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lundi, 24 juillet 2017

Le député européen José Bové demande à Macron d’ouvrir les frontières pour accueillir les immigrés…

Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2017

José Bové, député européen EELV, a lancé un appel au président de la République Emmanuel Macron pour que la France « accepte d’ouvrir ses frontières » aux « réfugiés ».

Samedi, José Bové participait à un rassemblement pro-immigrés à Tende (Alpes-Maritimes) au cours duquel il a réclamé que la France accueille encore plus d’immigrés.

« La France n’assume pas son rôle d’accueil » et le défenseur des droits Jacques Toubon « le dit aussi », a déclaré José Bové au cours d’un rassemblement de soutien à l’association locale Roya Citoyenne, qui vient en aide aux immigrés illégaux arrivant par l’Italie voisine.

Le député européen écologiste souhaite que la France « accepte d’ouvrir ses frontières et accueille un nombre de réfugiés qui corresponde à notre pays » et veut « faire sauter la convention de Dublin », qui tend à forcer les immigrés de déposer leur demande d’asile dans le premier pays qui les accueille.

Question toute simple : combien d’immigrés sont déjà logés chez ce député européen, grassement payé par les contribuables ?

 

Source : medias-presse.info

Au président de l’actuelle République , chef des armées : Monsieur Emmanuel Macron.

 

Au président de l’actuelle République , chef des armées : Monsieur Emmanuel Macron.

Le 14 Juillet 2017.

téléchargement.jpgLettre ouverte d’Alexis Arette , 24 La Carrère .64230 MOMAS
Paysan, combattant volontaire, Chevalier de la Légion d’honneur

Monsieur le Président,

Je viens d’assister sur le petit écran, aux cérémonies commémoratives de notre fête nationale, et je vous ai quelque reconnaissance de la façon parfaite dont elles se sont déroulées, jusqu’au moment ou vous avez pris la parole pour clôturer les cérémonies.

En effet, vous avez cité comme date représentative de ce qu’a voulu le peuple Français, le 14 Juillet 1789. Or ce 14 Juillet 1789 fut un sanglant malentendu attisé par les fausses accusations  portées par des révolutionnaires comme Camille Desmoulins, avec l’appui des bas-fonds, et, selon Marat,  une bande d’émeutiers Allemands. Les défenseurs de la Bastille qui s’étaient rendus sur la promesse de la vie sauve furent égorgés ; 7 prisonniers furent libérés : Quatre faussaires qui attendaient leur jugement, deux qu’il fallut ré-interner, et un incestueux qui avait violé sa sœur. Je ne pense absolument pas Monsieur le Président que vous ayez voulu célébrer cette libération.

Après ces tristes évènements, la sagesse sembla prévaloir, et le 14 Juillet 1790, la fête de la Fédération, parut ouvrir une ère nouvelle, celle d’une monarchie Constitutionnelle. C’est cette date qui fut retenue en 1880, comme notre fête Nationale. Le Symbole fut cependant trahi, et la République ne fut jamais fédérale.

Il est vrai que le fête  de la Fédération ne put contrer le travail des sectes , et ce fut, avec les guerres de religion, l’épisode le plus honteux de notre histoire que l’instauration de la terreur sous l’égide de la déesse Raison : Ce fut donc le génocide de la Vendée, avec les premiers fours crématoires, la persécution anti-Catholique, la guillotine pour les suspects,  et le  pillage de l’Europe par les soldats de l’an II,  avant que la révolution bottée de Napoléon n’inaugure de plus vastes charniers.

Je pense Monsieur le Président que vous devriez reconnaître votre erreur de datation, et ne point laisser penser que les atrocités de 1789, furent dans l’esprit de ce qui fut tenté lors de la fête de la Fédération. Peut-être même est-ce de cette dernière que vous devriez vous inspirer.

Permettez-moi d’ajouter une remarque à la liberté dont j’ai usé pour vous reprendre. J’ai appartenu, et aux postes les plus exposés, à cette armée Coloniale, suspecte d’avoir soutenu cette colonisation dont vous avez dit tout le mal que vous pensiez à Monsieur Boutéflika, qui en pense autant, au point qu’il a trouvé juste de faire crever les filles pied-noires dans ses bordels, après avoir dépecés et les avoir émasculés  un certain nombre de nos soldats prisonniers. J’ai totalement désapprouvé vos propos. Il est vrai que vous êtes le chef des armées, donc maître de la stratégie républicaine, mais en tant qu’amateur assez éclairé de la chose, je pense avoir un mot à dire : L’un de mes petits- Fils à qui j’ai pu, en tant qu’ancien, remettre la fourragère à St Maixent, 60 ans après y avoir reçu la mienne, n’a pas renouvelé son engagement, après avoir vécu le désarroi d’une armée, dont la crapule socialiste avait entrepris le démantèlement. Ce n’est pas nouveau. La gauche Française n’a jamais aimé nos soldats. C’est Clémenceau qui,  lors des révoltes des « Poilus » en 1917, proposait d’en fusiller un sur 10 ! Pour l’exemple !

