Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 28 juillet 2018

Nîmes, 4 héros ordinaires sauvent une femme et ses deux enfants

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2018 

Quatre Français ordinaire qui ont fait leur devoir. Quatre hommes ne se connaissaient pas et s’étaient jetés dans l’eau glacée pour sauver d’une mort certaine une maman et ses enfants.

Le 23 février, sur le pont enjambant la Vistre à hauteur de la commune de Vauvert, la voiture de Géraldine est percutée par un autre véhicule et tombe dans la rivière. Quatre hommes, Kevin Mennesson, Nicolas Mysiorska, Florian Rocha et Brice Uriol, qui ne se connaissaient pas, s’étaient jetés à l’eau pour sauver la jeune femme et ses deux enfants. « On pensait que les occupants étaient décédés, et puis on a vu une petite main bouger sur la vitre. Je me souviendrai toute ma vie de cette petite main contre la vitre », explique Florian Rocha. « Non on n’est pas des héros », sourient-ils et clament d’une même voix Kevin Mennesson et Brice Uriot. « Les héros, ils sont au cinéma. On n’est pas Captain America ou les autres. Nous sommes des citoyens normaux ». La jeune maman s’est vu mourir, ainsi que ses deux enfants. « J’étais presque sous les eaux », se souvient Géraldine. « Et puis la portière de ma fille s’est ouverte, ça a été un tel soulagement. Je pensais que c’était la fin… Et puis la porte qui s’ouvre. Un visage, deux visages, trois visages… Merci. Merci les gars ».

Les quatre héros, qui se considèrent comme « des citoyens ordinaires », reçurent la médaille de bronze pour acte de courage et de dévouement par le Préfet du Gard. Pas de lui-même mais à la demande de la maman, ainsi que les médailles de la ville du Cailar et du département. Pas de Légion d’Honneur, ils n’ont pas tapé dans une baballe… Pas d’invitation à l’Elysée non plus, ce n’étaient que des indigènes sauvant une femme et des enfants indigènes.

Géraldine avait demandé que le courage de ses sauveteurs soit récompensé. « Parce que des badauds qui sont passés devant nous, il y en a eu beaucoup. Mais des gens qui se sont arrêtés pour nous sauver, il n’y en a eu que quatre ». Une plainte pour mise en danger de la vie d’autrui et vitesse excessive a été déposée contre le conducteur de la voiture qui a percuté celle conduite par Géraldine. Le 7 mai, une autre famille n’a pas eu la chance d’avoir des anges gardiens. Une petite fille de dix ans est morte après la chute d’une voiture dans cette même rivière. L’accident s’est produit un peu plus loin, sur la commune du Cailar. La maman a été grièvement blessée.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

Invasion migratoire : des centaines d’Africains prennent d’assaut la frontière espagnole avec des bâtons et de la chaux vive

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2018

Auteur : Pierrot
contre-info

ceuta,espagne,invasion migratoire

Des centaines de migrants, plus de 700, armés de bâtons et de sprays faisant office de lance-flammes artisanaux, ont pris d’assaut le 26 juillet la barrière à la frontière entre le Maroc et Ceuta, territoire espagnol en Afrique. D’après la Garde civile espagnole, plus d’une centaine de migrants et une quinzaine de garde-frontières ont été blessés durant les affrontements.

Et la maréchaussée espagnole de préciser : «Afin d’empêcher la Garde civile espagnole d’intervenir dans la zone où les tentatives d’intrusion avaient lieu, les immigrants ont utilisé des équipements défensifs comme des boucliers […] lançant aux agents des récipients plastiques remplis d’excréments et de chaux vive».

Des cocktails molotov ainsi que des sacs de haschich ont également été retrouvés dans le sillage des migrants.

Ce franchissement de la frontière de Ceuta, hérissée de barbelés, est le plus important depuis février 2017, plus de 850 migrants étaient alors parvenus à pénétrer dans la ville du nord du Maroc placée sous administration espagnole.

Ceuta est avec Mellila l’un des deux confettis territoriaux administrés par Madrid et situés dans le nord du Maroc. Ils constituent les seules frontières terrestres entre l’Afrique et l’Europe.

Source :RT France 

vendredi, 27 juillet 2018

Le burkini permis en Belgique

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2018 

On savait la Belgique toujours plus soumise au communautarisme musulman et aux communautarismes en tout ‘genre’ d’ailleurs. Une nouvelle preuve en est donnée par la sentence rendue par la tribunal de Gand au sujet du port du burkini islamique dans les piscines. Les juges ont bloqué l’initiative de deux piscines qui interdisaient ce maillot de bain dit par euphémisme ‘intégral’.

Les magistrats de l’antique ville flamande ont établi que les femmes musulmanes qui ont fait un recours auprès du tribunal contre cette interdiction non seulement pouvaient endosser leur maillot de bain communautaire mais avaient droit aussi à une compensation pour les dommages moraux subis. Les associations musulmanes ont applaudi cette sentence qui leur est indubitablement favorable.

Le gouvernement fédéral a de son côté contesté ce jugement par le biais de son Secrétaire d’État à l’égalité des chances, l’avocat d’origine kurde Zuhal Demir, qui a déclaré que le burkini est un signe d’oppression et non de civilisation.

Cette décision témoigne en tout cas de tout le paradoxe de cette Belgique sans plus aucun repère identitaire, spirituel et moral. Il y a quelques jours MPI signalait que le musée de la photographie d’Anvers réservait certains jours de visite aux… nudistes. Pour sûr, ce ne sont pas ces spécimens de l’humanité nus comme des vers qui porteront le burkini. Ni les femmes musulmanes qui s’exhiberont intégralement ! Mais dans l’un et l’autre cas ce ne sont que des excès : burkini islamique et nudisme exhibitionniste, deux faces d’une même médaille, celle du communautarisme violent qui phagocyte nos sociétés européennes hédonistes, matérialistes, nihilistes et athées.

