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mardi, 12 février 2019

Choc en Autriche : un Turc a poignardé à mort le chef d’un bureau d’aide sociale car il était furieux que sa demande d’asile ait été rejetée

Publié par Guy Jovelin le 12 février 2019

Par  le 11/02/2019
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Autriche – A Dornbirn, dans le Vorarlberg, le chef d’un bureau d’aide sociale a été poignardé à mort mercredi. Le suspect est un Turc de 34 ans.

Le suspect a été interdit de séjour en Autriche en 2009 en raison de nombreuses infractions pénales. En 2010, il est parti pour la Turquie.

Mais cette année, il est retourné illégalement en Autriche et a formulé une demande d’asile le 7 janvier. Il voulait obtenir des soins de base pour les demandeurs d’asile auprès du bureau d’aide sociale de Dornbirn.

Parce que sa demande d’asile a été rejetée, le migrant a attaqué le responsable du service d’aide sociale avec un long couteau de cuisine et l’a tué.

La police a été en mesure d’arrêter rapidement le meurtrier.

(…) Selon le « Kronen Zeitung », le demandeur d’asile ne peut pas être expulsé s’il est reconnu coupable de meurtre. Selon la police, le suspect aurait déclaré qu’il avait été membre d’une milice kurde et qu’il avait tiré sur des soldats turcs. Il risque donc la peine de mort en Turquie.*

Le ministre autrichien de l’Intérieur s’est dit consterné par la « brutalité de l’acte ». En particulier, il estime incompréhensible qu’une personne frappée d’une interdiction de séjour en Autriche puisse formuler une demande d’asile. (source)

(…)

Heute.at / KleineZeitung.at

* La Charte des droits fondamentaux, dans son article 2, prohibe la peine de mort ainsi que l’expulsion ou l’extradition d’une personne vers un pays où elle risquerait la peine de mort. (diplomatie.gouv.fr)

Alençon (61) : les bonnes sœurs auraient-elles déménagé à cause d’un environnement islamisé ? (MàJ)

Publié par Guy Jovelin le 12 février 2019

Par  le 12/02/2019

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Pierre Sautarel@FrDesouche

Lu dans "Famille Chrétienne" à propos du déménagement du carmel d'Alençon


C’est une révolution dans la ville où naquit la Petite Thérèse : les carmélites d’Alençon déménagent. Installée derrière les grilles du cloître depuis 1888, la communauté de onze religieuses jette l’éponge : leur environnement urbain est devenu trop bruyant. Une décision regrettée par la ville tout entière. Si le Carmel a pour vocation d’être dans le monde, les temps ont bien changé depuis sainte Thérèse d’Avila et sa constitution : « Le quartier est devenu invivable », déplore la Mère prieure, résignée. Incivilités, bruits incessants, les Sœurs ne dorment plus. Des nuits blanches associées à un rythme de vie soutenu, des religieuses âgées qu’il faut veiller, et voilà que même les plus jeunes flanchent, fourbues de fatigue.

 

Elles s’apprêtent donc à retrousser leurs manches et à plier bagage : pour elles qui n’ont jamais quitté le cloître depuis le jour de leur entrée […]

Famille Chrétienne


[…]
Nulle mention de la mosquée qui jouxte le carmel (mur mitoyen), avec les appels à la prière jour et nuit…

Comme le remarque le lecteur qui fait part de son étonnement au rédacteur en chef de la revue, « Dire que des couvents contemplatifs se retirent de centres villes bruyants, c’est banal, dire qu’ils se retirent à cause de l’expansion de l’islam au cœur de nos petites villes, c’est un fait de société majeur qu’il était indispensable de faire connaître. »

Présent

 

L'ESPAGNE SE RÉVEILLE POUR DÉFENDRE SON UNITÉ

Publié par Guy Jovelin le 12 février 2019

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Plusieurs centaines de milliers d'Espagnols se sont rassemblés ce dimanche après-midi sur la Plaza Colon et dans les avenues du centre de Madrid pour défendre l'unité de l'Espagne et pour s'opposer à la politique du pouvoir socialiste.

Cette impressionnante démonstration des forces patriotiques espagnoles n'est pas sans nous rappeler celles des 20 novembre (anniversaires de la mort du Général Franco en 1975 et de celle de José Antonio Primo de Rivera en 1936) des années 1970 et 1980. Espérons seulement que désormais, après 45 ans de gabegie démocratique, lors des prochaines élections les Espagnols sauront transformer électoralement leur colère.

Notons tout de même une petite tache dans cette manif : l'apparition furtive de Manuel Valls, l'ancien Premier ministre socialiste français de triste mémoire, visiblement peu gêné de se retrouver en pareille compagnie. Curieux personnage...

S.N.

lundi, 11 février 2019

La grand écart de Dupont-Aignan avec Jean-Frédéric Poisson pro-LMPT et Jean-Philippe Tanguy pro-LGBT

Publié par Guy Jovelin le 11 février 2019

En politique, ceux pour qui la cohérence est primordiale pourront difficilement se satisfaire de la liste de Nicolas Dupont-Aignan pour les élections européennes.

Ce samedi matin, Nicolas Dupont-Aignan, Président de Debout La France et député de l’Essonne a tenu une réunion publique à Bourg, dans le Nord Gironde, en vue des européennes de mai 2019.

Il était accompagné de Jean-Frédéric Poisson, président du Parti Chrétien Démocrate, de Bruno North, président du Centre National des Indépendants et Paysans et de Bernard Monot, Député européen de Debout La France (après avoir quitté le Rassemblement National).

Jean-Frédéric Poisson, grand ami de la Manif pour Tous et de la Marche pour la Vie, sera donc l’un des candidats de cette liste.

Au même titre que Jean-Philippe Tanguy, “lieutenant” de Dupont-Aignan et délégué de Debout la France. Jean-Philippe Tanguy qui, lui, marche aussi, mais avec les lobbies LGBT, comme à la “Marche des Fiertés” de Paris, la nouvelle appellation de la gay pride. Il en est tellement fier qu’il l’avait écrit sur Twitter.

Deux candidats aux positions antagonistes sur la Famille et le mariage se présenteront donc sur la même liste.

Il faut se souvenir que le 20 août 2012, le site Debout la France publiait la Position de DLF sur le mariage homosexuel :

(…) A Debout la République nous avons toujours été extrêmement méfiants vis-à-vis de ces thématiques sociétales. Que ce soit le mariage homosexuel ou la légalisation du cannabis, ce sont autant de débats qui servent de contrefeux pour cacher les vrais problèmes (…)

Et le 23 janvier 2013, StreetPress publiait un entretien accordé par Nicolas Dupont-Aignan dont voici quelques extraits :

(…) je suis gay-respecteux. (…) Oui. Respectueux. Je déteste l’homophobie. (…)

Pour être très clair, est-ce qu’un couple ça peut être un homme et un homme ?

Mais bien sûr que ça peut être un homme et un homme ! Et d’ailleurs, ça l’est souvent ! Mais l’amour entre deux êtres adultes ne me gêne pas du tout. Et je comprends très bien qu’humainement il y ait la volonté d’égalité. Mais de là à transformer l’enfant en un objet – j’exagère un peu – qu’on commande, ça me révolte (…). Après, deux homosexuels peuvent l’élever, mais il est la filiation d’un père et d’une mère.

Et vous n’avez pas manifesté le 13 janvier (ndlr : jour d’une Manif pour Tous), peut-être parce que les slogans qui pouvaient être scandés…

Parce que ça me gênait… Oui je ne voulais pas qu’on dérive du refus de la filiation au refus de l’homosexualité ; c’est clair.

Avis aux défenseurs de la Famille, chez Dupont-Aignan, c’est un peu l’auberge espagnole…

 

Source : medias-presse.info

Groupuscules gauchistes

 

En infiltrant chaque semaine un peu plus les manifestations des gilets jaunes et en multipliant les actes de violence, les groupuscules gauchistes détournent, dénaturent et discréditent la légitime colère des Français. Ils agissent en toute impunité car ils servent le pouvoir.