De même, lors de la guerre d’Indochine, mes camarades parachutistes du 5e Bataillon, durent  se faire effectuer à leurs frais les cartouchières correspondantes aux chargeurs de leurs armes, celles livrées étant des vieilleries conçues pour d’autre dimensions. Il fallut attendre le général de Lattre pour mettre de l’ordre. Mais le général avait les pleins pouvoirs. C’est vous aujourd’hui qui les détenez. Et vous en usez vis-à vis de notre armée de la façon qui convient le plus à nos ennemis !

C’est-à-dire Monsieur le Président que je partage entièrement la position du Général de Villiers, en fonction de cette solidarité qui unit les hommes décidés à mettre leur peau au service de la patrie.

C’est immédiatement que vous devriez rogner sur les dépenses festives de la République,  rabattre les émoluments de vos députés, de vos hauts fonctionnaires, supprimer les honteuses faveurs et les prébendes sectaires du gouvernement précédent,  et ramener le tout au niveau nécessaire  pour donner au budget de  notre armée les moyens de sa mission.

Sinon ?

Et bien Monsieur le Président cela me rappelle une opération dans les monts du Tonkin, ou un chef de bataillon imbécile nous avait engagés, dans une gorge qui me rappelait le val de Roncevaux. Légitimement inquiet de ce qui pouvait survenir du haut des pitons, je demandai son avis à l’adjoint au chef de section,  mon camarade Rafaldi qui avait déjà une longue expérience : « Franchement, qu’en pensez-vous Rafaldi ? ». Il tourna vers moi un visage tragique, et fut précis : « Je pense que nous allons nous faire couper les couilles ! »

Nous sûmes le lendemain, que les bataillons Viets qui tenaient les hauteurs avaient reçu l’ordre de se réserver pour l’attaque générale du Jour suivant. Ce qui ne fut pas triste.

Je crains, Monsieur le président, que nos soldats n’ayant pas les moyens de leur mission, soient exposés au pire quand les ennemis le décideront. Et je crains qu’après nos soldats, comme nous en a averti le massacre de Nice, ce ne soit la population civile qui paie les frais de notre gabegie. Je crains encore que dans le désastre économique qui se prépare pour l’Algérie,  nous ne puissions résister au déferlement de millions de jeunes Algériens sur notre sol. Car la guerre, et la guerre de défense immédiate, monsieur le Président, ne se fait pas avec de l’humanisme en bouche, mais avec en main de bonnes armes !

Au cas où votre majorité faiblirait devant les sacrifices nécessaires, il vous sera facile de la remplacer !  Tant d’aspirants attendent au portillon : Mais vous ne remplacerez pas une armée découragée. Les gens qui acceptent de risquer leur vie ne courent pas les rues.

Vous ayant dit ce que j’ai cru devoir vous dire  en qualité de vétéran désireux d’épargner le pire à ses jeunes camarades et a la nation, je vous prie de croire, Monsieur le Président, à mes meilleurs souhaits pour l’exercice de vos hautes fonctions.

Alexis Arette.

dimanche, 23 juillet 2017

Terrible danger en vue pour la santé : les sous médecins peuvent exercer librement. Merci Macron !

Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2017

 par   23 juillet 2017

Terrible danger en vue pour la santé : les sous médecins peuvent exercer librement. Merci Macron !Nous nous plaignons tous de voir de plus en plus de médecins étrangers dans notre pays ; surtout les hôpitaux. Ils semblent venir de l’Europe mais aussi du monde entier. Le Figaro du 17 juillet explique  qu’« alors qu’en France médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes, pharmaciens et infirmiers sont soumis à une sélection rigoureuse et un cursus exigeant pour décrocher leur diplôme, la France va permettre aux ressortissants de l’Union européenne, même s’ils n’ont pas suivi la même formation, de s’installer et d’exercer dans l’Hexagone ».  Telles sont les directives européennes qui viennent d’être votées en Commission des affaires sociales en France. Pire encore, les médecins étrangers pourront exercer même s’ils n’ont qu’une formation partielle dont d’ailleurs la qualité n’est pas mesurable ni vérifiable. Ils auraient le droit à un « exercice partiel ». Ce concept n’est pas défini car incohérent. Un homme malade n’est pas partiel. En clair des médecins étrangers vont exercer sans avoir les qualifications nécessaires. Ce seront des sortes d’officiers de santé comme il y en avait jadis dans l’armée. Des sous-médecins qui se débrouillaient comme ils le pouvaient.

