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dimanche, 29 juillet 2018

La nationalité musulmane est une supranationalité, elle est au-dessus de toutes les nationalités

Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2018

 

Dreuz info:  Salem Ben Ammar

Un Tunisien n’est pas tunisien, il est musulman. Un Algérien n’est pas algérien, il est musulman. Un Marocain n’est pas marocain, il est musulman. Un Egyptien n’est pas égyptien, il est musulman.

Tous les ressortissants des pays musulmans sont d’abord, ensuite et enfin musulmans.

C’est le substrat religieux qui prime sur leur appartenance nationale et ethnique.

L’islam est leur matrice mère, leur liquide amniotique, leur sève nourricière, la source impropre à la consommation humaine à laquelle ils s’abreuvent.

Ou, selon le représentant officiel de la propagande musulmane en France Dalil Boubakeur, « La nationalité musulmane est une supranationalité, essentiellement morale et indivisible, fondée sur l’accord des âmes et des cœurs. Elle est au-dessus de toutes les nationalités fondées sur la race, la langue, la politique, l’intérêt, les données de l’histoire ou de la géographie. La foi exige du croyant le devoir de s’y comporter, non comme un individu égoïste ou isolé, mais en membre d’une communauté dont il partage les joies et les amertumes, une communauté de juste milieu« .

Elle a tout autant le sens de la mesure que pouvaient avoir les envahisseurs arabes en Afrique du Nord et le Coran dans ses rapports à l’altérité. Cette figure controversée et ambiguë de l’islam en France, un Tarek Ramadan du 4ème âge, semble ou feint d’oublier que les musulmans sont la communauté la plus divisée qui soit au monde, en conflits permanents les uns avec les autres à l’exemple de son propre pays l’Algérie qui guerroie avec le Maroc depuis des décennies. A moins que le schisme ensanglanté non-stop depuis 1439 ans entre les Sunnites et Chiites ne soit une péripétie de l’histoire.

Mais en tant que bon musulman qu’il est, il prend ses désirs pour la réalité, et de ses illusions il en fait une certitude.

Les musulmans mettent un bémol à leurs antagonismes et leur haine mutuelle le temps d’une prière et encore il leur arrive de plus en plus d’entrer vivants dans les mosquées et d’en sortir les jambes devant.

Conditionnés mentalement et psychologiquement, endoctrinés du berceau jusqu’à la mort, ils ne peuvent imaginer, penser et concevoir la vie et le monde en dehors de l’islam et la peur de l’enfer.

N’ayant d’idéal de vie que le rêve de l’Oumma qui nourrit leur imaginaire appauvri par 14 siècles d’abêtisation et de crétinisation intensive et quotidienne. Pour l’historien Georges Corm, « cet attachement viscéral à la notion très imaginaire de Oumma et de civilisation ou de valeurs musulmanes ou arabo-musulmanes ne fait que traduire une réaction psychologique de compensation à l’état de déchéance dans lequel sont plusieurs sociétés qui ont pour religion principale l’Islam. » Georges Corm :« C’est une erreur grave de continuer de considérer qu’il existe encore une civilisation musulmane » [archive] , entretien, oumma.com, 12 novembre 2007 cité in https://fr.wikipedia.org/wiki/Oumma

Ils courent éperdument derrière un mirage sans être conscients que jamais il ne prendra forme. Ils sont incapables déjà de dépasser leurs rivalités exacerbées claniques, tribales, régionales et claniques, voire liturgiques et intraconfessionnelles. Leur utopie de l’Oumma rassemblant tous les musulmans comme une mère avec sa progéniture est pourtant balayée par le hadith de Mahomet :

« les Gens du Livre (les Chrétiens et les Juifs) se sont divisés en soixante-douze groupes, et ma communauté se divisera en 73 groupes, tous sont au Feu, sauf une, qui est la Jamâ’ah (Le Groupe) »

Leur supra nation au dessus de toutes les nations, une communauté où prendront la place les seuls musulmans, hiérarchisée, discriminatoire, ultra-sexiste, pédophile, excluant les incroyants et les minorités sexuelles, où les apostats, les athées et les polythéistes auront le choix entre l’islam ou la mort, gouvernée au nom d’Allah et régie par la charia.

Tous les musulmans y aspirent car ses normes correspondent à leur nature grégaire et leur culture archaïque, masochiste et primate.

Elle est le reflet de ce qu’ils sont. Ils s’y reconnaissent et s’y identifient. C’est leur miroir. L’Oumma est leur carburant idéologique. Elle n’est pas plus réaliste que le voyage nocturne de Mahomet, mais le réalisme est un sacrilège dans l’islam.

