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vendredi, 28 juillet 2017

«On va aller les chercher» : Macron veut transférer les migrants musulmans directement en France depuis la Libye et le Niger

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2017 

BREIZATAO – NEVEZINTIOU (27/07/2017) Lors d’une visite d’un centre pour migrants clandestins à Orléans, Emmanuel Macron a annoncé la création de centres en Libye et au Niger afin de les transférer directement vers la France, sans avoir à traverser la Méditerranée.

«L’idée est de créer en Libye des hotspots afin d’éviter aux gens de prendre des risques fous alors qu’ils ne sont pas tous éligibles à l’asile. Les gens, on va aller les chercher. Je compte le faire dès cet été», a annoncé Emmanuel Macron à Orléans.

«Je veux envoyer des missions de l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides) dans les hotspots italiens et je suis prêt à en envoyer en Libye», a-t-il précisé, évoquant aussi la possibilité de créer de tels centres au Niger.

«D’ici la fin de l’année, je ne veux plus personne dans les rues, dans les bois», a déclaré jeudi le président Emmanuel Macron dans un discours sur l’accueil des migrants, lors d’une cérémonie de naturalisation à la préfecture d’Orléans.

«La première bataille: loger tout le monde dignement. Je veux partout des hébergements d’urgence. Je ne veux plus de femmes et hommes dans les rues», a-t-il ajouté.

(Source : breizatao via Russia Today)

Retour à Maurras : « Ce pays-ci n'est pas un terrain vague ... »

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2017

 

L’hospitalité 

Il s'agit de savoir si nous sommes chez nous en France ou si nous n'y sommes plus ; si notre sol nous appartient ou si nous allons perdre avec lui notre fer, notre houille et notre pain ; si, avec les champs et la mer, les canaux et les fleuves, nous allons aliéner les habitations de nos pères, depuis le monument où se glorifie la Cité jusqu'aux humbles maisons de nos particuliers. Devant un cas de cette taille, il est ridicule de demander si la France renoncera aux traditions hospitalières d'un grand peuple civilisé. Avant d'hospitaliser, il faut être. Avant de rendre hommage aux supériorités littéraires ou scientifiques étrangères, il faut avoir gardé la qualité de nation française. Or il est parfaitement clair que nous n'existerons bientôt plus si nous continuons d'aller de ce train. (…)

immigration_paris-copie.jpgCe pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie.

(…) La jeune France d'aujourd'hui est en réaction complète et profonde contre ce double mal. Elle rentre chez elle. Ses pénates intellectuels, ses pénates matériels seront reconquis. Il faut que l'ouvrier français, le savant, l'écrivain français soient privilégiés en France. Il faut que les importations intellectuelles et morales soient mises à leur rang et à leur mérite, non au-dessus de leur mérite et de leur rang. L'étiquette étrangère recommande un produit à la confiance publique : c'est à la défiance du pays que doit correspondre au contraire la vue de tout pavillon non français. Qu'une bonne marque étrangère triomphe par la suite de cette défiance, nous y consentons volontiers, n'ayant aucun intérêt à nous diminuer par l'ignorance ou le refus des avantages de dehors, mais l'intérêt primordial est de développer nos produits en soutenant nos producteurs. Le temps de la badauderie à la gauloise est fini. Nous redevenons des Français conscients d'une histoire incomparable, d'un territoire sans rival, d'un génie littéraire et scientifique dont les merveilles se confondent avec celles du genre humain.  

Charles Maurras 

L’Action française, 6 juillet 1912

 

Source : lafautearousseau

Quelques mois après avoir été condamné à cinq ans de prison ferme, le chauffard qui a tué Merel De Prins (12) est libre…

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2017 

Rédaction en ligne 

Quelques mois après avoir été condamné à cinq ans de prison ferme pour avoir tué la jeune Merel De Prins suite à un accident en octobre 2015, Muhammed Aytekin est déjà « libre » : il a été libéré sous conditions.

Photonews

Début 2017, Muhammed Aytekin, 22 ans, était condamné à cinq ans de prison ferme par le tribunal de police de Vilvoorde. Le jeune homme avait, en octobre 2015, percuté mortellement la jeune Merel De Prins, 12 ans, alors qu’elle circulait à vélo sur une piste cyclable. Sous le coup d’une déchéance du droit de conduire au moment du drame, le conducteur avait pris la fuite et s’était réfugié à l’étranger avant de se rendre quelques jours plus tard.