Bien évidemment les professionnels de la santé sont vent debout contre cette décision. Nos malades vont être littéralement en danger. Le ministère de Mme Buzyn prétend qu’il sera particulièrement vigilant. De quoi et comment ? Déjà les médecins conseils de la SS ne sont pas assez nombreux en France pour faire leur travail de surveillance. La Sécurité Sociale demande désormais à des médecins de ville de vérifier les arrêts de travail des confrères. Ainsi comment les médecins conseils auront-ils le temps de s’occuper en plus de la justesse des prescriptions de ces pseudo-médecins ? On racontera cela à un cheval de bois. « L’accès de ces pseudo-médecins sera particulièrement vigilant ». Il faudra donc trouver des médecins pour les surveiller. Comme la France manque de médecins, on fera rentrer un peu plus de ces étrangers pour libérer des médecins contrôleurs : un cercle vicieux.

Les directives comme par hasard viennent de l’Europe. L’Allemagne a décidé de refuser ces sous-médecins « sauf exception ». La France va faire le contraire : « autorisation sauf exception ».

Comment en sommes arrivés là ? Le nombre d’étudiants qui étaient reçus au concours d’entrée était en 1972 de 8588. Sous le gouvernement Juppé (1995), il tombe à 3500. Ce ministre a considéré qu’il y avait trop de dépenses de santé car trop de médecins. Il a ainsi encore réduit le nombre d’étudiants réussissant le concours d’entrée et poussé les médecins à partir prématurément par le MICA (Mouvement d’incitation à la cessation d’activité). Ils furent 10.600 à partir. Résultat, dix ans plus tard la pénurie s’installait et les médecins étrangers ont commencé à affluer. Le numérus clausus a été augmenté ensuite mais insuffisamment et trop tard. Par milliers des étudiants français sont éliminés au concours d’entrée. On fait donc appel à des « sous-médecins » venant d’ailleurs.

On va être servis, croyez-moi…

Telle est une des conséquences de l’Ordre Mondial qui veut à tout prix détruire les nations en mélangeant les peuples.

Jean-Pierre Dickès

 

Source : medias-presse.info

C'ÉTAIT DANS "FRANCE-SOIR" JUILLET 1951, LA MORT DU MARÉCHAL PÉTAIN

Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2017

Six ans après son procès à la Libération, le maréchal Pétain est mort en captivité à l'île d'Yeu le 22 juillet 1951. Ses avocats n'ont pu obtenir que son corps, comme il le souhaitait, soit transféré à l'ossuaire de Douaumont, près de Verdun, haut lieu de mémoire des soldats de la Première guerre mondiale.

La Une du 24 juillet 1951.
©DR

Auteur : Jean-Michel Comte

C'est à 95 ans, à Port-Joinville sur l'île d'Yeu (Vendée), où il était détenu et où il est toujours enterré, que le maréchal Pétain est mort le lundi 23 juillet 1951. Ce jour-là, dans sa 8e et dernière édition (datée mardi 24), France-Soir titre sobrement: "Pétain est mort à 9h22".  

"Au nom de la veuve, les avocats vont demander le transfèrement à Douaumont" du corps du défunt, ajoute le quotidien du 100 rue Réaumur. Une demande qui leur sera refusée, mais que ses partisans continuent encore aujourd'hui de réclamer: "L'illustre soldat repose provisoirement à l'île d'Yeu, en attendant sa réhabilitation et son retour au milieu de ses Poilus à l'Ossuaire de Douaumont où sa place est réservée", expliquait ces dernières années le site internet dédié à sa mémoire.

En 1951, quand s'éteint le maréchal Pétain, le président de la IVe République est Vincent Auriol et le troisième gouvernement Henri Queuille vient de tomber après seulement quatre mois aux affaires, ayant juste eu le temps de décider le lancement de l'emprunt Pinay. Le second gouvernement René Pleven lui succèdera le 11 août.

Philippe Pétain était incarcéré à l'île d'Yeu depuis sa condamnation, en 1945, par la Haute Cour, pour collaboration avec l'ennemi, à la peine de mort, peine commuée en réclusion à perpétuité à la demande de ses juges, en raison de son âge. Détenu dans le fort de Pierre-Levée (surnommé "la Citadelle"), il n'a été autorisé que le 29 juin 1951 à s'installer dans une chambre médicalisée de Port-Joinville, en raison de la dégradation de son état de santé.

Surnommé "le vainqueur de Verdun" en 1916, nommé maréchal de France en 1918, élu à l'Académie française en 1929, ambassadeur de France en Espagne en 1939, Philippe Pétain avait été rappelé aux affaires en mai 1940, au moment de l'invasion allemande, par Paul Reynaud. Il lui succédera comme président du Conseil, avant de signer l'armistice avec l'Allemagne, de se nommer chef de l'Etat et d'installer son régime à Vichy.

