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vendredi, 27 juillet 2018

Calais (62) : des migrants attaquent les habitants dans leurs propres maisons ainsi que dans leurs véhicules, deux femmes blessées

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2018

Par  le 26/07/2018

 

Des échauffourées ont éclaté mercredi soir à Calais, avenue Guynemer dans le quartier du Beau-Marais. Les forces de l’ordre et les pompiers sont intervenus.

Une vingtaine de réfugiés très fortement alcoolisés ont proféré des insultes, tapé aux portes et jeté des projectiles sur des habitations de l’avenue Guyemer, dans le quartier du Beau-Marais. Des riverains sont intervenus pour les calmer. Intervention également des forces de l’ordre et des pompiers pour les disperser. Les migrants ont brisé les vitres de véhicules dont certains étaient en circulation. Deux migrants ont été interpellés. Deux femmes, blessées légèrement, suite aux éclats de verre ont été prises en charge et transportées à l’hôpital. Un migrant de nationalité érythréenne a également été transporté.

Radio6.fr via fdesouche.

Le retour des cités forteresses

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2018

 De Joël Hautebert dans L'Homme Nouveau à propos des frontières et des murs :

Unknown-18"[...] Les autorités qui ordonnèrent l’édification de ces murs poursuivaient un objectif similaire : assurer ainsi la paix à l’intérieur de la cité en la protégeant contre de potentiels envahisseurs. On peut le dire sans honte, les murs sont effectivement un symbole, celui de la volonté de poursuivre l’Histoire commune de la cité et d’assurer sa prospérité. Ces murs démontrent un grand réalisme politique de la part des gouvernants. Les murs extérieurs rendaient inutiles les murs intérieurs. Si l’analogie entre le biologique et le politique a ses limites, elle n’est pas nécessairement dénuée de fondement. Existe-t-il un corps sain sans moyen immunitaire de défense ? Une cité peut-elle durer sans la protection de solides défenses naturelles ou bâties par l’homme, soutenues par des troupes aguerries ? Dans une société ordonnée, on jette des ponts sur les cours d’eau quand la solidité des frontières le permet. Quand l’ennemi franchit ces dernières, les autorités civiles et militaires font sauter les ponts pour limiter la progression de l’envahisseur. Pas de murs, pas de ponts. [...]

Mais est-il exact que l’on ne construit pas de murs en France aujourd’hui ? Rien n’est moins sûr. Ou plutôt, tout indique le contraire. Ainsi, un mur de verre vient d’être mis en place autour de la Tour Eiffel pour limiter les risques d’attentat. De même, plan vigipirate oblige, les services de sécurité recommandent l’érection d’enceintes fermées autour de certains bâtiments. Par exemple, les directeurs d’école doivent veiller à clôturer totalement leurs établissements, à augmenter la hauteur des murs, à poser des barrières et à doter les bâtiments de fenêtres plus solides. À quand des fenêtres blindées dans les écoles ? Il y a aussi les gros blocs de bétons, autant de petits murs, mis en place devant les lieux publics les plus fréquentés, à l’entrée des rues piétonnes, des quartiers commerciaux, tous les lieux de prédilection de l’homo festivuset du touriste occidental, sans oublier les grands axes de circulation sur lesquels il faut veiller. Peut-être qu’un jour il conviendra de mettre de tels murs devant les ponts, à défaut de recréer des ponts-levis. Quoi qu’en dise le discours officiel, aujourd’hui nous construisons des murs, plein de murs, et partout.

Unknown-17Comme nous n’avons plus le souci de protéger la cité, parce que nous avons perdu le sens du commun, l’obligation qui pèse sur l’État d’assurer la conservation des citoyens consommateurs bardés de droits rend inéluctable la multiplication des murs dans nos villes. À force de ne plus reconnaître d’ennemis et d’ouvrir nos portes à tout le monde, la communauté progressivement dissoute subit les feux de plus en plus réguliers d’une guerre civile en devenir. Les attentats islamiques se multiplient en Europe et ne font plus la une des journaux.

À force de prétendre jeter des ponts vers les plus lointains, nous voici obliger de supporter l’édification de murs au plus près des citoyens. Tout un symbole de l’échec cuisant d’une politique menée depuis cinquante ans. Il est encore temps de dresser des murs solides à l’extérieur et de jeter des ponts à l’intérieur pour restaurer ce qui unit au sein de la cité. Sans quoi, il faudra peut-être revenir au temps des châteaux forts."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

jeudi, 26 juillet 2018

Campagne d’éducation sexuelle métissée à destination des immigrés

Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Suède – Le gouvernement a présenté sa nouvelle campagne d’information sexuelle à destination des « migrants » de 13 à 20 ans. Un budget de 5 millions de couronnes suédoises (environ un demi-million d’euros) est prévu pour cette éducation sexuelle des immigrés extra-européenns. Cela passe notamment par le site Web Youmo, disponible en plusieurs langues, dont l’arabe, somalien et dari.

youmo-langues.jpg

Le but officiel du site Youmo est d’enseigner aux immigrés “la santé, la sexualité et l’égalité des sexes”. Les informations sur le sexe sont illustrée, entre autres, par des dessins d’hommes étrangers arabes ou noirs avec des femmes suédoises blondes.

suede-metissage-blondes-immigres.jpg

Sous l’onglet “Etre amoureux”, illustré par la photo d’une jeune blonde embrassant un homme à la peau foncée, on peut lire qu’“Être amoureux est généralement un sentiment agréable. Certaines personnes ont été amoureuses de nombreuses fois, d’autres n’ont jamais été amoureuses.”

Le ministère de la Jeunesse et des Affaires civiles (MUCF) est chargé de poursuivre ces efforts d’éducation en collaboration avec le réseau en ligne d’accueil des jeunes UMO.

“La mission comprend l’expansion de l’information sur Youmo, l’expansion des efforts d’amélioration des compétences pour les professionnels qui rencontrent de jeunes nouveaux arrivants, ainsi que la formation professionnelle sur le long terme pour les professionnels par le développement de l’éducation sur le Web”, déclare le communiqué gouvernemental.

youmo-2.png

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 25 juillet 2018

Affaire Benalla : deux heures moins le quart avant la fin d’Emmanuel Macron ?

Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2018

« L’affaire Benalla » va-t-elle provoquer la chute d’Emmanuel Macron ? À en juger par les réseaux à l’œuvre dans cette cabale fulgurante, il semblerait que précipiter la chute du président de la République soit une option tout à fait envisageable pour certaines « élites ».

Visionner ici l’illustration la plus parfaite de la situation actuelle :

 

 

N’en déplaise aux Insoumis, la curée officielle a été lancée par Le Monde via Ariane Chemin. Véritable chef de meute médiatique, la protégée de Louis Dreyfus a donné le mot d’ordre et la marche à suivre : l’affaire Benalla est un scandale d’État qui peut (et doit ?) déstabiliser le président Macron et le pouvoir exécutif.

Dans la foulée, c’est toute une caste qui monte au créneau principalement par le biais des réseaux Drahi (BFMTV et L’’Express). Les premiers « Gérard Collomb démission ! » résonnent ; Édouard Philippe et Emmanuel Macron commencent à prendre la mesure de ce qui se joue...

Le Président du groupe LR à l’Assemblée, Christian Jacob, prend la parole dans l’Hémicycle :

« C’est une situation d’une gravité exceptionnelle... Le Président de la République s’entoure d’une équipe de barbouzes... Le Premier ministre doit venir s’expliquer devant la représentation nationale, jamais on ne reprendra les travaux dans ces conditions. »

Tous les privilégiés de la coterie politico-médiatique semblent s’être passé le mot et feignent l’indignation devant cette lapalissade de la vie politique : oui, le président a un homme de l’ombre chargé des basses œuvres. Le général De Gaulle avait Charles Pasqua pour le défendre dans les meetings face aux militants communistes trop zélés ; Macron a Benalla, un Franco-Marocain de banlieue, pour tabasser devant les caméras des smartphones les gauchistes mélenchoniens trop revendicatifs...

Passé notamment par Aubry et Montebourg avant d’être recruté par En Marche !, le « violent » Alexandre Benalla devient un symbole malgré lui : derrière sa procédure de licenciement, c’est tout un réseau qui s’effrite. La branche macronienne de l’euromondialisme est clairement sur la sellette. Et le fait que l’offensive soit portée sur ce volet du macronisme (PS-banlieue-Maroc) alors que d’autres dossiers pourraient très bien convenir à cet effet (affaire Kohler, comptes de campagne, Brigitte Trogneux-Auzière-Macron...) nous donne quelques indications de plus sur les commanditaires et les objectifs de cette opération.

Il y a quelques semaines, le milliardaire François Pinault avait pourtant prévenu : « Macron ne comprend pas les petites gens ». Un avertissement codé de la part de ce proche de BHL à l’attention d’un président de plus en plus isolé. Ses « soutiens » étaient déjà suspicieux à son égard, les défaites oligarchiques accumulées ces dernières temps ne font que réduire sa marge de manœuvre.

Il faut dire que la conjoncture internationale n’est pas favorable au président-banquier-LGBT. Engagé pour sauver les ambitions transatlantiques et financiaristes de l’Union européenne, le joujou d’Attali se retrouve pris en tenaille entre la montée en puissance des nationalistes partisans du capitalisme productiviste industriel (l’alliance Trump-Salvini-Poutine annonce le démantèlement prochain de l’UE) et la pression belliciste et nerveuse du réseau atlanto-sioniste international en panique dont nous rappelons le pouvoir démesuré en France.

Emmanuel Macron n’a-t-il pas entendu les dernières consignes de son maître ? Il faut s’adapter au nouveau rapport de force pour contrer l’émergence des populismes sociaux ! Mais le Président n’entend plus, ivre de football et de célébrations sociétales (Gay-Pride, Fête de la musique), le quarantenaire a même paru fasciné par ses récentes rencontres avec les présidents américain et russe...

Sur le plan intérieur, la colère gronde du côté des vieilles « élites » en place : la « Réforme constitutionnelle » voulue par le clan LREM a engendré une véritable contestation de la part de l’establishment français (comprendre la franc-maçonnerie) car elle constituerait selon le président du Sénat Gérard Larcher « un abaissement des pouvoirs du Parlement » (comprendre la perte de nombreux privilèges « républicains »). Si l’on ajoute à cela la volonté présidentielle de diviser par deux le nombre de membres du Conseil économique, social et environnemental (CESE) (autre fromage « républicain »), on comprend qu’une guerre fratricide latente est en train d’éclater au grand jour.

Conclusion

Incapable de gérer la démonétisation de l’euromondialisme, en conflit générationnel avec les tenants de l’ordre établi, sous la pression constante du réseau sioniste, une véritable course contre la montre s’est engagée pour Emmanuel Macron. Le président progressiste « ni droite ni gauche » est en train de vivre à vitesse grand V ce qu’a vécu François Fillon durant la campagne de 2017. Une tourmente qui vire à la crise dont il se murmure que le jouet cassé de l’oligarchie ne se relèvera pas... [1] Pour éviter que la France ne bascule dans la réconciliation nationale populiste, certains sont décidément prêts à tout.

 

Source : egaliteetreconciliation

Italie, le crucifix dans les ports où débarquent les « migrants »

Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2018 

La dernière annonce de Matteo Salvini met en rage la gauche et la bien-pensance.

Le ministre de l’Intérieur et chef de la Ligue propose d’obliger tous les lieux publics s à remettre le crucifix.

Depuis des années, la ligue du Nord demandait le retour de l’image du crucifix dans les lieux publics dans le respect des décrets royaux des années 20 qui ne furent jamais abrogés. La proposition de loi présentée par des députés de La Ligue le 26 mars dernier prévoit simplement une extension des lieux d’exposition du crucifix :

« il est obligatoire d’exposer dans un lieu élevé et bien visible l’image du crucifix… dans les salles de classes des écoles de tout niveau, dans les salles des universités et des académies du système public d’éducation, dans les bureaux des administrations publiques… dans les bureaux des organismes territoriaux locaux, dans les salles des conseils régionaux, provinciaux, municipaux, et autres, dans les sièges électoraux, dans les prisons, dans les bureaux judiciaires et les tribunaux, dans les agences sanitaires et les hôpitaux, dans les gares, dans les ports et les aéroports, dans les bureaux des services diplomatiques et consulats italiens et dans les bureaux publics italiens à l’étranger. »

Le projet de loi prévoit en outre une amende de 500€ pour qui « enlève avec haine » l’image du Christ crucifié, ou si un fonctionnaire ou un agent public refuse de l’exposer.

Mais ce qui fait enrager le plus la gauche radicale-chic est la présence du Crucifix dans les ports où arrivent les « migrants » qui sont d’autres confessions religieuses… Les partisans du projet de loi ont répliqué à cette objection que le crucifix est « le symbole de la civilisation et de la culture chrétienne, dans sa racine historique, comme valeur universelle, indépendamment d’une confession religieuse spécifique ».

Mais ces gentils bien-pensants préféreraient peut-être vivre sous le symbole du croissant…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info