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mardi, 08 mai 2018

Erdogan : « Les Français ont massacré 5 millions de musulmans en Algérie »

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

Par  le 07/05/2018 
 
 

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé dans un discours que «les Français ont massacré 5 millions de musulmans en Algérie», rapporte ce lundi 7 mai la Radio-télévision de Turquie (TRT, publique).

«Les Français ont massacré 5 millions de musulmans en Algérie. Ils ont commis également un massacre énorme en Libye. Mais le monde s’est tu. Il en sera de même plus tard, car c’est leur structure, leur caractère» a dénoncé M. Erdogan lors de la cérémonie des Prix de la paix Zeytindagi d’Istanbul. […]

 

tsa-algerie via fdesouche

Selon une étude espagnole, la société marocaine légitime le jihad

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

Par  le 07/05/2018

Le Think tank espagnol, Real Instituto Elcano, qui dit «analyser le monde d’un point de vue espagnol et européen», a étudié la provenance de terroristes qui sont passés à l’acte entre 2013 et 2017 en Espagne. Elle livre également quelques chiffres sur ce qu’en pensent les Marocains.

Au cours de ces cinq dernières années en Espagne, 233 djihadistes ont été arrêtés et huit autres abattus. L’étude qui se contente d’analyser la nationalité ou les origines de ces terroristes, affirme ainsi que «près de la moitié des djihadistes arrêtés ou tués en Espagne entre 2013 et 2017 sont de nationalité marocaine». Plus précisément, ils sont de 46%.

Ceux de nationalité espagnole sont près de 37,9%, tandis que le reste est constitué de 19 autres nationalités. Cependant, un autre point évoqué dans cette étude est la naturalisation. Dans ce sens, 53% de l’ensemble des djihadiste sont nés au Maroc et 29,5% en Espagne.

Sur cette base, l’étude souligne qu’actuellement, le djihadisme en Espagne «est principalement le fait de personnes de nationalité marocaine ou de parents Marocains, ce qui implique qu’un problème existant au Maroc est projeté sur notre pays (Espagne)».

L’étonnante affirmation qu’avance le document est que la société marocaine légitimerait même le djihad :

«Le Maroc est aussi un pays où existe une culture populaire avec certains contenus religieux, comme ceux qui se réfèrent à l’‘Islam Morabito’, à travers lequel sont vénérés des guerriers sacrés et légendaires dans les mausolées. Cette glorification aurait permis à des tranches de la population, les jeunes en particulier, d’être réceptifs aux interprétations islamistes et aux combattants de la notion de djihad ou de la pratique du martyre.»

Par ailleurs, le Think tank rapporte qu’après les attentats du 11 septembre 2001, «un degré d’approbation sociale pertinent, mesuré en termes de soutien aux actes de terroristes kamikazes, en défense de l’Islam» a été relevé par un sondage de Pew Global Attitudes Survey.

Ce sondage daté de 2004 précise que 40% des Marocains de plus de 18 ans «ont exprimé leur soutien à l’exécution, dans leur propre pays, d’attentats suicides pour la défense de l’Islam».  (…)

 

Toulouse : Condamné pour «apologie du terrorisme», il insulte le procureur

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

 

Par  le 07/05/2018

 

«J’aimerais avoir une Kalach pour tuer tous les mécréants !» Cette phrase, un détenu de 38 ans en semi-liberté l’a lâché devant ses codétenus, le 17 octobre dernier, à Montgiscard lors d’un chantier extérieur. Une menace également entendue par les agents de l’administration pénitentiaire. Alerté, le parquet a ouvert une enquête qui a abouti vendredi devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Le détenu était poursuivi pour «apologie du terrorisme». (…)

Pourtant certains codétenus qui se trouvaient avec lui lors de l’incident l’ont entendu, lors d’un chantier sur les berges du Canal du Midi, affirmer : «Daesh a eu raison de tout faire péter en France». Inquiétant. (…)

Après délibéré, le prévenu a été condamné à 4 mois de prison ferme, avec un maintien en détention. A la lecture du jugement, le prévenu a explosé. «Procureur de merde !», hurle-t-il devant le tribunal, tentant de passer par-dessus la vitre du box des prévenus. Il a alors été maîtrisé non sans mal par quatre policiers. Une grosse colère qui pourrait entraîner de nouvelles poursuites

 

A l’autre bout du monde, la Nouvelle-Calédonie

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

 

 par Constance Prazel

Depuis jeudi, Emmanuel Macron est en Nouvelle-Calédonie, à tout juste 6 mois du référendum prévu pour l’indépendance, et trente ans exactement après les « événements » d’Ouvéa, c’est-à-dire la prise d’otages d’une gendarmerie par des indépendantistes kanaks. Quatre gendarmes avaient péri au moment de l’attaque de la gendarmerie. L’assaut s’était soldé par 19 morts du côté des ravisseurs ; deux militaires y avaient trouvé la mort, le 5 mai 1988.

Voilà qui motive les indépendantistes à parler d’une véritable « provocation » dans la visite d’Emmanuel Macron. Combien sont-ils ? Une poignée. N’en déplaise à certains, ils sont nombreux, les kanaks loyalistes, et parfois depuis plusieurs générations.

Le 5 mai 1998, c’est cette fois sous le gouvernement de Lionel Jospin qu’avaient été signés les « Accords de Nouméa », prévoyant un transfert de compétences généralisé à la Nouvelle-Calédonie, et prévoyant l’organisation de consultations populaires sur l’auto-détermination des îles calédoniennes. Emmanuel Macron poursuit une politique inaugurée par les Accords de Nouméa. La question qui sera posée le 4 novembre prochain est sans ambiguïté : « Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante ? »

Même si la plupart des observateurs s’accordent sur le fait que le « non » l’emporterait à une très large majorité, le signal envoyé est puissant. Certains organes de presse n’hésitent même pas à brandir le mot de « décolonisation », avec une irresponsabilité certaine, comme La Dépêche, qui parle des « étapes de la décolonisation ». Le terme est même repris par le site de l’ONU. Ce n’est pas un hasard : depuis l’Afrique du Nord, on sait que l’ONU aime se mêler de nos territoires outre-mer, et on fait de la Nouvelle-Calédonie une affaire de principe. Il faut prouver au monde qu’on peut faire une « décolonisation réussie ». En attendant, la Nouvelle-Calédonie dépend encore pour 30 % de ces recettes publiques de  la métropole, ce qui relativise sérieusement l’idée d’une indépendance, ce que les Calédoniens savent très bien. Et devant l’explosion de la délinquance, ils attendent aussi beaucoup d’un Etat fort, à tel point que Nouméa a été choisi comme territoire test pour la police de sécurité du quotidien, promesse de campagne du candidat Macron.

Le Président se montre plutôt favorable, bien qu’avec discrétion, au maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la communauté française. Et pour cause : outre l’enjeu bien connu du nickel, c’est aussi la question d’une zone économique exclusive de 1 740 000 km² qui disparaîtrait dans le Pacifique avec l’indépendance.

Mais plus fondamentalement, ce qui frappe aujourd’hui, c’est la difficulté des gouvernants à envisager un discours d’avenir et une vision pour ces terres françaises lointaines. En cas de statu quo à l’issue du vote de novembre, deux autres référendums sont prévus. On connaît la méthode : faire revoter les citoyens jusqu’à obtenir le résultat attendu ? La presse de gauche, pourtant grande prêtresse du vivre-ensemble, peut être prompte, sur de tels dossiers, à monter les communautés les unes contre les autres.

Il faut donc se rappeler ce qu’est la Nouvelle-Calédonie : une terre découverte par le britannique James Cook, qui lui donna son nom en y voyant une réminiscence, aux Antipodes, des paysages écossais. Mais surtout, une terre convertie par la France, et la foi des missionnaires maristes, qui ont donné naissance à une communauté catholique qui rassemble aujourd’hui plus de la moitié des habitants, qu’ils soient blancs ou kanaks. La jungle calédonienne porte encore la trace de leur passage et de leurs frêles constructions : églises, écoles et dispensaires. C’est cet héritage commun et méconnu qu’il faut aujourd’hui préserver.

> Constance Prazel est la déléguée générale de la Fondation de Service politique.

 

Source : ndf

La cérémonie d’investiture de Vladimir Poutine

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

Ecrit parLéo Kersauzie

 

La fastueuse cérémonie d’investiture de Vladimir Poutine, reconduit à la présidence de la Russie.

 

Source : medias-presse.info