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samedi, 07 octobre 2017

Car Lang : "Il nous reste donc la nécessité d'organiser la Droite Nationale autour du Parti de la France"

Publié par Guy Jovelin le 07 octobre 2017

FACE À FACE
 
Invité : 
Carl Lang, Président du Parti de la France 

Les thèmes abordés :
  • Bilan des législatives 2017
  • Les 5 premiers mois d'Emmanuel Macron
  • Le terrorisme islamique, corollaire de l'immigration-colonisation
  • La déliquescence du néo-FN de Marine Le Pen et le non évènement du départ de F. Philippot
  • L'avenir du PDF et l'engagement nécessaire des militants

Ni Macron, ni aucun ministre, n'a assisté aux obsèques de Laura et Mauranne

Publié par Guy Jovelin le 07 octobre 2017

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 La réaction de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :

Une absence absolument lamentable de la part du Président de la République et de son gouvernement. Alors que ça se précipite à l’hôpital, au chevet de Théo Luhaka, pour prendre des nouvelles de son anus, ça n'est même pas capable de rendre hommage à deux jeunes victimes de la barbarie islamiste.

vendredi, 06 octobre 2017

L’immigration extra-européenne aura été le principal fait générateur de l’apparition d’un islam de combat

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2017

Lu dans L'Incorrect, à propos du procès du clan Merah :

DLZBAJdXkAAyJgp"[...] On aura beau gloser, s’agiter et chercher à masquer la réalité, le discriminant commun des terroristes islamistes est qu’ils sont ultra majoritairement issus de familles de culture musulmane, qu’ils soient de nationalité française, binationaux ou étrangers en situation irrégulière. L’immigration extra-européenne aura donc été le principal fait générateur de l’apparition d’un islam de combat sur notre sol. Et que faisons-nous collectivement, en France et sur le continent européen, pour réduire le phénomène ? Nul n’a prétendu qu’il serait aisé de répondre à ces défis majeurs. Toutefois, peut-être devrions nous commencer par prendre quelques mesures de bon sens, de celles qui auraient pu permettre d’éviter le double assassinat de deux jeunes filles dans la gare Saint-Charles de Marseille par exemple.

Ahmed H. ? Bachir H. ? Salahdine H. ? Yanis H. ? Autant d’identités derrière lesquelles s’abritait ce délinquant d’habitude (arrêté en situation irrégulière en 2005 en possession de stupéfiants, appréhendé pour port d’arme prohibé en 2014…), qui a égorgé Laura et Mauranne au nom d’Allah. Le vendredi 29 septembre, soit deux jours avant la commission de ses meurtres, ce « vagabond » était une nouvelle fois interpellé à Lyon pour des faits de vol à l’étalage, avant d’être placé en garde à vue puis relâché dans la nature comme il se doit. Par la suite, celui qui s’était présenté comme un ancien « amateur de drogues dures » n’aura pas été placé en Centre de rétention administrative en vue de son expulsion ; faute de place ou pour cause d’absentéisme d’un fonctionnaire, les sources divergent. Reste que la France paie chèrement les conséquences de la loi du 31 décembre 2012 supprimant le délit de séjour irrégulier, alors perçue comme une simple mise à jour du droit français au regard d’arrêts constants de la Cour de justice de l’Union européenne.

De ces « détails », les cerbères de la diversité n’ont cure, préférant dénoncer la société patriarcale ou le système oppressif postcolonial, s’égosillant contre les mesures liberticides que contiendrait en germe le tout petit projet de loi terrorisme porté par le gouvernement… Combien de morts supplémentaires avant que tout ce petit monde ne se décide à déciller leurs yeux et à appliquer la formule employée par Riss sur la dernière couverture de Charlie Hebdo : « Merah, loup solitaire ? Abattez le troupeau ! » ? Peut-être faudrait-il y rajouter les gardiens du troupeau…"

 

 Posté le 5 octobre 2017 à 19h45 par Michel Janva 

Source : lesalonbeige

La lutte contre la théorie du genre et… sa mise en pratique! « Bus Citizen go anti‑genre »

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2017

 

Bus Citizen go anti‑genre

Théorie du genre BusNon à la théorie du genre

Cette initiative a déclenché l’ire de plusieurs collectifs de défense des LGBTIQ (Lesbiennes Gay Bi Trans Intersexuel et « Queer » littéralement « bizarre »).

