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vendredi, 21 septembre 2018

Carl Lang, Président du Parti de la France, sera à Avignon samedi 6 octobre pour la Journée d'Amitié et d'Action Française, les différentes conférences auront pour thème général « Rebâtir la cité »

Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2018

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Nationalisme et xénophobie, les bêtes noires du pape François

Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2018 

Le pape François est maître dans l’art de détourner les regards des problèmes brûlants qui ébranlent son pontificat. Dans la même veine que nos hommes politiques qui, dès qu’ils sont englués dans des impasses économiques, confrontés au mal-être social ou à une population exaspérée par l’insécurité migratoire, ressortent du placard ou créent ex-nihilo une sombre affaire de racisme ou anti-sémitisme, el papa argentin crie aujourd’hui au péril nationaliste.

A travers un texte envoyé pour une conférence sur le nationalisme et la gestion des flux migratoires il a tonné encore « contre » la prolifération de « ces nouvelles formes de xénophobie et racisme » qui seraient en train de se diffuser en politique.

Le colloque auquel était adressé ce document était organisé conjointement par le dicastère pour le développement du Service humain intégral et le Conseil œcuménique des Églises (COE), entité protestante, et soutenu par le Conseil pontifical pour l’Unité des chrétiens. Il s’est tenu du 18 au 20 septembre 2018 au Vatican et s’est concentré sur l’expansion du soi-disant « nationalisme populiste » mis en relation avec l’accroissement de l’immigration. Son intitulé : Xénophobie, racisme et nationalisme populiste dans le contexte des migrations mondiales.

Dans son texte, l’actuel pontife a manifesté, à nouveau, sa contrariété envers « la ligne dure » de certains pays européens par rapport au phénomène migratoire. Lors du vote du « mariage » pour tous en Italie Jorge Maria Bergoglio s’était pourtant défaussé de son devoir de rappel de la loi divine en prétextant ne pas vouloir se mêler despolitiques des pays. Mais sur ce sujet éminemment politique qu’est la gestion de l’immigration il est toujours en première ligne pour condamner l’action ferme des gouvernements qui s’y opposent.

Les messages pro-migrants bergogliens sont des ferments de dissolution des identités et des courroies de transmission du mondialisme apatride. Ce dernier n’a pas manqué à la règle. Improvisant son allocution transmise par la salle de presse du Saint-Siège, l’immigrophile pape François a dénoncé « de véritables actes d’intolérance, de discrimination ou d’exclusion, qui lèsent gravement la dignité des personnes impliquées et leurs droits fondamentaux, y compris même le droit à la vie et à l’intégrité physique et morale » dans une optique toujours à sens unique de culpabilisation des Européens. Et a mis en garde contre la montée du péril noir, sirène anxiogène régulièrement claironnée pour maintenir les esprits dans le politiquement correct :

« Nous vivons à une époque où des sentiments que beaucoup pensaient dépassés, semblent reprendre vie et se répandre. Des sentiments de suspicion, de crainte, de mépris et même de haine à l’égard d’individus ou de groupes jugés différents en raison de leur appartenance ethnique, nationale ou religieuse, et en tant que tels, considérés comme indignes de participer pleinement à la vie de la société. »

Et d’en appeler à l’union des religions pour combattre ces « nouvelles formes de xénophobie et de racisme » pour « contribue[r] à construire des sociétés fondées sur le principe de la sacralité de la vie humaine et sur le respect de la dignité de toute personne, sur la charité, sur la fraternité, – qui va bien au-delà de la tolérance – et sur la solidarité. »

Le mondialisme pluri-ethnique et le syncrétisme pluri-religieux vont décidément bien ensemble ! Deux faces d’une même médaille vouée à disloquer les nations et étoufferla Vérité catholique par l’imposition à toute l’humanité d’un melting-pot bariolé et d’un relativisme mortel. Et, à l’heure présente, destinée à détourner l’attention des nombreux scandales qui s’accumulent sur ltête du pape latino-américain…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Allemagne : Les clans arabes font la loi. La police avait décidé de ne pas réagir pour éviter de se faire traiter de xénophobe.

Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2018

De grandes familles arabes se sont propagées dans toute l'Allemagne et contrôlent des quartiers entiers. Cela est dû aux erreurs des années 80 et 90.

Ils ont crié « Allahu akbar », en accompagnant le cercueil à travers les rues et ont rendu hommage à un individu assassiné, reconnu coupable de vol qualifié, de voies de fait dangereuses, de mauvais traitements, de coercition et d'infractions en matière de drogue.

On estime à 2000 le nombre de membres de grandes familles arabes qui ont assisté aux funérailles cette semaine. La scène évoquait les obsèques de la mafia, de Chicago dans les années 1930 ou de la bande de Gaza. En réalité, les hommes barbus, tatoués et musclés ont marché à travers Berlin.

Les photos pourraient également provenir de Dortmund, Essen, Brême ou Duisbourg. Environ 12 grandes familles arabes, comptant chacune des centaines, voire des milliers de membres, se sont répandues dans les villes allemandes. Ils contrôlent des quartiers entiers, commettent des vols, pratiquent le trafic d'êtres humains et de drogues, pratiquent le racket. Ils reçoivent généralement une aide sociale, mais possèdent des voitures de luxe, des hôtels, des stations-service, des bars à narguilé et des magasins de paris - et élargissent constamment leur sphère d'influence dans de nouvelles villes et villages.

Bienvenue en automne 2018 dans la République fédérale d'Allemagne. Alors que les effets de la "culture d'accueil" de 2015 commencent à montrer des signes de ralentissement, les conséquences des erreurs des années 1980 et 1990 sont déjà clairement visibles. A l'époque, des dizaines de milliers de réfugiés venaient du Liban.

Bien que personne ne sache exactement qui ils étaient, ce qu’ils feraient ici et s’ils avaient été menacés chez eux. Mais à cette époque déjà, l'Allemagne les a laissés pour la plupart naïvement sans contrôle dans le pays.

"Ils vivent dans des mondes parallèles avec leurs propres règles et lois."

Une génération plus tard, le résultat de cette politique est évident: les familles arabes nombreuses - qui avaient délibérément abusé de la loi sur l'asile pour amener leurs clans en Allemagne - ont pris le pouvoir dans de nombreuses parties de la ville. Elles vivent dans des mondes parallèles avec leurs propres règles, valeurs et lois.

Elles méprisent l'Etat allemand. Elles menacent les policiers. Et elles se moquent des juges allemands qui prononcent les peines habituelles avec sursis. 

Pendant des mois, le journaliste Olaf Sundermeyer a effectué des recherches dans le milieu pour un documentaire. Même Sundermeyer - en principe un expert de l'extrémisme de droite - arrive à la conclusion que les autorités ont détourné les yeux pendant des années et ont minimisé.

Dans le talk-show de Markus Lanz, il a récemment déclaré que les renseignements criminels étaient déjà au courant des problèmes à la fin des années 90. Lors d’une réunion nationale, ils avaient toutefois décidé à l’époque de ne pas lancer une campagne de grande envergure contre les clans arabes, car il aurait fallu procéder à une "attribution ethnique".

Par crainte d'être considérées comme xénophobes, les autorités allemandes ont permis aux clans criminels de perdurer durant des décennies. On peut imaginer à quel point ces familles ont dû en rire.

Aujourd'hui, les clans sont si grands, puissants et en connectés qu'ils pourraient difficilement être combattus avec les moyens et les lois existants, déclare Sundermeyer. En outre, ils recrutent constamment de nouvelles forces parmi les centaines de milliers de migrants qui ont afflué en Allemagne ces dernières années.

 

Tagesanzeiger.ch

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Carl Lang dénonce ce juge nostalgique de l'URSS qui ordonne une expertise psychiatrique pour Marine Le Pen

Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2018

Malgré ses divergences avec la Présidente du RN, Carl Lang, Président du Parti de la France, dénonce les pratiques délirantes d'une justice politisée à son égard.

 
Carl LANG@carllang2022
 
 Il s'est donc trouvé un"juge" pour demander une analyse psychiatrique de Mme Le Pen. Il a probablement la nostalgie des hôpitaux psychiatriques d'URSS qui servaient à la répression et à la torture chimique des opposants et dissidents. Quelle abjecte et infâme justice politique.

Reconnaissance de la responsabilité de la France dans la mort de Maurice Audin : un crachat sur la mémoire nationale

Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2018

Sur la grande toile nauséabonde de la repentance, Macron qui, en février 2017, à Alger, qualifiait la colonisation française de « crime contre l'humanité » vient d’ajouter un crachat supplémentaire à la mémoire nationale en affirmant la responsabilité de l’État dans la mort de Maurice Audin.

Traître communiste et complice des terroristes du FLN, ce mathématicien avait été arrêté et interrogé par les parachutistes de la 10e DP du général Massu dans le cadre de la mission qui leur avait été confiée par le gouvernement socialiste de Guy Mollet, en vertu des pouvoirs spéciaux que lui avait accordés l’assemblée nationale en mars 1956. La bataille d'Alger fut la bataille d'une France qui ne courbait pas encore totalement le dos. En quelques semaines, la 10e DP, par son action exemplaire, mit fin aux attentats arabes qui dévastaient Alger et frappaient la population.

Audin soutenait ces attentats puisqu’il en aidait les auteurs qu'il lui arriva même de cacher. Audin était un traître. Un renégat. Un terroriste par personnes interposées. Son sort fut celui réservé aux traîtres, aux renégats et aux terroristes

En lui rendant un hommage détourné, en demandant « pardon » à sa veuve, Macron vient de donner un écœurant satisfecit à la trahison d'hier et d'ouvrir les portes à celles de demain.

  • Pour les communistes, cette « reconnaissance » est celle de leur action scélérate tout au long des guerres d’Indochine et d’Algérie, eux qui n'eurent pendant soixante ans d'autre patrie que la terre soviétique.
  • Pour les gauchistes d’aujourd’hui, elle est un signe et un encouragement.
  • Pour l’Algérie, elle est un pas de plus vers l’agenouillement total de la France.
  • Pour les familles de Français nés en Algérie, elle est une offense et une souffrance par la réouverture de plaies encore fraîches.
  • Pour les harkis et leurs fils que l’État feignait d’honorer le mois dernier, il s'agit d'un abandon de plus.
  • Pour l’armée Française, il s'agit d'un désaveu cinglant et d'un camouflet, infligés par celui qui s'en prétend le chef.
  • Pour les membres des forces de l'ordre, civiles et militaires, sur les épaules desquels reposent la sécurité de la France et des Français, à l’intérieur comme, en opérations, à l’extérieur de nos frontières, il s'agit d'un coup de couteau dans le dos et d'un acte de démoralisation.
  • Pour les islamistes, elle s’apparente à un coup de pouce donné aux réseaux de soutien au terrorisme d'aujourd'hui comme ceux de Curiel ou Audin hier.

Le Parti de la France rend hommage à tous ceux qui ont construit l’Algérie française et à ceux qui l'ont défendue, souvent jusqu’à la mort, face aux massacreurs du FLN et à leurs complices communistes, puis, quand vint le temps de la trahison et de la félonie, en résistant à un abandon dont ils savaient qu'il serait suivi de bien d’autres.

Macron, dès son élection, avait tenu à placer son mandat sous le signe de De Gaulle. On en mesure les raisons aujourd'hui.

Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaire