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mercredi, 04 octobre 2017

Perpignan : menacées, une mère et ses filles n'osent plus sortir de chez elles

Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2017

LAURE MOYSSET

Perpignan : menacées, une mère et ses filles n'osent plus sortir de chez elles

Le quartier de Vernet Salanque.
L'INDÉPENDANT
 

Une mère et ses quatre filles, qui vivent dans un immeuble HLM de Vernet-Salanque, lancent un appel de détresse.

"Ceci est un appel au secours. Par pitié, aidez-nous". Le message a été jeté comme une bouteille à la mer sur internet, relayé par des proches sur les réseaux sociaux. Le cri de désespoir d'une mère et ses quatre filles de 13, 15, 18 et 21 ans, cloîtrées depuis plusieurs jours dans leur appartement des HLM Vernet-Salanque, et terrorisées par une famille de voisins dont quatre frères d'une vingtaine d'années. Derrière leurs volets fermés, la porte d'entrée bloquée par une chaise, elles supplient, en pleurs, que quelqu'un leur vienne en aide et mette un terme à ce quotidien de recluses.

Peur de franchir la porte

"Si on sort, ils vont nous tuer, raconte la mère. Mes trois cadettes, dont celle qui passe le bac cette année, ne peuvent plus aller à l'école. Elles ont peur. Quand on passe la porte, ils sont là, à nous agresser, nous insulter et à nous menacer de mort. On n'ose plus aller faire les courses. Quelques personnes du secteur osent nous amener un peu à manger. Certains ont essayé d'aller leur parler mais ils ne veulent rien entendre. Je travaille dans un supermarché, je ne peux même plus y aller. Ni ma fille aînée".

Tout aurait ainsi débuté en juillet, pour un motif qui reste encore bien flou. Elles auraient subi une première agression physique et auraient déposé plainte. Dès lors, tout se serait aggravé. "Injures, jets de pierres, intimidations, coups de pied dans la porte de leur logement...", disent-elles. La mère et ses filles aidées par diverses associations (le CDIFF, le Seuil, l'ADAVIP...) ont finalement fui leur domicile pour être hébergées en foyer. Or, après un mois, ne remplissant plus les conditions d'accueil, elles ont dû rentrer chez elles. Et dès leur arrivée, mercredi, "le cauchemar" aurait recommencé.

L'aînée qui, profondément affectée, a voulu mettre fin à ses jours, renchérit : "Le compteur électrique a été vandalisé. Nos trois voitures ont toutes été cassées. J'ai mis un an à bosser 7/7 jours pour pouvoir me la payer et je n'ai plus rien. Si on passe en jupe, on se fait traiter de pute. Ils nous cherchent en permanence. Ils ont tiré des coups de feu en l'air vendredi dernier et ont dit qu'ils allaient nous tirer dessus. Mon frère qui habite à côté est enfermé chez lui. Ils ont dit qu'ils allaient lui briser les côtes".

"Nous sommes assiégées"

Alors, la mère ne sait plus vers qui se tourner. "Ils cernent l'appartement, hurlent leur haine. Nous sommes assiégées. Ils disent que l'on n'a pas le droit de rester là. Car c'est leur loi, la loi du quartier. Mais personne n'a le droit de transformer un quartier en ghetto, de faire vivre cet enfer à d'autres. Mais, quand on sera parti, ce sera une autre famille qui vivra la même chose. Tout ça pour rien, parce que l'on a été les premiers à porter plainte et à briser le silence."

"On a appelé la police, la police municipale, on a saisi le maire, le préfet, le procureur, l'office HLM.... Rien n'est fait. Personne n'est interpellé. L'autre jour, on nous a répondu : “Vous êtes en danger. Partez”." La mère de famille a déposé une demande de mutation de logement qui doit être examinée aujourd'hui même en commission. L'issue, peut-être...

 

Source : midilibre

mardi, 03 octobre 2017

Marseille: Un couple interpellé avec un lance-roquettes et une Kalachnikov dans sa voiture

Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2017

J.L. AVEC AFP

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Wikimedia Commons / Kevin. B

Une enquête a été confiée à la police judiciaire de Marseille.

Un couple âgé d'une vingtaine d'années a été interpellé mardi 3 octobre à Port-de-Bouc (Bouches-du-Rhône) avec à bord de son véhicule un lance-roquettes armé d'une roquette et une Kalachnikov et des munitions, rapporte l'AFP.

Le jeune homme, qui était notamment connu pour des violences envers sa compagne, a été arrêté en sa compagnie lors d'un banal contrôle routier. Il n'était pas censé être en contact avec elle. Une enquête a été confiée à la police judiciaire de Marseille.

"Connu des service judiciaires pour des petits délits", selon La Provence, "il n'aurait pas, à ce stade des investigations, le profil d'un djihadiste mais plutôt celui d'un délinquant des cités".

Un couple âgé d'une vingtaine d'années a été interpellé mardi 3 octobre à Port-de-Bouc (Bouches-du-Rhône) avec à bord de son véhicule un lance-roquettes armé d'une roquette et une Kalachnikov et des munitions, rapporte l'AFP.