A quand un retour de nos pays européens à une juste morale vestimentaire, celle catholique ? Seul moyen de rester équilibré et civilisé…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Brigitte Macron, ses 6 bureaux, 2 véhicules et son personnel, combien ça coûte aux Français ?

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2018

Ecrit parLéo Kersauzie

brigitte macron,cours des comptes,services

Le rapport annuel sur l’Elysée délivré par les magistrats de la Cour des comptes révèle ne pas pouvoir chiffrer le coût total de Brigitte Macron pour les finances publiques.

La Cour des Comptes avertit : si la charte de transparence mise en place par Emmanuel Macron prévoit que la Cour puisse suivre les dépenses de son épouse, “cette forme de comptabilité reste à ce jour insuffisamment développée pour réaliser complètement cet exercice”.

La Cour des Comptes est donc réduite à rappeller que Brigitte Macron dispose

. d’un directeur de cabinet

. d’un chef de cabinet

. de deux secrétaires, dont l’une est également affectée au secrétariat du conseiller porte-parole

. de six bureaux dans “l’aile “Madame” de l’Hôtel d’Evreux

. de deux véhicules de la flotte présidentielle

. de la protection de plusieurs membres du GSPR (Groupe de sécurité de la présidence de la République)

La Cour des Comptes précise encore que « pour ses activités publiques et officielles, madame Brigitte Macron bénéficie des services de la coiffeuse-maquilleuse de la Présidence, mais il ne lui est attribué aucun budget de représentation.»

Le rapport de la Cour des Comptes note également que sur les 71 ETP (équivalent temps plein) du département de la correspondance présidentielle, “six à sept agents” sont chargés des lettres adressées à Brigitte Macron.

 

Source : medias-presse.info

Comment la Macronie tente de sauver sa peau

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2018

Rédigé par notre équipe le 26 juillet 2018.

Entre le 18 et le 24 juillet, la Macronie est restée sans voix face à la découverte partielle de ses sombres desseins. Hébétés, les zélés serviteurs du président n’ont pu que faire des déclarations précipitées qui se sont montrées fatales pour la crédibilité d’Emmanuel Macron et de son administration. Les positions incohérentes et les déclarations contradictoires se sont multipliées effritant un édifice fait de faux et de poudre de perlimpinpin. Mais depuis mardi soir, le pouvoir tente une défense concertée qui vise à saper toutes les initiatives démocratiques du pays.

Jupiter a parlé et les Français n’ont plus le droit de « s’exciter sur cette affaire ». Cette affaire, c’est celle connue sous le nom de Benalla-Macron. Une affaire d’Etat au parfum de scandale qui n’aurait jamais éclaté sans la diffusion d’images hallucinantes. Un proche de Macron qui fracasse des manifestants ! Le pouvoir l’a clairement protégé, mais face à la pression il a été lâché par le président. Un chef de l’Etat KO debout qui n’a repris la parole que dans la soirée du 24 juillet. Depuis, il se sent pousser des ailes et multiplie les déclarations. Des propos qui évitent soigneusement le fond du problème et qui participent à un vaste plan pour faire croire à l’opinion publique qu’il s’agit d’ « une tempête dans un verre d’eau ».

Tout pour noyer le scandale

La réponse du pouvoir se fait donc dans trois directions différentes. La première vient du président lui-même qui a parlé trois fois en 48 heures sans jamais avoir le moindre contradicteur face à lui. Il prétend qu’il n’y a pas d’affaire Benalla-Macron et se moque du monde en lançant des phrases comme « Je suis fier d’avoir embauché Alexandre Benalla à l’Elysée ». Pourquoi ne pas aller même jusqu’à le réintégrer ? Tout le monde a le droit à une seconde chance ! Le président n’accable pas cet individu et la raison doit être encore bien inavouable.

Benalla entre lui aussi en piste avec une interview dans Le Monde. Pas rancunier, il partage sa peine avec le journal qui a démoli sa triste carrière. Que penser des paroles d’un individu aussi peu fréquentable qui se démêle avec la justice et qui ne doit pas se faire mal voir d’un pouvoir qui peut l’écraser facilement ? Le crédit à apporter ne vaut pas le prix d’une minute d’électricité. Le seul point à évoquer est peut-être le fait que Gérard Collomb est accusé de mensonge (et est donc parjure), mais ça, les Français avaient déjà leur idée sur la question.

Autre moyen de s’extirper de la nasse, le pouvoir compte sur ses troupes à l’Assemblée nationale pour saboter la Commission d’enquête. Sa présidente LREM refuse en bloc toutes les nouvelles demandes d’audition de personnes qui ont pourtant à voir avec ce scandale. Les premières auditions ont été catastrophiques pour le pouvoir alors il faut fermer le banc et donner l’impression que l’opposition entre dans une lutte politicienne et stérile. Avec tous les leviers du pouvoir le plan peut fonctionner, mais il faut aussi s’assurer de remporter la bataille de l’opinion publique.

Alors, comme par enchantement, on voit fleurir sur tous les sites et articles qui traitent de ce scandale un nombre démesuré de commentaires qui font mine de s’agacer de la médiatisation de Benalla et de son ami trahi : Emmanuel Macron. Des commentaires qui sentent le fake quand bien même le pouvoir fait croire qu’il est parti en croisade contre ce genre de manipulations. Macron veut un pourrissement de la situation et croit pouvoir entraîner vers le fond tout un pays. La résistance doit se faire à tous les niveaux pour que Macron reste dans l’impasse de ses mensonges.

 

Source : 24heuresactu