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mercredi, 08 août 2018

Images d’archives – Meeting d’Ordre Nouveau à la Mutualité (13 mai 1970)

 

Images d’archives – Vidéo consacrée au meeting du 13 mai 1970 du mouvement Ordre Nouveau au Palais de la Mutualité. Ce jour-là, près de 2.500 personnes assistaient à ce meeting nationaliste.

Ordre Nouveau a existé de 1969 à 1973, année de sa dissolution.

 

Source :  medias-presse.info

Vers un génocide blanc en Afrique du Sud ? (vidéo)

Publié par Guy Jovelin le 08 août 2018

Ecrit par Léo Kersauzie

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Afrique du Sud – Le déferlement de meurtres et viols racistes dont les victimes sont des Blancs ne suscite guère d’indignation des médias mainstream européens. Pourtant, un tel degré d’horreur ne devrait laisser personne indifférent.

 

 

mardi, 07 août 2018

Sous le soleil, le vide

Publié par Guy Jovelin le 07 août 2018

Rédigé par notre équipe le 06 août 2018

Le 15 août n’est pas encore arrivé, mais on sent que le journaliste habituellement abreuvé de nouvelles officielles est parti en vacances. Un repos bien mérité après trois semaines un peu folles au cours desquelles les messagers du pouvoir ont dû jouer contre lui en raison d’une affaire Benalla-Macron où faire l’impasse revenait à se griller une bonne fois pour toutes auprès du public. Place désormais à la météo et aux catastrophes à l’étranger.

Le Français est patient et bonne pâte. Il accepte des mauvaises nouvelles toute l’année, mais une fois le mois d’août venu il faut des sujets légers ou alors éloignés de ses principales préoccupations. C’est tout du moins ce que pense les rédactions. Ainsi, les journaux télévisées ou non, copient sans goût ce que propose Jean-Pierre Pernaut dans son 13 heure sur TF1. Il faut rencontrer du Français tout droit sorti d’une province que la seule évocation trouble en temps normal. Mais le mois d’août est une exception alors les journalistes sont envoyés dans hors de Paris pour poser des questions sottes qui combleront les quelques minutes ou pages consacrées à l’actualité nationale.

Chaleur et catastrophes à l’étranger : le cocktail de l’été

Et comment ne pas commencer par le temps qu’il fait ? Il fait chaud – normal, c’est le mois d’août – et encore plus chaud qu’à la normale. Le Français qui n’a pas surfé sur le mirage économique macronien n’a pas pu se payer des vacances loin de la France et sue, enfermé dans son appartement, en se disant qu’on est quand même bien loin du bureau. Il fait très chaud et le journaliste se mue en médecin. Il donne des leçons à tout le monde en disant qu’il faut boire et ne pas s’exposer au soleil… Où étaient ces mêmes journalistes lors de la canicule de 2003 ? En vacances – comme les politiques – mais ils ont retenu la leçon et peuvent même ressortir leurs sujets d’une année sur l’autre.

Consciencieux jusqu’aux bouts des ongles, ils font toutefois de la route pour filmer un beau soleil sur la côte méditerranéenne et demandent le plus sérieusement du monde au passant s’il a chaud lorsqu’il fait 37 degrés à l’ombre… Du journalisme dans toute sa splendeur auquel il faut ajouter une petite touche d’international pour donner la vague impression que les rédactions sont au travail. La crise en Iran ? La guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine ? Non, rien de tout cela ! Même les rumeurs concernant le programme nucléaire de Kim Jong-Un ne sont pas assez intéressantes.

Il faut de la tragédie et non pas de grands faits politiques qui demandent un minimum de réflexion. Cela demeure la chasse gardée de ceux qui pensent encore une fois le soleil brûlant venu (cf les prochains articles). Alors le tremblement de terre meurtrier en Indonésie ou des forêts qui brulent aux Etats-Unis tombent à pic. On reprend les communiqués de presse et deux chiffres saillants pour bien montrer l’ampleur de la catastrophe et le tour est joué.

Le reste peut attendre. Macron et Benalla ont tout loisir de préparer leur prochain coup de com’. Les décisions prises en catimini sont prêtes à être dégoupillées et les Français sont quant à eux attendus au tournant. Ceux qui croient encore que la chaleur est le pire cauchemar d’un été reposant en seront pour leurs frais. Le mois de septembre sera chaud et le soleil y contribuera pour très peu.

