être. Il n’en est pas moins vrai que les Israéliens ne plaisantent pas,  et qu’il faut aussi se rappeler que leur aviation bombarda, en Irak ,les installations  OSIRAK au grand dam d’un Saddam Hussein qui ne put, modestement, que riposter bien plus tard ,en lâchant quelques missiles SCUD sur la Terre Sainte pendant la première « Guerre du golfe ». 
La paix menacée ? 
Donald Trump aurait pris sa décision, encore qu’avec lui, il  faut attendre la contre-réaction à sa première prise de position, à savoir qu’il ne veut pas déplaire à ses alliés israéliens, - le tiendraient-ils par la barbichette ou serait-ce l’influence de son gendre ? -, et qu’il souhaite faire capoter l’accord en exigeant PLUS des Iraniens, ce que le régime de Téhéran  par la bouche même de son ministre des affaires étrangères, Mohamed Javad  Zarif,  a d’ores et déjà refusé : -« Si les Etats-Unis renoncent à l’accord de 2015, l’Iran reprendra plus vite  que jamais son programme nucléaire ». Les accusations d’Israël dans ce scénario-catastrophe, viennent à point nommé pour dramatiser la tension, sauf qu’apparemment, ni les Français, ni les Britanniques, ni les Allemands dont le Parlement vient de condamner le raid américano-français sur la Syrie, encore moins les Russes,  ne souhaitent cautionner ce schéma. L’Iran a besoin pour se développer d’une levée de l’embargo et il n’a pas d’autre choix, pour l’instant, que de s’exécuter et de respecter les clauses du traité, même s’il n’en pense pas moins. Nous, Français, nous avons besoin de retrouver notre place sur un marché de 80 millions d’âmes, notamment pour notre industrie automobile. 
Avec la Corée du Nord, le scénario iranien sera obsolète 
Si les USA se retiraient de l’accord,  ou si l’Iran refusait d’avantages de concessions, nous reviendrions à la case départ, avec tous les risques que ce panorama géopolitique bouleversé comporterait : une course effrénée au nucléaire militaire, Iran, Turquie, Arabie Saoudite, Egypte cherchant à « avoir la bombe ». Et, en face, un Etat d’Israël le doigt crispé  sur la queue de détente  au cas où….Dans cette région particulièrement explosive où toutes les haines et les rancœurs du passé se sont accumulées,  Juifs contre Arabes, Sunnites contre Chiites, Kurdes contre Arabes et Turcs, Sémites contre Indo-Aryens, tous les raisonnements rationnels qui ont accompagné la confrontation entre les deux blocs durant la « Guerre froide » ne résisteraient pas aux pulsions des uns ou des autres. C’est dire s’il est urgent de neutraliser les « allumettes » ! Tel ne sera pas la tournure prise, par analogie, avec le dossier coréen. Kim-Jung-Un a réussi son coup : il détient l’arme suprême, il n’y renoncera pas, même si le gel provisoire des essais nucléaires et l’abandon, tout aussi temporaire de ses recherches balistiques, sont mis sur la table des négociations en échange d’une levée de l’embargo et de l’insertion de la Corée du Nord dans le concert mondial. Il a gagné la course dans le « rapport du faible au fort » théorisé jadis en France, par le général Gallois. La réunification n’est pour l’héritier de la dynastie des Kim qu’un hypothétique objectif, contrairement aux vœux à long terme du pacifiste Président Sud-Coréen Moon-Jae-In.  Kim a vu ce qui est arrivé à Saddam Hussein et à Kadhafi. Il ne désarmera pas, même si sa panoplie ne s’enrichit plus, provisoirement. Aussi hermétique qu’inhumain soit son régime, il ne lâchera que l’accessoire pour conserver l’essentiel. A moins, à moins qu’une révolution de Palais ne l’emporte. Mais ça, c’est une autre histoire…. 
Jean-Claude ROLINAT 


* « L’avion, ce mystérieux tueur de célébrités », édité à l’Atelier Fol’Fer. 

LE PARTI DE LA FRANCE OPPOSÉ À UN INUTILE ET COÛTEUX RETOUR DU SERVICE NATIONAL

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018 

Promesse de campagne du candidat Macron, l'instauration d'un service national obligatoire pour tous les jeunes, filles et garçons, d'une même tranche d'âge participe de ces engagements électoraux inconsidérés auxquels nous ont habitué les démagogues de droite comme de gauche. 


Le Parti de la France opposé à un inutile et coûteux retour du service national

Depuis sa suppression décidée en 1995 par Jacques Chirac, le service militaire hante les esprits de beaucoup de nos compatriotes nostalgiques de la conscription républicaine, de la Nation en arme et du service universel. 

