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lundi, 02 octobre 2017

Marseille : l’oeuvre d’un clandestin arabe

Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2017

Mis à jour le 2 octobre 2017 Auteur par Pierrot
attentats islamiques,clandestin arabe,marseille

La République réclame à nouveau des Français, qu’ils se montrent résilients face à l’explosion des attentats islamiques. Nous sommes priés de continuer à vivre en faisant abstraction de la terreur, et surtout, en ne nous posant pas trop de questions. Pourtant, nous venons d’assister une fois de plus, à l’holocauste d’innocents sur l’autel du vivre ensemble. Il faut le rappeler et le marteler à nos concitoyens, la boucherie de Marseille est à nouveau l’oeuvre d’un étranger extra-européen.

L’homme qui a ôté la vie à deux cousines de 20 et 21 ans cet après-midi à Marseille serait un Tunisien en situation irrégulière d’une trentaine d’années, connu pour des délits mineurs. Il avait été, pas plus tard que la semaine dernière, arrêté en flagrant délit de vol à Lyon. Sans aucun papier d’identité sur lui, les enquêteurs ont dû procéder à l’examen de ses empreintes digitales, lesquelles auraient « matché » dans leurs fichiers avec pas moins de huit identités. Reste qu’aucune de celles-ci ne faisait l’objet d’une fiche au Renseignement intérieur.

  

Source 

 

CATALOGNE : UN DIMANCHE HISTORIQUE

Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2017

dimanche 1er octobre 2017par Michel Dantan

catalogne,indépendantistes,référendumLes anti indépendantistes ont fait entendre leur voix hier dans plusieurs villes d’Espagne pour dénoncer le danger que le référendum organisé ce dimanche pour l’indépendance de la Catalogne faisait courir à l’unité de leur pays. A Madrid, Barcelone, Valladolid, Santander, Valence, Alicante, Lerida, la majorité silencieuse jusque là restée muette, au cours de rassemblements organisés devant les mairies des principales villes s’est exprimée en faveur d’une Espagne unie et réclamé l’arrestation de Puigdement. le Président de la Generalitat, le principal artisan d’une consultation qui semble dors et déjà avoir pris la tournure d’une farce électorale. La grande majorité des espagnols ne veulent pas tourner le dos à 500 ans d’histoire commune, ni laisser une foie la boîte de Pandore ouverte leur pays se retrouver face au défi mortel d’un scénario à la Yougoslave.

 

Source : national-hebdo

dimanche, 01 octobre 2017

Énorme bide pour la "journée des casserolades" de Mélenchon

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2017

 
 

Manif. La France insoumise avait appelé ses partisans à descendre dans la rue de plusieurs villes de France avec des casseroles pour protester contre la loi Travail, samedi 30 septembre.

L'appel aux "casserolades" lancé par la France insoumise n'a pas déplacé les foules, ce samedi 30 septembre. Des événements ont eu lieu dans toute la France mais ont peiné à rassembler plus d'une dizaine de personnes à chaque fois. Selon le décompte de l'AFP, seule la manifestation de Marseille a mobilisé plus d'une centaine de mécontents. Ailleurs, à Grenoble, Rennes, Lille, Bordeaux, Pau, Caen ou La Rochelle…, c'était morne plaine.

Les casseroles ou les pavés

À Paris, selon les images diffusées sur Twitter par la conseillère municipale Danièle Simonnet, quelques dizaines de militants seulement ont tambouriné sur leur casserole devant l'Assemblée nationale et dans le XIXe arrondissement. "Il faut continuer dans l'élan du 23 septembre pour montrer qu'on ne lâche pas le Code du travail, s'autopersuade Françoise, plaque de cuisson en métal à la main. "La casserole, c'était je trouve assez bon enfant, une façon de continuer le combat sans lancer des pavés."

Le 23 septembre dernier, Jean-Luc Mélenchon avait rassemblé environ 50 000 personnes place de la République, à Paris, pour protester contre les ordonnances voulues par Emmanuel Macron afin de réformer le Code du travail. Un chiffre considéré comme faible pour une manifestation parisienne effectuée un week-end sous le soleil.

 

Source : valeursactuelles

Attaque au couteau à Marseille : deux morts, l'assaillant abattu

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2017

Attaque au couteau à Marseille : deux morts, l'assaillant abattu
@ AFP

Un homme a attaqué des passants au couteau aux abords de la gare Saint-Charles à Marseille, tuant deux personnes. L'assaillant, lui, a été abattu.

L'ESSENTIEL EN DIRECT

Un homme a été abattu par les militaires de l'opération Sentinelle à la gare Saint-Charles de Marseille après avoir attaqué des passants au couteau, ce dimanche, selon le parquet. "Deux victimes sont décédées par arme blanche", a déclaré à l'AFP Olivier de Mazières, le préfet de police.

Les principales infos à retenir

 
 
  • Deux personnes ont été tuées dans une attaque au couteau à la gare de Marseille

  • L'assaillant a été abattu par les militaires de l'opération Sentinelle

  • Il aurait crié "Allah Akbar" en passant à l'acte

L'attaque a eu lieu vers 13h45. L'assaillant, âgé d'une trentaine d'années selon La Provence, aurait crié "Allah Akbar" en passant à l'acte, selon une source proche de l'enquête, qui envisage la piste terroriste. Toujours selon le quotidien régional, l'assaillant muni d'un couteau aurait attaqué deux voyageurs sur les quais. La police a demandé aux Marseillais d'éviter le secteur de la gare, une importante opération étant en cours en début d'après-midi.