Ils ne s’identifient pas à des nations, ils sont nationaux d’un Etat irréel et inexistant, ils ont le sentiment d’y appartenir. Ils ne sont membres d’une communauté nationale, ils sont les heureux élus d’une communauté fantasmagorique.

 

Naïfs sont les Etats occidentaux qui croient que l’islam est compatible avec la citoyenneté.

Il suffit de leur poser la question si un jour leur pays d’adoption est en guerre contre l’islam quel camp défendront-ils ou s’ils se sentent plus français que musulmans par exemple ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

Au revoir Benalla – Bonjour chômage

Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2018

Rédigé par notre équipe le 27 juillet 2018

Soucieuse de respecter les ordres du pouvoir, la rédaction de 24 heures actu ne consacrera pas sa Une du jour à l’affaire Benalla-Macron. Le gouvernement se dit au travail et ses fruits vont être bientôt récoltés par des Français toujours aussi confiants en leur exécutif. Aïe ! C’était sans compter sur les derniers chiffres du chômage et de la croissance que le Gouvernement va s’empresser de ne pas commenter. Macron devait apporter la prospérité, il ne fait qu’entretenir le règne de la pauvreté.

Les mois se suivent et se ressemblent tristement pour l’économie française. Malgré les incantations et toutes les bêtises écrites et récitées dans les médias, la fusée économique Macron a déjà explosé en vol. A peine sortie de la zone de décollage, tous les boulons se sont desserrés pour un décrochage aussi spectaculaire que prévisible. Le deuxième trimestre 2018 se conclut sur une hausse officielle de 0,2 % pour les chômeurs de catégorie A. Une hausse bien éloignée de la légende forgée à coup de plans com’ martelés par les équipes présidentielles.

Croissance en berne et chômage en hausse

Malgré l’alignement des planètes dont ont bénéficié Hollande et son poulain Macron, l’économie française souffre encore et toujours. La simple présence de Macron à l’Elysée (en qualité de président cette fois) devait ramener la croissance française dans le sillage de celle de la Chine. Et qui dit croissance dit emploi ! Ô surprise, ni l’un ni l’autre ne sont au rendez-vous. La presse rend compte timidement de ces résultats peu flatteurs et insiste avec docilité sur le fait que le chômage a un tout petit peu baissé depuis la prise de fonction de Macron.

La baisse officielle de 1,1 % de chômeurs sur un an signe un échec cuisant d’un pouvoir qui se proclamait expert ès emploi ! Malgré les radiations des lites de Pôle-Emploi à la chaîne, le nouveau Gouvernement fait guère à peine mieux que l’ancien. Et à force de jouir du pouvoir mois après mois, le nouveau Gouvernement devient un Gouvernement usé. L’usure d’un pouvoir absolu qui n’apporte aucune réponse concrète à des Français qui s’échappent peu à peu de l’illusion perlimpinpin.

Et le chômage va continuer à jouer aux épouvantails, car la croissance ne suit pas. Le Gouvernement avait fait mine de jouer au super gestionnaire en ne tablant pas sur une croissance extraordinaire pour formuler son budget, mais pas de chance ou plutôt incompétence, la croissance ne sera même pas aussi forte qu’escomptée. Elle sera au mieux à 1,8 % pour 2018 soit plus d’un point derrière le minimum pour entamer une inversion de tendance du chômage.

La faute à qui ? Car il va bien falloir trouver des coupables pour expliquer ces chiffres piteux ! Le Gouvernement a beau ne rien commenter, au bout d’un moment, il faudra bien donner des explications. Espérons pour l’exécutif qu’elles ne soient pas aussi emberlificotées que dans l’affaire Benalla-Macron. Peut-être même que cette affaire sera utilisée comme bouclier. Benalla aurait bien été responsable de privatisation de l’équipe de France au seul profit de Macron. Ainsi Benalla pourrait aussi être la cause des mauvais chiffres économiques de tout un pays ! La Macronie ose tout, alors attendons un peu !

 

Source : 24heuresactu

Tour de France de la farce

Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2018

Rédigé par notre équipe le 28 juillet 2018

Le Tour de France se termine ce dimanche et il était grand temps que cette 105e édition s’achève tant le spectacle fut grotesque. Les trois semaines qu’a duré l’épreuve sont passées trop lentement malgré les efforts surhumains des coureurs de la Sky pour rallier les arrivées dans des temps records. Le grand favori (et on sait pourquoi), Christopher Froome, ne termine que troisième, mais son équipe – la Sky – se console avec la première place décrochée par un autre OVNI du cyclisme britannique Geraint Thomas…

Encore un Tour de France qui ne sera pas regretté par les vrais amoureux du vélo ! Cette édition soporifique se conclut toutefois sur une grande surprise. Le quadruple vainqueur et tenant du titre – Christopher Froome – a été battu par deux coureurs au terme de plus de 3 000 kilomètres de course. Malheureusement, cette bonne nouvelle n’en est pas une puisque c’est son co-équipier Geraint Thomas qui s’adjuge la victoire finale. L’équipe Sky n’a jamais tremblé et les téléspectateurs ont renouvelé avec la joie des longues siestes devant un écran bien terne.