Universel d'apparence puisque, sans revenir aux « remplacements » des débuts de la troisième République, l'égalité devant la conscription, par le jeu de l'exemption, fut largement un mythe, particulièrement dans les vingt dernières années de l’existence du service militaire. 

Le projet Macron – un mois de service dont la moitié en internat, initiation au secourisme et aux techniques de sécurisation informatique, éducation civique de base, le tout relevant de l'autorité militaire tout en restant dans le cadre civil – s'inscrit  à tous égards dans un fourre-tout idéologique à destination incertaine. 

Le Parti de la France, attaché à la grandeur de nos armées et à leur efficacité dans l'accomplissement des missions que la France leur ordonne, souligne trois  raisons de s'opposer à ce projet. 

  • Il n'est pas dans les missions de nos armées, de nos officiers et sous-officiers de servir d’encadrement pour les pouponnières « civiques » que le gouvernement veut instituer comme classes de rattrapage d'une intégration désormais impossible. Le fameux « brassage » qu’opérait autrefois le service militaire se faisait dans un cadre national homogène et structuré, et n’était pas un but en soi. Le but était de former ses soldats pour la défense de la Patrie. Dans ce projet, aucune formation militaire réelle. Quant au brassage, les choses étant ce qu'elles sont et la réalité « sociale » de notre pays ce qu'elle est  on imagine ce qu'il en adviendra.
  • Le coût de la mise en œuvre d'un tel projet serait exorbitant. Soit il pèserait sur le budget des Armées dont on sait l'étroitesse (la France vient de reculer d’une place dans le classement des engagements financiers consacrés à leur défense par les nations développées, ou en voie de l'être, au regard de leur PIB, et se retrouve en sixième position derrière l'Inde avec, bien sur, un écart vertigineux par rapport aux États-Unis et à la Russie) ; soit il devrait être considéré en nouvelles dépenses, ce qui impliquerait inévitablement des charges supplémentaire pour les contribuables.
  • La technicité de l'armée moderne, la nécessité de combattants formés, spécialisés et aguerris rend impossible le retour du service militaire à l'ancienne. Dès les années 1960, les nationaux se prononçaient pour une armée de métier. Il est, en revanche, hautement souhaitable que soit organisée, dans le cadre d’un volontariat puissamment soutenu et objet d’une incitation forte de l’État, une force de réserve destinée aux missions autrefois attribuées à la Défense Opérationnelle du Territoire (DOT), qui pourrait se concrétiser par la création d'une vraie garde nationale souvent évoquée par les gouvernements successifs mais toujours restée à  l’état de vœu pieux.

DIMANCHE 13 MAI : DÉFILÉ EN HOMMAGE À SAINTE JEANNE D’ARC

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

Avec Civitas, le Parti de la France défilera dimanche 13 mai à Paris en l’hommage de sainte Jeanne d’Arc. Rdv a 14heures place Saint Augustin. Défilé à 15heures jusqu’à la place des Pyramides.


Dimanche 13 mai : défilé en hommage à sainte Jeanne d’Arc
 
 

 

France. Echange tendu entre Bourdin et un auditeur pro-armes à feu: « Trump a raison » (Vidéo)

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

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Echange tendu entre Bourdin et un auditeur pro-armes à feu (RMC, 07/05/18, 7h17)

 

 

Source : lesobservateurs

Suède: une enquête montre la surreprésentation des étrangers dans les viols collectifs.

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

 
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Nous avions traduit en primeur des éléments de l'enquête d'Expressen sur la criminalité étrangèreen Suède.

Voici une autre enquête qui confirme ce qui se passe avec l'immigration.

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En mars , Expressen a publié une "enquête unique" sur les hommes arrêtés en justice pour viols collectifs entre 2016-2017. Presque tous, 42 sur 43, avaient des antécédents étrangers. Aftonbladet a maintenant mené sa propre enquête avec des résultats similaires.

L'enquête d'Aftonbladet sur les viols collectifs en Suède a dressé une liste de 58 jugements depuis juillet 2012.

Sur 112 condamnés, 82 sont nés en dehors de l'Europe. Les nationalités les plus répandues parmi les auteurs sont la Suède (41), l'Afghanistan (25), l'Irak (9) et la Somalie (7).

27 des 112 sont nés en Suède, dont 13 de deux parents nés en Suède.

En d'autres termes, 99 délinquants condamnés sur 112 (ou un peu plus de 88 %), sont d'origine étrangère.

(...)

L'enquête montre également que sept agresseurs sur dix avaient entre 15 et 20 ans et que l'âge médian de la victime n'était que de 15 ans. Il montre également que le nombre de condamnations pour des viols en groupe a plus que doublé en quatre ans.

Selon le journal Aftonbladet, les auteurs ont souvent une «vision déformée de la sexualité» et rabaissent leurs victimes.

Source Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch