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vendredi, 28 septembre 2018

Gilets pare-balles pour les infirmiers du Var : quid pour les Français moyens ?

Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2018

 PAR  LE 

Gilets Pare Balles Infirmiers Var

Le Samu du Var a décidé d’équiper ses équipes, infirmiers et médecins, de gilets pare-balles, à cause des « situations sensibles » où elles sont exposées, en croissance constante. Mais qu’a prévu le gouvernement pour la protection des Français moyens, eux aussi de plus en plus agressés ?
 
C’est Var-Matin qui l’a révélé. A la demande des personnels et à l’unanimité du conseil de surveillance de l’hôpital Sainte Musse dont dépend le Samu du Var, celui-ci a décidé d’équiper ses infirmiers et médecins de gilets pare-balles. C’est une réponse à l’actualité. Toulon est aujourd’hui le lieu de fusillades et d’agressions nombreuses. Il arrive que le Samu intervienne auprès de patients agités, violents, déséquilibrés, en prison ou dans des cités.
 

Pour les infirmiers : des gilets pare-balles blancs, couleur de paix

 
S’il entend ainsi répondre à « la récurrence de situations sensibles », le docteur Laurent Béché, chef de service du Samu du Var, se veut rassurant. Il ne s’agira pas, pour les infirmiers de « les porter au quotidien ». Les gilets pare-balles seront « dans un placard, les équipes les porteront uniquement lors des situations particulières ».
 
Cette précision ne satisfait pas le docteur François Braun, président du Samu France, qui voit dans l’emploi du gilet pare-balles un dangereux « mélange des genres ». Lui sépare les torchons des serviettes : « La sécurité est le travail de la police et non du Samu. Notre rôle n’est pas de soigner les blessés sous les balles, nous ne faisons pas de la médecine de guerre, nous intervenons après l’accord de la police.»
Il a d’ailleurs été entendu. Une infirmière explique : « Nos gilets sont blancs pour bien les distinguer de ceux des forces de l’ordre. »
 

La France du non-dit, non vu, non compris oublie les Français moyens

 
Cette question de signalétique, ou plutôt de sémiotique des uniformes, n’est certes pas négligeable, mais la vraie question n’est pas là. Elle git dans un fait constaté par tout le monde et amplement documentée, la forte croissance de la violence contre les personnes, en particulier dans ce que l’administration nomme les « quartiers sensibles » et la police, quand elle parle librement, des zones de non-droit. Cette violence s’étend maintenant au métro, aux bus, aux avenues chic.
 
Le vocabulaire employé par les deux médecins cités montre leur imbibition par le langage administratif, qui traduit une gêne et une sorte de peur de nommer un chat un chat. Qu’est-ce qu’une « situation particulière » ? Et une « situation sensible » » ? L’emploi systématique du jargon administratif, d’abord inutile et ridicule, devient vite dangereux : il apprend à ne pas dire. Nous sommes entrés dans la république du non-dit, du non-vu, du non-compris. C’est-à-dire, soyons net, la république des imbéciles et des menteurs.
 

Dans le Var, mais pas que dans le Var, une médecine de guerre

 
Plus quelqu’un se trouve élevé dans la hiérarchie, donc éloigné de la réalité de la rue, plus le phénomène le touche. Ainsi le docteur Braun sombre-t-il en plein déni lorsqu’il affirme que « Nous ne faisons pas de médecine de guerre ». Le docteur Béché lui répond aisément que, sans doute, en principe et la plupart du temps, le Samu et ses infirmiers n’interviennent-ils que lorsque « la situation est stabilisée », mais que ce n’est pas toujours le cas. A Toulon, il a vu le Samu opérer « alors qu’il y avait encore une fusillade en cours ». Et cette fusillade fit un mort et un blessé. 
 
Or, la situation empire. Le préfet du Var annonce officieusement pour le premier semestre 2018 « 27 usages d’arme à feu, avec deux morts et quatorze blessés ». Et le Var n’est pas un cas isolé. Dans certains coins du Nord, de la région parisienne, lyonnaise ou marseillaise la récurrence des situations particulières et sensibles force infirmiers et médecins à pratiquer une médecine de guerre civile.
 

Les gilets pare-balles, un moyen contre le couteau et l’arme de poing

 
Cette guerre n’a pas pour principal moyen les armes à feu, même si l’usage s’en répand, moins encore les armes de guerre. Une infirmière du Samu du Var expliquait d’ailleurs que les gilets pare-balles qu’on a distribués ne protègent pas des munitions de guerre mais « des armes de poing et des couteaux ». C’est donc contre ce type d’agressions, ou de mode opératoire, que le Samu du Var défend son personnel.
 
Cela signifie qu’il a ouvert sur le phénomène qui gagne la France, à l’intersection de la rixe aggravée, du terrorisme, du crime de sang et de la guérilla. L’été n’a cessé de résonner de coups de couteau portés au cou, d’hommes ou de femmes tués en pleine rue sans que la raison n’en soit définie de façon claire. C’est une violence globale, dont le mode opératoire est nouveau et semble indiquer une origine étrangère, « une autre culture », venue d’autres ethnies.
 

Pompiers, policiers, postiers, passants, n’ont pas les moyens de se protéger

 
C’est cela que les trois singes de Nikko de l’administration, des médias et de la politique ne veulent pas voir, entendre, ni dire. Ce dont infirmiers et médecins entendent maintenant, dans le Var, se protéger, frappe une très grande partie des professions (70 % des salariés selon une récente étude) qui sont « en contact avec le public ».
 
Les plus violemment touchés sont les pompiers. En 2016, près de 2 300 d’entre eux ont été agressés alors qu’ils étaient en mission, contre moins de 900 en 2008, soit une multiplication par 2,5. Le taux d’agression pour dix mille pompiers et le nombre d’arrêts de jours de travail accordés sont eux aussi en augmentation constante. Et 2017 et 2018, pour lesquelles les statistiques manquent encore, semblent à vue de nez aggraver le phénomène. L’office national de la délinquance et des réponses pénales prend la peine de préciser que ce sont des chiffres par défaut, leur recension n’étant pas exhaustive.
 

Qui attaque la France et les Français par tous les moyens ?

 
Par région, une absence surprend : il n’y a pas d’agression de pompiers en Corse. Pourtant, les bergers et la mafia y allument parfois des feux. Cela pose une question : qui agresse les pompiers ? Qui agresse les infirmiers du Var au point qu’ils demandent des gilets pare-balles ? Qui agresse les postiers, les employés du gaz et de l’électricité, les policiers français, les militaires français, tout ce qui peut incarner l’Etat, l’autorité ou la France ? Cette question indiscrète gêne visiblement nos décideurs politiquement correct, mais un médecin responsable de son personnel dans une situation concrète ne peut pas ne pas se la poser – et il y donne une réponse qui pour être muette n’en est pas moins éloquente : les gilets pare-balles des infirmiers du Var en disent plus long sur l’état de la France, et ce que subissent les Français moyens tous les jours, que les discours d’Emmanuel Macron et le tintamarre des médias.
 

Pauline Mille

https://reinformation.tv/gilets-pare-balles-infirmiers-va... via leblogalupus

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Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2018

 

Le Grand Orient de France réunit des eurodéputés à l’approche des élections européennes

Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2018

Les forces occultes et leurs relais dans les médias du système essayent fréquemment de faire croire aux naïfs que la franc-maçonnerie serait une société philanthropique ne s’occupant pas de politique. Il faudrait être aveugle pour croire à cette fable.

Rappelons d’ailleurs cette directive explicite :

« Il serait nécessaire de rappeler aux parlementaires Maçons qu’ils sont d’abord Maçons, avant d’être parlementaires. (…) Il faudrait que le Conseil de l’Ordre rappelle aux parlementaires qu’ils doivent être disciplinés. »

(Convent du Grand Orient, 1949, p.54)

Et à l’approche des élections européennes, le Grand Orient de France a prévu un colloque européen qui se tiendra à Pau du 1 au 3 novembre, en présence de députés européens.

Le programme de ce colloque intitulé « Vers un idéal européen » correspond sans surprise à la volonté de mettre en place « une citoyenneté européenne », qui implique la disparition des Nations, prélude à la gouvernance mondiale :

Jeudi 1 novembre 2018
TENUE
18:00 – 19:00:
Accueil des FF∴ et SS∴

20:00 – 22:30:
Tenue européenne au 1er degré, présentation des contributions des LL∴ et débat sur les thèmes:

La Franc Maçonnerie et l’Europe : retour critique sur une histoire de plusieurs siècles.
Quelles sont les valeurs essentielles sur lesquelles l’utopie européenne pourrait être construite ?
Les grands défis européens: quel rôle prospectif pour la Franc Maçonnerie?
Liens transfrontaliers entre LL∴ : l’expérience de certaines d’entre elles.
22:30 – 24:00:
Agapes fraternelles.

Vendredi 2 novembre 2018
CONFÉRENCES – TABLES RONDES
08:30 – 09:00
Accueil des participants autour d’un café et viennoiseries.

09:00 – 09:30
Mots d’accueil des dignitaires et présentation du programme.
09:30 – 12:30
Conférence suivie d’une table ronde

La Franc-Maçonnerie en Europe, actrice de sa diversité spirituelle
12:30 – 14:00
Pause déjeuner.
14:00 – 14:45
Intervention conférencier et échanges avec la salle :
Témoignage de députés européens : les enjeux actuels de la construction européenne « vus de l’intérieur ».
14:45 – 15:30
Table ronde 2 :
Les défis actuels : migrants, extrémisme, populisme, écologie…
15:30 – 15:45
Pause café.
15:45 – 16:30
Table ronde 3 :

Quels freins pour une Europe humaniste?
16:30 – 17:00
Intervention de clôture de la journée.
17:00 – 18:00
Pause
18:00 – 20:00
Conférence publique par le G.·.M.·. du G.·.O.·.D.·.F.·.
VERS UN IDÉAL EUROPÉEN
20:00
Soirée festive
Samedi 3 novembre 2018
ATELIERS
08:30 – 09:00
Accueil des FF.·. et SS.·. autour d’un café et de viennoiseries.

09:00 – 09:15
Présentation du programme des ateliers :

Rappel des problématiques soulevées par la consultation préalable.
09:15 – 11:15
Quatre ateliers simultanés répartis en quatre salles :

Comment favoriser le travail commun entre les LL.·. des différents pays européens? Propositions pour encourager le travail et le jumelage des loges à travers les frontières.

Pourquoi et comment renforcer la dimension européenne du G.·.O.·.D.·.F.·.?

Comment développer la conscience d’une citoyenneté européenne? Quel rôle pour la Franc Maçonnerie?

Les jeunes et l’Europe
11:15 – 11:30
Pause café.
11:30 – 12:30
Restitution des ateliers en séance plénière et échanges avec la salle.
12:30 – 13:00
Clôture des travaux et du colloque.
13:00 – 14:30
Pause déjeuner

Après-midi : escapades maçonniques

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 27 septembre 2018

Un rappeur parisien appelle au meurtre des Blancs (Vidéo) : Le titre est distribué sur toutes les plateformes – deezer, itunes, amazon, fnac..) Partager sur Facebook

Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2018

 

Extrait des paroles : 

Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents,
Écartelez-les pour passer le temps.
Divertir les enfants noirs, de tous ages, petits et grands,
Fouettez les fort, faites le franchement
Que ça pue la mort que ça pisse le sang
Pendus aux arbres dans le vide sidéral
Que ces fruits immondes procurent un spectacle fascinant
Blafards et marrants
Ôtez leur toute vie, qu’ils soient des objets sans vie dès à présent
Possédez les, mettez vos noms sur leurs testaments

Refrain: « Pendez les, Pendez-les tous, pendez les blancs ».

Pas de sentiments, qu’ils meurent tous en même temps
Donnez l’exemple, torturez devant le groupe
Ceux qui sont trop récalcitrants

Etc.

 

Source : 

Au coin de la 34ème

Via Fdesouche.com

Suède : plus de 50 % des violeurs ne sont pas européens

Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2018

La télévision publique suédoise SVT brise un tabou : pour la première fois, une étude sur les viols et les viols collectifs a été publiée qui tient compte des origines des auteurs.

Il en ressort que 58% des violeurs sont nés à l’étranger, dont 51% hors d’Europe. Pour les viols aggravés (viols avec agression par surprise et viols collectifs), ces proportions montent à 75% et 74% respectivement. Encore l’étude ne tient-elle compte que du lieu de naissance : parmi les personnes nées en Suède, elle ne distingue pas les Suédois de souche des personnes issues de l’immigration.

Au mois de mai déjà, les journaux Aftonbladet et Expressen avaient publié des études sur les origines des auteurs de viols collectifs. Conclusion : 88 % étaient issus de l’immigration.

Dans une étude publiée en 2015, le Gatestone Institute notait déjà : « 40 ans après que le parlement suédois a décidé à l’unanimité de transformer la Suède autrefois homogène en un pays multiculturel, les crimes violents ont augmenté de 300 % et les viols de 1472 %.2

Dans les viols collectifs, 74% des auteurs ne viennent pas d’Europe. Tous les auteurs non européens venaient du Moyen-Orient, d’Afrique ou d’Afghanistan.

Il n’y a donc pas eu un seul Américain, Australien ou Asiatique de l’Est condamné pour viol collectif en 2012-2017.

Bien sûr, des critiques sont immédiatement venues des milieux de gauche, y compris des politiciens. Selon eux, l’origine géographique n’a rien à voir avec ces crimes.

C’est plutôt la mauvaise situation économique ou les « normes de virilité » qui en sont responsables. Ceux qui mentionnent l’origine des violeurs sont volontiers taxés de racisme et d’incitation à la haine.

 

Source : wochenblick.at

Extraits traduits par Cenator pour LesObservateurs.ch