Les amateurs de cyclisme pris pour des jambons

Pour être tout à fait honnête, le spectacle a été agréable à regarder dès lors que les hélicoptères rapportaient des images d’une France qu’on ne voit pas assez. Une France belle où les paysages grandioses et variés sont interrompus par des villes et villages au charme unique. La France est magnifique et ne se découvre que l’espace de trois semaines par an pour ce qui est devenu un grand cirque où les clowns ont troqué leur nez rouge pour des vélos hors de prix.

Et comme dans tous les domaines, il y a des bons et des moins bons. Parmi l’élite des clowns à pédales, la Sky est une usine à champions. Créée en 2010 sous l’impulsion du pouvoir britannique (il ne faut pas trop le dire), l’équipe a remporté les Tours 2012, 2013, 2015, 2016, 2017 et maintenant 2018. Trois coureurs britanniques sacrés alors qu’aucun n’avait remporté le moindre Tour de France en un siècle d’existence. La Sky fait des miracles même si certaines potions restent bien curieuses.

Face à une telle puissance, les coureurs des autres équipes prient pour que les hostilités soient déclenchées le plus près possible de l’arrivée. Les leaders des autres équipes sont au niveau des équipiers de la Sky et l’équipier numéro un de Froome lui a même ravi son trône. Le tout est grotesque et si les commentateurs font parfois des observations qui en disent long sur ce qu’ils pensent vraiment, l’omerta prédomine encore et toujours. La Sky possède des soutiens de poids dans le cyclisme et bien au-delà, alors il faut se contenter de jouer les 3e rôles (les premiers et seconds sont déjà pris par la Sky).

Le public comprend que l’eau plate n’est pas au menu de tous les coureurs et exprime légitimement son mécontentement en sifflant. D’autres espèrent la chute qui mettra fin à un carnaval grotesque appelé à continuer ad vitam aeternam tant les anciennes générations gâtent les nouvelles avec leurs méthodes impossibles à décrire sur papier glacé. Le Tour de France est devenu un long ennui, une farce écrite à l’avance où la seule magie vient des compléments alimentaires. Comme quoi le cyclisme et la politique ont des points communs évidents. Les plus fourbes finissent toujours par gagner et c’est le peuple qui reste au bord de la route dégoûté de voir que le changement tant promis n’est qu’un mensonge de plus.

 

Source : 24heuresactu

samedi, 28 juillet 2018

Italie : le gouvernement nomme un « populiste » proche de Salvini à la tête de la télévision publique, « c’est une révolution culturelle » déclare le ministre Di Maio

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2018

Par  le 28/07/2018

 

Le nouveau président de la Rai (télévision publique italienne) a des liens avec Matteo Salvini. « Je veux promouvoir la méritocratie » au sein de l’audiovisuel public, annonce Marcello Foa.

Le gouvernement italien a nommé Marcello Foa en tant que nouveau président de la Rai. Selon l’hebdomadaire L’Espresso, le lancement du dernier livre de Foa était accompagné d’un message vidéo de Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur et leader de la Ligue, et Foa a participé à une réunion avec Salvini et Steve Bannon, ancien conseiller de Donald Trump.

Foa est également un commentateur fréquent sur la chaîne Russia Today où il a approuvé le rapprochement avec Moscou que le nouveau gouvernement italien voudrait initier. Dans des articles de blog pour Il Giornale, Foa a salué la position ferme du gouvernement sur l’immigration.

« C’est le début d’une révolution culturelle pour la Rai », a déclaré le vice-Premier ministre Luigi Di Maio, ajoutant que la nouvelle équipe dirigeante « libérerait la télévision publique des parasites ».

Les administrateurs de la Rai sont choisis par le gouvernement et leurs nominations nécessitent l’approbation de la majorité au parlement.

Foa sera rejoint par Fabrizio Salini en tant que PDG. Salini a travaillé pour Sky, Fox et le radiodiffuseur privé italien La7, et dirige actuellement une société de production.

La nomination de Foa, a été une surprise, y compris pour Foa lui-même.

Il a écrit sur Facebook qu’il était «fier et ému» et qu’il s’engageait à faire du «journalisme intellectuellement honnête et indépendant».

 

Politico via fdesouche

France : la perspective du chaos

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2018

POSTÉ LE 26 JUILLET , 2018

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Les scènes de pillage et d’émeutes qui ont suivi la victoire de l’équipe de France de football sont tristement significatives de l’évolution du pays ces dernières années.

Elles ont fait suite aux pillages et aux émeutes qui ont eu lieu à Nantes un peu plus tôt, et à de multiples autres scènes du même type survenues en France depuis 2005.

Il ne peut plus y avoir en France un rassemblement collectif de grande ampleur, quel qu’il soit, sans que surviennent des violences et des destructions.

Quand ce n’est pas un rassemblement collectif de grande ampleur qui sert de prétexte, une arrestation qui tourne mal peut faire l’affaire.

La police reçoit des directives, ne rétablit plus vraiment l’ordre, et se contente d’endiguer et de limiter les dégâts – et, d’ailleurs, elle les limite de moins en moins.

Les médias sont incités à dissimuler la réalité et à édulcorer leurs comptes rendus aux fins que la situation apparaisse moins grave qu’elle ne l’est.

La situation n’en est pas moins grave et devient de plus en plus préoccupante.

Voici une vingtaine d’années, il y avait en France quelques zones de non-droit.

Aujourd’hui, il y en a environ six cent. En outre, ces zones de non-droit grandissent et, par un effet de contagion, débordent vers des quartiers autrefois épargnés.

Voici une quinzaine d’années, pillages et émeutes étaient rares. Aujourd’hui, ils deviennent la norme.

Voici une douzaine d’années, les prisons renfermaient un nombre élevé de gens venant de zones de non-droit et appartenant à des bandes ethniques, et des actions de démantèlement des bandes concernées étaient menées.

Aujourd’hui, les trois quarts des criminels incarcérés sont des gens venant de zones de non-droit et appartenant à des bandes ethniques qui ne sont plus démantelées.

Voici une dizaine d’années à peine, le respect de l’uniforme existait encore, même s’il avait sérieusement commencé à s’éroder. Voir des commissariats attaqués aurait alors semblé presque impensable.

Aujourd’hui, des porteurs d’uniforme sont agressés jusque dans leur domicile, menacés de sanctions s’ils répliquent ou se défendent, et les attaques de commissariats se produisent de manière récurrente.

Ce qui se dessine a pu être défini comme une guerre civile en gestation, et j’ai moi-même pu recourir à cette expression, mais elle n’est pas vraiment exacte.

Pour qu’une guerre civile ait lieu, il faut des combattants des deux côtés.

Or il n’y a là, pour l’essentiel, qu’un seul côté qui combat, tandis que l’autre côté ne se bat pas, recule et semble simplement retarder le moment d’une défaite déjà entérinée.

Mieux vaudrait parler de déliquescence, ou de glissement lent (mais de plus en plus rapide) vers le chaos et vers une transformation de la France en un pays ressemblant à ces contrées du tiers-monde où quelques îlots préservés subsistent, tandis que, partout ailleurs, règne une loi de la jungle où tout peut arriver et où la sécurité devient très aléatoire.

Un redressement est-il possible ?

Des moyens drastiques seraient désormais nécessaires pour cela. Le recours à ces moyens serait-il envisageable ?

Cela aurait été très difficile au temps de Nicolas Sarkozy.

Au vu de la détérioration qui se poursuit, c’est devenu presque impossible.

Les dirigeants politiques qui se succèdent au pouvoir sont complices ou n’ont pas l’étoffe ni la détermination requises. Et aucune des personnes susceptibles de leur succéder présentement ne semble à même de faire ce qui devrait l’être.

Il en est ainsi en raison de ce que j’ai décrit plusieurs fois : la gauche s’est installée peu à peu dans tous les appareils et institutions.

Elle a voulu éroder, détraquer et détruire. Elle y est largement parvenue. Parce qu’elle déteste la civilisation occidentale, elle a voulu y introduire des corps étrangers inassimilables. Elle y est largement parvenue aussi. Elle a estompé, marginalisé, puis diabolisé tous les repères intellectuels à même d’étayer un sursaut.

Tout semblerait perdu si un mouvement de révolte n’était pas en train de gagner l’Europe, porté par des Européens qui ne veulent pas mourir. Ce mouvement a été qualifié de « lèpre » ou de « vent mauvais » par le minable Macron. Il importe de tout faire pour que la « lèpre » et le « vent mauvais » touchent la France. Au plus vite.

 

Source : les4verites