Le député PS Dominique Raimbourg, rapporteur de la loi Taubira, a tenu des propos ignobles lundi lors d’une conférence de presse.
« Il y a des infractions sexuelles qui ne signalent pas un encrage dans une délinquance particulière [comme] un oncle qui, à la fin d’un repas de famille un peu alcoolisé, a un geste déplacé envers sa nièce » a-t-il affirmé, pour justifier, avec Christiane Taubira, la non-incarcération de tels individus. Il a osé ajouter : « des personnes qui agressent sexuellement des femmes la nuit, c’est grave et cela peut justifier l’incarcération » avec deux sous-entendus insupportables : le viol d’un enfant par son oncle serait moins grave que celui d’une femme la nuit, et le viol d’une femme ne justifiait pas nécessairement la prison.
Ces propos extrémistes interviennent alors que les élus de gauche tentaient de justifier l’un de leurs amendements pour permettre à tous les délinquants – y compris dans des affaires de drogues, de viols et, bien entendu de corruption – d’échapper à la prison. Tard hier soir, les députés ont validé l’élargissement du champ de la « contrainte pénale ».
Les délinquants biens vus des juges d’extrême gauche pourront échapper aux peines de prison et bénéficier de mesures laxistes. Plus que jamais, la loi de l’Africaine Taubira apparaît pour ce qu’elle est : un nouvel instrument de lutte contre les Français, les honnêtes gens, au profit des pires criminels et de la destruction de notre société.





Imprimer

Revenons-en à Joffrin, Mouchard de son vrai et si joli nom. Nom de son père, gestionnaire de la cagnotte du Front national. Joffrin qui, déjà tout petit, sautait sur les genoux du grand Jean-Marie. Remarquez, les histoires de famille, c’est comme la religion : on y croit dans le meilleur des cas ou, au pire, ça force le respect.
Le fantôme du Non du peuple français au référendum de 2005 sur le projet de Constitution européenne vient de sortir de sa boîte. En mai 2005, 54,7% des Français refusaient la ratification d’une Constitution européenne et pourtant cette Constitution transformée pour l’occasion en Traité européen de Lisbonne se trouvait validée par le Parlement réuni en Congrès. Près de dix ans plus tard, la politique du mépris des peuples menée par la caste de Bruxelles et par les partis euro-fédéralistes vient d’être lourdement sanctionnée lors du scrutin européen d’hier.