Ce mercredi, nous apprenons que Muhammed Aytekin va être libéré sous conditions, cinq mois après sa condamnation. Selon le Nieuwsblad, il souffrirait d’une maladie au niveau des yeux et « il risque de devenir aveugle », selon son avocat. Le condamné aurait déjà passé une série de tests et a été opéré, mais il est en pleine revalidation. Ces raisons ont poussé le tribunal d’application des peines à le libérer sous conditions.

Muhammed Aytekin ne doit pas porter de bracelet électronique. 

 

Source : sudinfo.be

jeudi, 27 juillet 2017

Au pied du mur, le Collectif Séméac fait marche arrière

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2017

Images : Infos-Toulouse

Suite du feuilleton du Mur de Séméac, Infos-Toulouse s’est rendu dans la banlieue de Tarbes pour aller à la rencontre des habitants et des membres du Collectif Séméac. 

Dos au mur, les habitants de Séméac barrent la route aux migrants. Cette petite ville des Pyrénées est dans la tourmente depuis qu’un collectif d’habitants a érigé un mur pour s’opposer à la venue de clandestins dans un ancien hôtel Formule 1.
Situé dans un quartier pavillonnaire de la banlieue de Tarbes, cet établissement, racheté par l’association Adoma, venant en aide aux clandestins, doit accueillir prochainement plus de 80 migrants.

Initialement prévu le 2 septembre, la date de leurs arrivées a finalement été discrètement avancée d’un mois, afin d’éviter une réaction des riverains. Des riverains majoritairement retraités et habitants dans une zone pavillonnaire calme et sans problème.
Face à cette arrivée de clandestins, le Collectif Séméac s’est formé et fort d’une centaine de sympathisants, a édifié lundi matin un mur de 1,80 mètres de haut et 18 mètres de long, barrant ainsi l’accès au nouveau centre d’hébergement.

Images : Infos-Toulouse

Le mur détruit par le Collectif Séméac lui même

Après une tentative de destruction du mur dans la nuit précédente et un appel à un rassemblement dans la journée de mercredi, les Séméacais ont décidé de démonter leur ouvrage en guise d’apaisement. En effet, une réunion discrète a eu lieu mardi après-midi entre les représentants des riverains et les responsables d’Adoma afin de préparer le rendez-vous officiel de vendredi. Si rien n’a été signé, le représentant de l’Adoma a proposé des garanties qui ont ravi les membres du collectif présent. Ces garanties doivent être actées et signées lors de la réunion officielle  de vendredi. C’est donc à l’issue de cette échange que nous connaîtrons la teneur de ces engagements.

Cette action, émanant de simples citoyens, est la juste réaction à une volonté politique d’imposer  sur tout le territoire ces centres d’accueil. Après le vivre-ensemble, le vivre-avec ! Si Adoma assure que les clandestins arrivant cet été ne seront là que pour 9 mois, beaucoup craignent que la situation ne perdure et que leurs présences ne soit prolongées indéfiniment …

85 migrants arriveront donc à partir de la fin août dans la ville de Séméac, au lieu du 2 août comme il était pourtant prévu initialement.

Images : Infos-Toulouse
Source : infos-toulouse

Invasion migratoire : Herrou en taule, sa maison perquisitionnée serait « dans un état lamentable, jonché d’excréments »

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2017

26 juillet 2017 par Pierrot

Cédric Herrou (le « passeur de migrants ») a été déféré à Grasse où il est actuellement incarcéré. L’ouverture d’une information judiciaire est imminente. Pour faire un point complet sur ces éléments, une conférence de presse est prévue à Grasse aujourd’hui à 14h30 au palais de Justice.

La garde à vue et les perquisitions chez Cédric Herrou ont été fructueuses. Selon nos informations, les force de l’ordre ont retrouvé son lieu d’habitation “dans un état lamentable, jonché d’excréments” selon une source proche du dossier. Les forces de l’ordre ont consigné dans la procédure des vidéos et des photographies. Les enquêteurs ont également découvert que Cédric Herrou fournissait de fausses attestations de demande d’asile. Toutes ces perquisitions ont entraîné une garde à vue et une incarcération à Grasse.

Source : contre-info via valeursactuelles