 Gare Saint Charles @PoliceNat13 
Opération de Police en cours 
Évitez le secteur

Collomb se rend "immédiatement" à Marseille. Selon les autorités, deux personnes sont mortes dans l'attaque au couteau. "Deux victimes sont décédées par arme blanche", a déclaré Olivier de Mazières, préfet de police des Bouches-du-Rhône. Le ministre de intérieur, Gérard Collomb, a annoncé sur Twitter se rendre "immédiatement" sur place. 

 : après l’attaque perpétrée à proximité de la gare Saint Charles, je me rends immédiatement sur les lieux.

Europe : Macron enterre la France !

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre2017

Rédigé par notre équipe le 28 septembre 2017.

Faute de pouvoir gouverner avec de (bonnes) idées, Macron utilise les symboles. Pour se faire, le défenseur de l’Europe version Maastricht s’est donc rendu à La Sorbonne où il a exposé pendant une heure et demi son « ambition » pour l’Union européenne. Un discours fleuve devant les jeunes générations chargées de balayer une bonne fois pour toutes les notions de nation, d’amour de la patrie et de fierté. Il faut tout donner à l’UE pour que la France meure. Le président enterre son pays et les éditorialistes exultent…

Même s’il n’est pas un bon orateur (sauf selon BFM TV et la clique en charge de le promouvoir), Emmanuel Macron est tenu de faire quelques discours pour bien montrer qu’il s’intéresse à des questions de fond. Et quoi de plus naturel de déverser une logorrhée sur le thème de la refondation de l’Union européenne ? Il a été mis à la tête de la France pour faire place à cette hydre malade. Trois mois après sa prise de fonction, il était temps de donner les grandes lignes de son action. Un timing d’autant plus intéressant que les élections en Allemagne ont vu l’arrivée en force de l’AfD, parti conservateur décrit bien logiquement par la caste médiatique comme un avatar d’un hitlérisme renaissant.

La France est donc le seul grand pays encore debout dont les démons vichystes sont cadenassés grâce au génial Macron. La réalité est tout autre, car n’en déplaise au président de la République, la France est gravement malade sur le plan économico-social et docteur Macron achève un patient qui n’a par ailleurs aucune tentation de type national-socialiste. Bref, Macron veut paraître plus beau qu’il n’est et tant pis si l’image de la France doit en pâtir. Sans surprise, le discours a été un ode à l’européisme où tous les peuples se donnent la main et marchent vers le progrès. De peuples, il en a été beaucoup question puisque Macron s’est astreint à ne pas utiliser les mots de « nation » et de « patrie ». Fidèle à l’idée nauséabonde que les nations se font forcément la guerre, il veut dépasser ces constructions pourtant efficaces en donnant à Bruxelles toutes les clés.

La France : une région européenne comme les autres

Pour enterrer la France et tourner le dos à deux milles ans d’une histoire rance et raciste, les objectifs à atteindre ont été donnés. Il faut se rapprocher du « modèle » allemand – c’est-à-dire continuer à être le paillasson de Merkel – quitte à créer une Europe à deux vitesses. La France sera soumise à l’Allemagne avec consentement et envie tandis que les autres pays suivront en traînant les pieds. Beau projet… ! Pour cela, il est important de noyer toute idée nationale. Ainsi, un budget pour la zone euro doit être créé, étape qui annonce la prise de contrôle officielle par un exécutif européen illégitime pour décider de l’avenir de la France.

Pour parachever cette œuvre diabolique, Macron souhaite en finir avec une armée française déjà à bout de souffle. « Je propose à nos partenaires d’accueillir dans nos armées nationales, et j’ouvre cette initiative à l’armée française, des militaires venant de tous les pays européens volontaire pour participer le plus en amont possible à nos travaux de renseignement, de planification et de soutien aux opérations ». L’armée française a vocation à devenir une cour des miracles aux ordres « d’une force commune d’intervention, (qui sera dotée) d’un budget de défense commun, et d’une doctrine de défense commune pour agir ». L’idée n’est pas nouvelle, mais Macron est le plus résolu de tous les traîtres à la France à vouloir y parvenir. Enfin, des listes transnationales pour les élections européennes doivent finir de donner les clés à une élite européiste complètement déconnectée du terrain et des préoccupations des citoyens français.

La potion est empoisonnée, mes les médias français sont en pamoison devant cet élan présidentiel. Libération, sous la plume de Laurent Joffrin, explique au bon peuple ce qu’il faut penser et qu’il faut se réjouir du : « langage du bon sens et de l’audace » du président qui a « cent fois raison de montrer l’horizon. (…) Une Europe de la défense, de l’immigration, de la lutte antiterroriste, et surtout une Europe plus sociale et plus volontaire, qui protège mieux : il n’y a pas d’autre planche de salut pour ce continent déboussolé ».

Un continent déboussolé, mais pas pour les raisons qu’a en tête Joffrin. Un continent qui voit que malgré les discours, l’Union européenne se complait dans le creusement des inégalités. Un continent où la plupart des élites n’arrivent même plus à désigner les maux qui le ronge et qui préfèrent disserter sur « l’international terroriste » plutôt que sur le « terrorisme islamiste ». Des nuances qui n’en sont pas et qui illustrent le danger de se ranger derrière la politique suicidaire d’un homme qui rêve de devenir président de l’Europe.

 

Source : 24heuresactu