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mardi, 01 août 2017

La nouvelle Assemblée ou la philosophie du foutoir

 Publié par Guy Jovelin le 01 août 2017

 

Par André Bercoff

Dans cette humeur selon son style si personnel et si sympathique [Figarovox 28.07] André Bercoff exprime un fort point de vue. Derrière l'amateurisme des députés LREM, les amendements antiracistes liés à la loi de moralisation montrent une volonté de réduire au silence tous ceux qui ne rentrent pas dans les clous de la « police novlangue ». André Bercoff a raison.  LFAR

1134714189.jpgEn politique comme ailleurs, il est peut-être bon de ne rien savoir, mais il ne faut point en abuser. Ils furent nombreux à se réjouir, et légitimement, de l'éruption des jeunes pousses de la société civile dans la République en Marche. Le Monde Nouveau surgissait enfin sur les bancs du Palais Bourbon, balayant les caciques fatigués, les septuagénaires blasés, et les vieilles formations gouvernementales en déroute. Reste qu'être député exige un certain nombre de connaissances quant au fonctionnement de l'appareil législatif : faire la différence entre article et amendement, savoir formuler sa question de façon à ce qu'elle n'apparaisse pas comme un sabir au goût étrange venu d'ailleurs ; de ce point de vue, le présent spectacle apparaît, selon que l'on appartienne à la majorité sonore ou à l'opposition indignée, réjouissant ou navrant.

Force est de reconnaître qu'une dimension quasi zoologique vient d'être atteinte avec des députés qui votent contre un article de la loi de « confiance dans l'action publique » qu'ils avaient pourtant ratifié en commission. Ce qu'on appelle peut-être en psychanalyse la schizophrénie heureuse ; en réalité ici, l'envers d'un amateurisme appelé sans doute à s'estomper quand les néophytes apprendront à la fois la base du métier et la maîtrise de leurs affects. Pour le moment, ils semblent fonctionner à l'aveugle en attendant les instructions de messieurs Ferrand et Castaner, et la baguette du chef d'orchestre de Rugy : en l'absence de ceux-ci, tous les désespoirs sont permis, ce qui laisse aux aimables comédiens de la France Insoumise le loisir de se livrer aux jeux de rôles dont ils sont, faute de vrai pouvoir, si friands.

Mais tout cela n'est que billevesées à côté d'amendements qui viennent d'être votés et qui rendent définitivement inéligibles tout candidat qui se serait livré à des déclarations discriminatoires, injures publiques, provocations à la haine raciale: tout le vocabulaire des associations « droitsdelhommistes » à sens unique, anti-racistes deux poids deux mesures, qui consiste en fait à censurer et à paralyser toute personne qui oserait s'exprimer en dehors des passages cloutés de la police novlangue. Soyons clairs : il ne s'agit en aucun cas ici de cautionner ni d'admettre le racisme d'où qu'il vienne et la haine d'où qu'elle jaillisse. Mais comme la parole dominante et la pensée toujours unique s'attachent à ne culpabiliser et à ne condamner que ceux qui ne pensent pas comme elles, on s'aperçoit que le curseur est mis de façon à ne frapper que d'un côté. Aujourd'hui, cela vise les politiques et déjà les intellectuels, demain les humoristes et bientôt - pourquoi pas - les citoyens. Je relisais récemment une collection du magazine Hara Kiri des années 60-70 ; j'écoutais les monologues de Pierre Desproges, de Coluche et d'autres : ils seraient tous aujourd'hui dans le collimateur de la nouvelle Inquisition. Sous les pavés des faux débats parlementaires, la plage de Big Brother s'étend. Régressivement. Dangereusement.  

André Bercoff

 

Source : lafautearousseau

Banques en crise : l’idée de l’UE, bloquer les comptes bancaires

 Publié par Guy Jovelin le 01 août 2017

 

Depuis qu’ils ont endetté considérablement leur pays respectif, les banques en crise sont un éternel problème de nos gouvernements démocratico-modernes soumis aux diktats financiers des banksters apatrides.

Sauver les banques au bord de la faillite, et non les pauvres épargnants et simples clients, est une règle d’or de l’Union européenne. La nouvelle, éventée par l’agence Reuters, n’a pas fait de vagues en ces temps de chaleur estivale pourtant elle mérite l’attention.

L’Europe des technocrates bruxellois, à travers la présidence estonienne, est en train d’étudier une norme, discutée le 13 juillet dernier, qui permettrait de bloquer, dans des circonstances exceptionnelles, les prélèvement sur les comptes courants et les dépôts afin d’éviter les paniques bancaires dans les institutions financières en difficulté. Dans la pratique les superviseurs européens auraient le pouvoir de congeler, quand ils l’estimeront nécessaire, les comptes pour un maximum de 20 jours ouvrés. En clair pendant un mois il sera impossible aux clients de retirer de l’argent dans des banques en crise !

Actuellement la limite d’impossibilité de retrait est de deux jours et une autre proposition de la commission européenne présentée l’automne dernier prévoyait l’impossibilité de toucher aux comptes en dessous de 100 000 €.

Divers pays et les banques elles-mêmes, car elles pensent que cela décourageraitl’épargne, s’opposent à ce plan. Mais l’Allemagne y est favorable : « Le souhait est de prévenir les paniques bancaires. Ainsi quand une banque est dans une situation critique elle n’est pas poussée à la limite » explique une source proche du gouvernement allemand.

L’idée d’un tel plan d’urgence, qui s’attaque avant tout à l’épargnant, témoigne à lui seul que le système bancaire actuel est au bord de l’effondrement et que l’UE, coursier des banksters, veut être la maîtresse de votre argent.