Le jeune homme, qui était notamment connu pour des violences envers sa compagne, a été arrêté en sa compagnie lors d'un banal contrôle routier. Il n'était pas censé être en contact avec elle. Une enquête a été confiée à la police judiciaire de Marseille.

"Connu des service judiciaires pour des petits délits", selon La Provence, "il n'aurait pas, à ce stade des investigations, le profil d'un djihadiste mais plutôt celui d'un délinquant des cités".

 

Source : news.sfr

La communiste Sonia Nour qualifie de « martyr » l’égorgeur des deux jeunes femmes devant la gare de Marseille

Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2017

Ecrit parPierre-Alain Depauw

C’est tout simplement incroyablement scandaleux ! Sonia Nour, militante communiste et collaboratrice à la mairie communiste de la Courneuve, a qualifié de « martyr » l’ordure qui a assassiné deux jeunes femmes devant la gare de Marseille au cri de Allah Akbar dimanche dernier.

Apologie du terrorisme ?

Cette Sonia Nour se présente aussi comme une militante « décoloniale », une terminologie qui rappelle évidemment le fameux camp d’été décolonial interdit aux Blancs.

 

Source : medias-presse.info

 

GUERRE CIVILE ? Une enseignante française témoigne

Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2017

guerre-civile-1

Nos lecteurs nous prient de publier :

Ceux qui ne voient pas une guerre civile d'ici 20 ans sont des naïfs, car un beau jour on ne pourra pas éviter de faire respecter l'ordre par la force...

France : une enseignante témoigne sans langue de bois du désastre de l’éducation des enfants musulmans en 2017 :

Je suis enseignante (prof d’histoire-géo-éducation civique) depuis plus de 20 ans. J’ai exercé dans 5 collèges de banlieue, dont deux Zep et un établissement classé zone violence.
J’ai donc vu passer dans mes classes (de la 6ème à la 3ème) plus de 4.000 jeunes de banlieues, que j’ai eu à charge d’instruire, d’encourager et d’accompagner, avec une bienveillance et une abnégation qui ne m’ont jamais fait défaut.

 Vous prétendez que les populations des banlieues sont « mises au garage dès le collège et le lycée » ?
Que « le socle d’une société épanouie est l’éducation » et, de ce fait, vous insinuez que les minorités ne reçoivent aucune instruction dans notre pays ?
 Quelle vaste blague ! Non : quelle aberration, quelle mauvaise foi, quelle vision erronée et mensongère de la réalité !
Mes élèves des cités reçoivent la même instruction que tous les petits français de souche. Leur instruction est gratuite (sans compter les aides et prestations diverses censées aider ces familles mais qui sont systématiquement dépensées pour tout autre chose que l’école…)
 Si, au terme d’un parcours scolaire la plupart du temps désastreux, le corps enseignant se voit contraint de leur proposer une orientation professionnelle en fin de 3ème, c’est qu’on ne peut pas raisonnablement proposer à un adolescent de 15 ans d’envisager de poursuivre des études de médecine alors qu’il n’a toujours pas daigné apprendre à compter (et à parler correctement le français). Ignorez-vous l’importance de la résistance à l’apprentissage du français dans nos écoles ?
 Le français est pour eux une « langue étrangère » , la langue des « mécréants » comme ils aiment à me le répéter.
Voici le fruit de ma réflexion, après 20 années d’expérience au contact de votre soi-disant « génération sacrifiée » :
Je suis en première ligne pour témoigner des moyens financiers, humains et techniques mis à dispositions de ces jeunes depuis des décennies (oui, des millions dépensés dans les collèges et lycées pour ces populations).
 Je vous signale, à titre d’exemple, que le collège où je travaille actuellement met à leur disposition permanente 14 TNI d’une valeur totale de 100.000 euros - un dans chaque classe -, deux salles informatiques contenant 50 PC avec connexion internet, une bibliothèque magnifique sur deux étages, des dizaines d’heures de soutien hebdomadaires et tutorats en tous genres (qui coûtent beaucoup d’argent à l’Etat car payés en heures supplémentaires), un service de restauration quasi gratuit, des voyages scolaires ( musées, voyages en Espagne, en Italie, en Angleterre et en Allemagne, pris en charge par le foyer socio-éducatif ) etc, etc, etc… Je continue ?
 Les autres enfants de la commune (qui ne vivent pas dans la cité) sont loin d’avoir ce genre de privilèges.
Malgré tout, ces jeunes des banlieues (comme vous les appelez) n’ont que la haine de la France à la bouche. Leur seule référence est « le bled ». Leur seul désir : imposer leur culture en remplacement de notre culture nationale. Ils ne s’en cachent même plus : ils le revendiquent comme une fierté.
 Leur communautarisme rend inopérant toute tentative d’instruction et d’intégration. Quel que soit le sujet que j’aborde, en Histoire, en géographie ou en éducation civique, je ne rencontre de leur part que mépris et hostilité vis-à-vis de notre passé, de nos valeurs, de notre vision de la démocratie. Je n’ose même plus prononcer le mot « laïcité » en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire, m’insulter.
La plupart des collègues ont abdiqué depuis longtemps.Hélas, j’ai cru un temps, comme vous, qu’il était possible de leur transmettre connaissances, sagesse et foi en l’avenir de notre communauté nationale.
 J’ai renoncé. Je suis tous les jours confrontée aux discours les plus intolérants qui m’aient été donnés d’entendre : propos haineux à l’égard des français, des juifs, des femmes, des homosexuels… L’évocation du terrorisme fondamentaliste les fait sourire (dans le meilleur des cas) quand ils ne font pas ouvertement, en classe, l’apologie de l’Etat islamique et de la charia.Notre Histoire ne les intéresse pas. Ils ne sentent aucun passé, ni aucun point commun avec les « sous-chiens » et les « faces de craie » comme ils nous appellent.
 Renvoyons les dans leur pays d’origine. Si vous aimez le vôtre …
 Retournez donc à l’école ne serait-ce que pour un petit stage d’une journée… vous seriez mortifié.
 
M. F. (nom connu de la rédaction)
 

Terrorisme : la faute à pas de chance !

Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2017

Rédigé par notre équipe le 02 octobre 2017

Les jours se suivent et se ressemblent terriblement. La France est un vaste champ dans lequel les terroristes s’en donnent à cœur joie tandis que les autorités détournent le regard. Le nouvel attentat perpétré hier à la gare Saint-Charles de Marseille rappelle cette triste réalité. Les « Allah akbar » sont scandés dans nos rues, mais il est de bon temps de parler d’ « internationale terroriste ». La classe politique est plus prompte à partager son émoi qu’à régler un problème sécuritaire pourtant en grande partie maîtrisable.

« La France va devoir vivre avec le terrorisme ». Manuel Valls, Premier ministre, expliquait au lendemain de la tuerie de Nice que le terrorisme était devenu consubstantielle à la France et qu’au fond, il fallait subir et être assez chanceux pour ne pas trouver la mort en allant acheter son pain ou en ayant l’idée saugrenue d’assister à un spectacle. Cette chance, deux jeunes femmes ne l’ont pas eu hier alors qu’elles se trouvaient devant la gare SNCF de Marseille. Une égorgée, l’autre éventrée par un individu qui crie « Allah Akbar ».

Le carnage aurait pu être plus grand encore si les militaires de la force Sentinelle n’étaient pas intervenus rapidement et n’avaient pas éliminé ce terroriste décidé à leur planter sa lame dans le corps. Les militaires français ont fait preuve de leur courage et de leur utilité, mais le redéploiement voulu (il faut comprendre par « redéploiement » l’arrêt de leur mission de surveillance et de protection) suivra son cours. En attendant, deux innocents sont à ajouter au tableau macabre du terrorisme en France. Des victimes qui se succèdent et des terroristes qui ont toujours un profil qui illustre le laxisme de l’Etat et de la Justice.

Un laxisme coupable

Cette fois-ci, il ne s’agit pas d’un fiché S, mais d’un délinquant multi-récidiviste en situation irrégulière sur le territoire français. De nationalité tunisienne, le terroriste du jour n’a peut être pas réussi à s’intégrer à une nation française décidément trop raciste et islamophobe… Encore une « chance pour la France » qui n’a pas trouvé sa voie ou celle du moins qu’avait en tête la gôche morale. Cette même gôche qui a refusé de parler d’un attentat islamiste après les faits. Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur à la vision déficiente, tweete instantanément qu’il se rend à Marseille. Pour y faire quoi ? Pour expliquer qu’il faut continuer dans la pas d’amalgame et qu’il est difficile de mettre cet attentat sur le dos de l’islamisme radical ? Il est vrai que des meurtres au cri d’Allah Akbar peuvent faire penser à la piste basque…

Le gouvernement préfère entrer dans la ritournelle de l’émotion et attend sagement que l’Etat islamique revendique l’attentat. C’est désormais chose faite, mais rien, encore une fois, ne sera entrepris pour que de tels massacres n’aient plus lieu. Est-il possible de prévenir toutes les attaques sur notre sol ? Malheureusement, les politiques ont raison en affirmant que non. Toutefois, bien des vies auraient pu être épargnées si l’exécutif et la Justice remplissaient leur mission. Des centaines, si tous les fichés S, multirécidivistes, djihadistes de retour de Syrie et sympathisants islamistes déclarés étaient neutralisés et non libres de préparer des attaques et vivant des allocations.

Les bien-pensants répondent qu’un état de droit ne peut pas mettre en prison des individus qui n’ont pas encore tué. La France ne doit pas devenir une expression réelle de Minority Report. L’argument est faux est sert les actions terroristes. Un individu qui a déclaré sa joie de voir des innocents mourir sous les coups du terrorisme a sa place en prison jusqu’à la fin de ses jours. Ceux qui sont déjà passés à l’action, plus encore. L’Etat de droit devient synonyme de déliquescence morale et de trahison du peuple. Un peuple qu’on égorge et qui n’a droit qu’à une émotion feinte. Les cadavres pourront s’accumuler sous les fenêtres des ministres, la réponse des autorités ne changera pas tant qu’un grand coup de balai ne sera pas donné.

 

Source : 24heuresactu