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samedi, 24 décembre 2016

Crèche à Balma : Le spectre rouge plane encore

 Publié par Guy Jovelin le 24 décembre 2016

Le catholicisme s’effondre à mesure que le rationaliste, le laïcisme et l’individualisme se répandent dans ce qui demeure du corps social. « Les frissons sacrés de l’extase religieuse » ont été noyés, tandis qu’un nouvelle religion est née. Celle des temples.
Et celui dont-on parle en cette fin d’année est le grand temple de la consommation de Noël. En son sein, des âmes vagabondes, orphelines du sacré, se repaissent des derniers biens à la mode. Elles quitteront le temple, franchissant Jakin et Boaz, délestées de leurs ressources – durement obtenues –, les bras chargés de choses qui ne les rendront pas meilleures : ce ne sont que d’éphémères consolations.

Pendant ce temps, à Balma, à quelques stations de métro du Capitole, une énième crèche de Noël fait débat. Après qu’une d’entre elles vient d’être éradiquée à Hénin-Baumont à la suite d’une décision du Tribunal Administratif, une association aimerait que le même destin soit réservé à celle de Balma. Cette association, prénommée « Fédération de la Libre pensée » estime que l’installation de l’objet est une « provocation » et accuse le maire « d’autocratie », et ajoute :

« Dans le contexte éminemment fragile que nous connaissons, le moment est à la promotion des valeurs laïques et républicaines, protégeant la liberté de conscience, la liberté, l’égalité et la fraternité, non pas à l’exacerbation des rivalités religieuses et ethnique. » http://federations.fnlp.fr/spip.php?article1596

Mais de quelle liberté de conscience parlent-ils lorsqu’ils proclament sur leur site, en véritable devise : « Ni dieu, ni maître, à bas la calotte et Vive la Sociale ! » ? On ne sait pas vraiment. En revanche, ce qu’on sait, c’est qu‘ils ont obtenu de la mairie le retrait de l’archange Gabriel. Celui-là même qui repousse les esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes.

La clique anarcho-libertaire Toulousaine a donc décidé de déposer un recours pour excès de pouvoir auprès du tribunal administratif de Toulouse.

Autour de cette actualité, devenue si fréquente, deux choses sont remarquables :
– La capacité de la société à se contredire, lorsqu’elle se défait de dieu pour se soumettre au marché et à la pensée préfabriquée.
– La détermination de faux penseurs à se lancer dans un hallali contre une bête crevée qu’est le catholicisme moderne alors que les démonstrations de force islamiques se font de plus en plus présentes.

Pauvres fous !

 

Source : infos-toulouse

vendredi, 23 décembre 2016

Elections législatives 2017

Aucun texte alternatif disponible.

Les 4 chiffres alarmants à connaître sur la dette publique française

Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2016

Par Marie Visot

Le ministère de l'Économie et des Finances.

L'Insee a annoncé ce vendredi une légère baisse de la dette publique au troisième trimestre, à 2160,4 milliards d'euros, soit 97,6% du PIB . Le point sur une situation qui ne cesse de se dégrader.

2160,4 milliards d'euros

C'est, selon l'Insee, le niveau de l'endettement du pays à la fin du troisième trimestre 2016. Ce chiffre est en baisse de 10,3 milliards par rapport au trimestre précédent. Rapportée à la richesse nationale, cette dette de l'ensemble des administrations publiques, mesurée selon les critères de Maastricht, atteint 97,6% du Produit intérieur brut (PIB), contre 98,4% à la fin du deuxième trimestre de l'année. La France emprunte toujours plus sur la première moitié de l'année, ce qui augmente rapidement son endettement, avant que celui-ci ne reflue sur la seconde moitié. À la fin du troisième trimestre 2015, la dette avait ainsi baissé de 2,2 milliards d'euros par rapport au trimestre précédent.

0,7%

C'est le taux à 10 ans auquel emprunte la France ces derniers jours. C'est plus qu'il y a quelques semaines -il a baissé jusqu'à 0,03% en septembre. Mais largement moins élevé qu'avant la politique monétaire accommodante mise en place par la BCE. L'Allemagne, elle, emprunte sur la même période à 0,4%.

96% du PIB

Le projet de loi de Finances pour 2017 prévoit une dette ramenée à 96% du PIB l'année prochaine, après 96,1% cette année. Certes, ce serait la première fois depuis 10 ans que la courbe repartirait très légèrement à la baisse. Mais les astuces comptables utilisées par le gouvernement pour boucler son budget 2017, ainsi que les hypothèses optimistes sur lesquelles il a été construit, rendent sceptique sur le scénario de Bercy prévoyant un déficit public à 2,7% en 2017, et donc un reflux de la dette. D'autant qu'entre-temps l'élection présidentielle aura changé la donne, rendant presque automatiquement caduques les prévisions de l'année prochaine.

Juin 2014

C'est la date à laquelle la dette française a dépassé la barre symbolique de 2000 milliards d'euros. Alors que la dette hexagonale était de 12% du PIB en 1974, 20% en 1981, 50% en 1994, elle atteignait 60% en 2002, la limite fixée par le Pacte de stabilité, et n'est jamais redescendue ensuite. En 2003, elle dépassait le niveau déjà pharaonique de 1000 milliards d'euros -même si ce niveau semble dérisoire aujourd'hui.

 

Source : lefigaro

Le cri de détresse des agriculteurs français

Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2016

par 22 décembre 2016

 

A Madrid, les catholiques répondent par des centaines de crèches de Noël au laïcisme du maire

Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2016

par 22 décembre 2016

Espagne – Manuela Carmena, maire de Madrid et membre du parti d’extrême gauche Podemos, a trouvé un moyen pour faire parler d’elle dans tout le royaume hispanique : interdire la présence d’une crèche de Noël à la fameuse Puerta de Alcalá de la capitale espagnole. Un geste antichrétien qu’elle avait déjà fait l’année dernière, n’autorisant que des décorations sans connotation religieuse chrétienne pour des “fêtes” dès lors totalement dénaturées. Comment fêter Noël sans fêter la Nativité ? Absurde. L’extrême gauche athée se trouve ainsi main dans la main avec l’hyper-capitalisme des multinationales et le Père Noël de Coca-Cola…

Mais la réaction des Madrilènes est exemplaire : jour après jour, ils sont des centaines à venir y déposer une crèche de Noël et s’y faire photographier ! Sur les réseaux sociaux, les messages abondent pour rappeler que l’Espagne est catholique et doit le rester.

 

Source : medias-presse.info