 

Source : 24heuresactu

Après avoir lu cela comment peut-on dire que les LGBT peuvent élever des enfants ?

Publié par Guy Jovelin le 07 août 2018

 Extrait d'un entretien trouvé dans Libération :

"Voulez-vous dire que les gays intériorisent les normes hétérosexuelles ?

Il y a un désir de les subvertir, par la dispersion sexuelle, le recours aux drogues, la formation de «trouples», les parentalités bricolées, ou des amitiés sexuelles - un tabou aussi fort que celui de l’inceste à «hétéroland» ! Mais il y a aussi un désir de norme, qui renvoie au désir hétéro  : comment s’organiser avec un régime d’injonction au mariage, à la filiation, à la transmission, tout en conservant le goût des marges et de la liberté ? Le désir, c’est le contraire de l’obligation ! Je trouve tout aussi inquiétant que la famille contemporaine intègre la sexualité des enfants à son propre espace clos, parce que je fais partie d’une génération qui a découvert sa sexualité dans les fossés et sur les routes, mais aussi parce que le désir doit être une fuite, il doit se décréter le moins possible, dans des espaces labiles et des moments inattendus."

Et pendant ce temps le ministre de la santé fait la promotion des détraqués LGBT (on reconnait les cathophobes "soeurs de la perpétuelles indulgences") :

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Agnès Buzyn
 
@agnesbuzyn

C’est un plaisir d’inaugurer avec @Anne_Hidalgo et @FlesselLaura ,le village des @GayGames 2018, qui participent activement à la politique d’intégration, d’ouverture et de solidarité que la ville de Paris et le @gouvernementFR sont fiers d’encourager et de promouvoir

lundi, 06 août 2018

L’ex-futur général Benalla

Publié par Guy Jovelin le 06 août 2018

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Les barbouzes de l’Élysée : des hommes prêts à tout, déterminés et impitoyabes au service du Président…

Les cons hors d’âge de mon espèce n’ont pas pu résister aux envolées lyriques de Christian Jacob dénonçant dans cette sémillante affaire Benalla, la profanation de l’esprit même d’une Constitution de la Ve République on ne peut plus gaullienne. Sa nature sacrée interdirait la moindre entorse aux règles de droit, notamment dans les domaines de la sécurité en général et de la police en particulier.

Affaire franco-marocaine pour affaire maroco-française, pourquoi ne pas évoquer celle de Ben Barka enlevé en 1965 et perdu corps et biens, à tout jamais. Pourquoi ne pas souligner les rôles d’Antoine Lopez, honorable correspondant du SDECE et de Leroy-Finville son supérieur traitant. Comment ne pas évoquer les Bernier et Figon barbotant dans les eaux salaces du milieu pour y repêcher l’insubmersible Bouchesseiche, gestapiste avéré reconverti dans le gang des tractions avant.

Je vous prie de m’excuser, j’allais oublier le très entreprenant Maître Lemarchand… Celui-là même qui avait fait ses classes en Algérie, en supervisant, pour le moins lamentablement faut-il le préciser, sous couvert du très œcuménique Mouvement pour la Communauté de Joël Le Tac, les barbouzes télécommandées par Alexandre Sanguinetti…

Et comme dans ce type de monde parallèle il ne faut jamais mettre ses œufs de vipère dans le même panier, la « Mission C » de Michel Hacq avait eu toute latitude pour monter ses coups tordus.

Si nous parlions maintenant du non moins gaullien Service d’Action Civique (de sac et de corde bien évidemment) de Jacques Foccart et Charles Pasqua, exécuteurs des basses œuvres du régime (voir la chronique d’Alexis Arette évoquant le massacre d’Auriol).

Et notre bon Tartuffe Jacob, porte-parole de ces parlementaires tellement vertueux, tel un procureur de la magistrature couchée se drapant dans une toge mitée ressortie pour la circonstance, de pérorer sur le thème : « Cachez ces actes que je ne saurais voir. Par de pareils objets, les âmes sont blessées ! Et cela fait venir de coupables pensées ». On ne pourrait mieux dire.

Comme l’aurait souligné ma concierge, c’est vraiment l’hôpital qui se fout de la charité…

Et l’ex-futur général Benalla d’en faire les frais. Mais, à l’Élysée, n’est-on pas coutumier du fait. Dans le cadre de « la protection des élites » c’est ce qu’on appelle « changer son fusible d’épaule ».

 

Source : eurolibertes