Chef de l'Etat le plus âgé de l'histoire de France (il a 84 ans en 1940), Pétain sera à la tête du régime de Vichy du 11 juillet 1940 au 19 août 1944.

Son discours le plus célèbre sera son intervention radiodiffusée du 17 juin 1940 où il appelle l'armée française à cesser les combats et où il annonce faire "don de sa personne à la France" en vue d'installer son régime. Le lendemain, de Londres, De Gaulle lancera son célèbre appel à la résistance.

A la fin de la guerre, emmené contre son gré par les Allemands à Sigmaringen (Allemagne) en août 1944 puis réfugié en Suisse, le maréchal Pétain demandera à rentrer en France en avril 1945. Son procès débutera le 23 juillet et s'achèvera le 15 août.

Il mourra en détention six ans, jour pour jour, après le début de ce procès. Ce 23 juillet 1951, France-Soir ne consacre qu'une partie de sa Une à l'événement. Les deux autres gros titres sont les obsèques, à Amman, du roi Abdallah Ier de Jordanie assassiné trois jours plus tôt, et la 18e étape du Tour de France, Avignon-Marseille, gagnée par l'Italien Fiorenzo Magni sans menacer le maillot jaune du futur vainqueur, le Suisse Hugo Koblet.

(Voir ci-dessous, dans les archives de l'INA, l'ouverture du procès Pétain en 1945):

 

Source : francesoir

Merci, M. Hulot !

Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2017

POSTÉ LE 18 JUILLET , 2017, 2:20
 

les4verites

Nous avons un nouveau ministre écolo, qui prône, non pas l’écologie, mais « l’écologisme ».

Il est, comme tous ses confrères, animé d’une idéologie mortifère pour la France.

Il envisage de fermer 17 réacteurs nucléaires d’ici à 2025.

Le nucléaire est donc dangereux ? Alors, pourquoi prendre cette décision imbécile pour seulement 17 réacteurs, alors que la France en compte 58 ? Si le nucléaire est dangereux, alors, il faut les fermer tous, de toute urgence.

Et l’on notera que, pour fermer 17 réacteurs, cela va déjà coûter une quinzaine de milliards d’euros.

La fermeture de ces 17 réacteurs va nécessiter de construire plus de 13 000 éoliennes, jolies et agréables à voir dans nos paysages.

Nous allons alors devenir encore plus dépendants de la Chine qui nous vend les métaux rares indispensables pour faire tourner ces équipements. Bravo pour l’indépendance énergétique de la France !

Mais ces éoliennes, qui sont des EnRi, le « i » voulant justement dire « intermittentes » (ce que M. Hulot se garde bien de dire à la télévision, pour ne pas effrayer le bon peuple) nécessitent de mettre en route des centrales aux énergies fossiles (fuel, charbon, gaz, ou lignite comme en Allemagne).

M. Hulot semble n’avoir rien compris à la COP 21, qui a pour objectif de réduire l’impact carbone, car il est dit qu’un KW fourni par une EnRi doit être complété par un KW produit par des énergies fossiles. Bravo pour le CO2 et merci M. Hulot qui va ainsi pouvoir augmenter considérablement la taxe carbone !

Et je ne parle pas de la CSPE, que vous voyez sur vos factures d’électricité, et qui va doubler ou tripler dans les prochaines années, pour développer plus d’EnRi !

Et je ne parle pas non plus du prix du KW/h que nos voisins allemands paient en raison de leur abandon du nucléaire et qui est 70 % plus élevé que le nôtre. Voilà la prouesse de M. Hulot : doubler ou tripler le prix du KW/h des Français et amener la France à être, comme l’Allemagne, le plus pollueur en CO2 de l’Europe. Encore merci, M. Hulot !

Je dirai encore un mot des automobiles qui vont rouler avec autre chose que du gazole ou de l’essence.

Voilà encore une utopie « écologiste ». Parcourant plus de 25 000 km par an, je me demande comment je ferai avec un véhicule électrique que je devrai recharger tous les 300 ou 400 kilomètres.

Mais là n’est pas le problème majeur : pensez aux poids lourds, aux tracteurs agricoles et aux bateaux.

Les constructeurs vont-ils pouvoir trouver des solutions d’ici à 2030 ? J’en doute et j’en conclus que les élucubrations de M. Hulot ne sont encore que des manifestations de com, comme sait si bien le faire Macron. Et, là encore, merci M. Hulot !

Je me demande pourquoi ce type n’est pas resté à faire de l’hélicoptère autour d’Ushuaïa. Il était beaucoup moins nuisible qu’aujourd’hui.

 

Source : les4verites