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

lundi, 31 juillet 2017

Toulouse : depuis presque un an, des migrants dorment dans la cour de leur immeuble

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2017

Crise des migrants

Luc Fournier envisage de fermer la cour avec un cadenas même s’il n’a « pas le droit »./DDM, N. Saint-Affre

Ils se disent « exaspérés ». Depuis des mois, voire un an, des résidents de plusieurs immeubles de l’avenue Etienne-Billières, à Toulouse, sont confrontés à la présence de migrants dans leur cour. « Au début, c’était une tente ou deux. Maintenant, c’est un vrai campement », explique Luc Fournier, président du conseil syndical des résidents.

Chaque matin, les vestiges de la nuit traînent sur le petit carré de pelouse. Poubelles, couvertures, tentes mais aussi, de très fortes odeurs d’urine ou fécales sont devenues récurrentes. « Le jeune homme qui habite en rez-de-chaussée va péter un plomb un jour », craint Luc Fournier. Identifié par la municipalité et la préfecture, le campement de l’avenue Etienne-Billières n’est pas simple à gérer.

D’une part, parce que ces personnes, en majorité des Roms d’Albanie, ne sont jamais les mêmes. Certaines sont relogées, d’autres arrivent. La proximité du centre communal d’action sociale (CCAS) pourrait en partie expliquer l’installation des migrants. « Ce n’est pas de la faute des employés du CCAS, ils subissent une pression constante et doivent s’occuper de tous les cas sociaux de la ville », glisse Nicole Folch, une habitante complaisante mais qui a « besoin d’une solution ». « Ce sont des êtres humains dont les droits sont bafoués dans leur pays. Mais il faut que les autorités compétentes trouvent une solution », souligne-t-elle.

« Je n’ai aucune hostilité contre ces personnes, bien au contraire. Ils me saluent, me sourient… J’apporte de l’eau, des fruits ou des sandwichs aux femmes enceintes et aux enfants en bas âge quand il fait trop chaud mais ça ne peut pas durer ainsi. Pour eux, comme pour nous», poursuit-elle.

Une servitude de passage

L’autre pan du problème concerne le « statut » de ladite cour. « Il y a une servitude de passage avec la rue Adolphe-Coll », signale Luc Fournier. Un portail a bien été installé par la municipalité mais il reste en permanence ouvert. Seul un panneau signale la possibilité de le fermer la nuit.

« Ce qui ne rimerait à rien puisqu’ils sont déjà là ! », estime Nicole Folch. « C’est une situation ubuesque ! Il suffirait pourtant qu’ils le ferment avec un code à communiquer aux résidents », poursuit la retraitée.

D’autant que selon eux, le passage tout proche de l’église de la Patte-d’Oie suffit amplement pour les piétons qui souhaitent faire la jonction entre la rue Adolphe-Coll. Qu’à cela ne tienne, Luc Fournier a acheté un cadenas. « La mairie me dit qu’elle n’est ni pour, ni contre », explique-t-il. Dernièrement, un courrier a également été adressé à Jean-Luc Moudenc, le maire.

Contactées ce lundi, ni la municipalité, ni la préfecture n’ont été en mesure de livrer des éléments de réponse sur la suite qu’elles envisagent de donner, ou non, au problème.

380 euros mensuels par immigré accueilli chez vous

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2017

De toutes les façons, on nous répète qu’il faut accueillir toujours plus d’immigrés.

Dernière nouveauté pour inciter les Français à se faire les complices de cette immigration de grand remplacement : offrir 380 euros par mois et par immigré pour en accueillir chez vous !

Ce « dispositif innovant » a été présenté le lundi 3 juillet au conseil départemental du Nord par Doriane Becue, vice-présidente en charge de l’Enfance, de la Famille et de la Jeunesse.

« Nous allons faire appel à des familles d’accueil qui recevront un agrément du département. Ces familles seront bénévoles mais le département leur accordera une indemnité pour frais d’entretien de 380 euros par mois. », a expliqué Doriane Becue

Jean-René Lecerf (divers droite), président du conseil départemental du Nord, a renchéri, déclarant le même jour devant les élus départementaux : « Nous faisons appel à la citoyenneté ! »

Seule condition : l’immigré accueilli sera un « mineur non accompagné » ou supposé tel, car beaucoup de ces immigrés tentent de se faire passer pour des mineurs, ayant bien compris les avantages que cela apporte.

Au mois de juin 2017, le conseil départemental du Bas-Rhin avait pris une disposition similaire appelée « Réseau d’accueil solidaire  » présentée par Frédéric Bierry (LR). Chez les Alsaciens, l’indemnité par immigré est un tout petit peu revue à la baisse : 373,50 euros par mois. Mais le conseil départemental garantit en supplément, pour chaque immigré dit « mineur non accompagné » accueilli chez vous, « une prise en charge de sa vêture, d’argent de poche et de possibilités de loisirs « .

Dans la Vienne, le conseil départemental présidé par Bruno Belin (LR) offre 426 euros par mois et par immigré accueilli chez vous.

Selon une évaluation récente, les conseils départementaux consacrent près de 50% de leur budget d’aide à l’enfance à des mineurs étrangers. En effet, tous les immigrés reconnus « mineurs non accompagnés » doivent être pris en charge non par le budget de l’Etat mais par celui des conseils départementaux.

 

Source : medias-presse.info

CASIER JUDICIAIRE VIERGE POUR LES ELUS...

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2017

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Source : policeetrealites