 

Le journal Libération a notamment publié un article intitulé, je cite : « Bus de la honte : ne laissons pas l’avenir aux réactionnaires ». Le vocabulaire employé par les opposants manque d’originalité : « homophobe, réac, nazie, raciste », tout semble bon à dire. Ce ne sont pas les premières menaces que reçoit l’association.

  

Source et auteur: Bulletin de réinformation, 6.10.2017 ;  ferrer.annick@gmail.com

Meurthe-et-Moselle : un maire recadre le portrait de Macron pour protester contre la baisse de son budget

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2017

Jean-François Damien a réduit d'un tiers la photo officielle du chef de l'Etat dans la salle du conseil municipal de sa commune.

Le maire de Grand-Failly (Meurthe-et-Moselle) devant le portrait "réduit" de Macron en octobre 2017.

Le maire de Grand-Failly (Meurthe-et-Moselle) devant le portrait "réduit" de Macron en octobre 2017. (JEAN-CLAUDE EMMENDOERFFER)

"Comment voulez-vous que je réagisse à mon niveau ?" Depuis quelques jours, le maire de Grand-Failly, commune de 300 habitants située près de la frontière belge, a décidé de réduire le portrait officiel du chef de l'Etat dans sa mairie, détaille Le Républicain Lorrain. Il souhaite ainsi contester la baisse de dotations de l'Etat aux collectivités territoriales : "Jai pensé me mettre en grève, comme le maire d'Evreux, mais ça n'aurait eu aucun impact. Ma commune est trop petite", explique-t-il à franceinfo, jeudi 5 octobre.

Edile de la commune depuis 2001 et membre du conseil municipal depuis 1983, Jean-François Damien déplore "la baisse répétée des subventions de l'Etat" depuis une dizaine d'années. "A chaque fois que le pays va mal, on s'en prend aux collectivités." Cette année, avec la suppression de la taxe d'habitation pour une majorité de contribuables et des contrats aidés, le maire prévoit une diminution importante des services de la commune dès l'année prochaine.

Un tiers d'aide en moins

"Sur les 40 000 euros d'aides provenant de la taxe d'habitation, je vais perdre 13 000 euros l'année prochaine, détaille-t-il. En 2020, il n'y aura sans doute plus rien. On nous parle de compensations, mais je n'ai aucune information de la part de la préfecture ou de Bercy." Quant aux contrats aidés, la commune n'en possède qu'un mais sa présence est "essentielle"."Il rend la vie plus agréable aux habitants. Il s'occupe de l'entretien des espaces verts, du cimetière, il va chercher le courrier pour les personnes âgées ou apporte du pain." Sans compensations financières de la part de l'Etat, le maire prévoit de supprimer le poste, "et ça fera une personne de plus à Pôle emploi". 

Deux employés, sur les quatre de la mairie, pourraient aussi être menacés."J'ai déjà dit à mes deux contrats de 20 heures, que l'un d'entre eux devra partir si la situation perdure." Au total, la mairie devrait perdre un tiers de ses aides. "C'est pour ça que j'ai réduit la photo du chef de l'Etat d'un tiers exactement."

"Outrage au président"

Jean-François Damien a "caché et non déchiré" le tiers du portrait à l'aide d'une feuille A3. Il y a inscrit "1/3 de finance en moins, 1/3 de photo en moins". "La photo reste entière, j'en ai juste caché une part", précise-t-il. Une démarche qui n'a pas été du goût de la préfecture. "On m'a appelé pour me dire que c'était un outrage au président et qu'il pourrait y avoir des poursuites, relate l'élu. Je veux bien, mais j'ai utilisé un moyen à ma portée. Je n'en veux pas personnellement à Macron, je conteste ses décisions."

Jeudi matin, Jean-François Damien a reçu la visite des gendarmes, "ils m'ont autorisé à laisser la photo comme ça tant que je n'ai pas d'ordre de la préfecture". Le maire a déjà reçu le soutien de nombreux homologues de la région. "Ils sont prêts à venir manifester devant la mairie si besoin. Ils vont aussi envoyer un mot à la préfecture pour me soutenir", prévient-il.

 

Source : francetvinfo