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jeudi, 15 décembre 2016

Terrorisme : cinq individus préparaient un attentat, trois d'entre eux arrêtés à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre2016

Trois hommes ont été arrêtés, mardi 13 décembre 2016, à Toulouse, dans le cadre d'une vaste opération antiterroriste, concernant cinq personnes soupçonnées de préparer un attentat.

Trois hommes ont été interpellés, mardi 13 décembre, à Toulouse (photo d'illustration : DGPN-SICOP)
Trois hommes ont été interpellés, mardi 13 décembre, à Toulouse (photo d'illustration : DGPN-SICOP)

Les faits se sont produits mardi 13 décembre 2016, dans un quartier sensible de Toulouse. Au petit matin, trois hommes ont été interpellés par une unité de la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI), dans le cadre d’une commission rogatoire mandatée par un magistrat du parquet antiterroriste de Paris, alors qu’ils étaient en passe de quitter la France pour partir faire de le jihad, a rapporté La Dépêche.

Ils préparaient un attentat

D’après nos informations, ces trois hommes feraient partie d’un groupe de cinq personnes, suspectées de fomenter un attentat sur le territoire national, et qui auraient toutes été interpellées. Les trois individus ont été placés en garde à vue, mardi, au commissariat central de police, à Toulouse.

 

Source : actu.cotetoulouse

Slovaquie : « la tolérance, c’est fini »

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2016

 

Slovaquie – Le premier ministre slovaque Robert Fico a déclaré vouloir mettre de l’ordre dans les communes tsiganes, et se dit prêt à en découdre avec toute personne s’opposant à cette volonté, y compris les institutions internationales si besoin.

Le premier ministre slovaque, Robert Fico.

La fin de semaine du 10 décembre, durant le congrès du parti social-démocrate Smer dont il est membre, Robert Fico a déclaré qu’il fallait « mettre de l’ordre dans les communes tsiganes ». Pour ce faire, il dit soutenir pleinement la police et est prêt à assumer tout conflit, des ombudsman aux institutions internationales. « Nous ne tolérerons plus les gens qui profitent du système social, qui harcèlent les citoyens honnêtes et qui dérangent la paix dans les villes et villages. La tolérance, ça suffit ! » a déclaré le premier ministre slovaque, rajoutant que mettre fin au politiquement correct était également une priorité. « Nous avons peur de dire les choses si elles ne sont pas politiquement correctes, et ainsi, l’autre bord, les extrémistes et les radicaux utilisent cette langue, et récoltent un large soutien. Le politiquement correct n’a pas sa place en ce monde, » a conclu Fico.

Le ministre de l’intérieur Robert Kalinák a dans la foulée annoncé que dès 2017, le ministère et la police porteront une attention particulière aux communes reconnues comme difficiles, habitées par des populations socialement défavorisées et par des Tsiganes.

Certains observateurs politiques estiment que la montée du parti nationaliste slovaque L’SNS de Marian Kotleba ont poussé Robert Fico à faire ces déclarations pour des raisons politiques et électorales. Entré au parlement cette année avec 8,04% des voix, il était le cinquième parti du pays, mais les patrouilles dans les trains, les actions sociales ou les déclarations en faveur de l’ordre et de la fin de la tolérance et du laxisme juridique font croître la popularité de ce parti fondé en 2011.

Marian Kotleba, président du parti nationaliste L’SNS en pleine ascension.
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Source : visegradpost

L’entrée de la Grande-Bretagne refusée à trois archevêques syriens, autorisée aux Frères musulmans

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2016

Le 24 novembre dernier, a été consacrée la première cathédrale syrio-orthodoxe de Londres, dédiée à Saint Thomas, en la présence du Prince Charles. Pour faire honneur à la communauté chrétienne syrienne présente sur le sol du Royaume-Uni, l’héritier de la couronne britannique avait invité personnellement trois archevêques syrio-orthodoxes, deux d’Irak, Mgr Nicodème Sharaf de Mossoul et Mgr Timothius Shamani de la vallée de Ninive, et Mgr Selwanos Alnemeh de Homs et Hama en Syrie.

« Le ministre de l’Intérieur de la Grande-Bretagne, lit-on sous la plume du journaliste italien Giampaolo Rossi du Giornale, leur a refusé l’entrée du territoire britannique » au motif, saugrenu et offensant, que « les trois archevêques étant sans ressources et n’étant pas en mesure de subvenir à leurs propres besoins, ils auraient donc pu décider de rester sur le sol du Royaume-Uni ! »

En résumé, Londres a traité trois membres éminents des communautés chrétiennes persécutées en Orient pire que des clandestins reçus eux à bras ouverts dans toute l’Europe où ils vivent ensuite aux crochets des populations autochtones !

Ou peut-être que Londres a confondu ces augustes personnes avec des terroristes potentiels…

Et prend les terroristes plus que potentiels pour de gentils agneaux. Récemment, ce même gouvernement, si intraitable et légaliste quand il s’agit de chrétiens, a autorisé deux chefs religieux islamistes pakistanais qui prônent ouvertement la chasse aux chrétiens à entrer en Grande-Bretagne et à visiter les mosquées britanniques. Et il a publié également une directive préconisant l’accueil des membres des Frères musulmans chassés d’Égypte. Pour rappel, cette confrérie musulmane est considérée comme une organisation terroriste dans beaucoup de pays parce qu’elle prêche le djihad, le martyr et la persécution des mécréants, c’est-à-dire les non-croyants musulmans.

Londres a manifestement commis un acte anti-chrétien en refusant d’accueillir ces trois archevêques, acte qui s’insère dans sa politique, calquée sur celle du président des États-Unis Obama, de tolérance envers l’expansion du Califat islamiste, de consolidation des intérêts britanniques avec les monarchie saoudites, complices du terrorisme islamique et  théocraties tyranniques barbares, et d’aide aux groupes djihadistes anti-Assad dont le régime laïc est source de protection pour les chrétiens.

Mgr Atanasio Toma Dawod, archevêque de l’Église syrio-orthodoxe de Londres pose la question : « Pourquoi la Grande-Bretagne traite les chrétiens de cette façon ? » « Eh oui, pourquoi ? » se demande le journaliste d’Il Giornale.

Nous aussi nous nous posons la même question mais malheureusement nous avons peut-être la réponse à ce machiavélisme anglais : parce qu’il y a une volonté américano-anglo-israélienne de renverser, via l’État islamique, tous les pouvoirs forts et laïcs du Moyen-Orient (après l’Irak c’est donc au tour de la Syrie d’être sur la sellette) et de transformer les nations du Moyen-Orient en des faibles États ethniques et religieux, sans danger pour le voisin hébreux. Dans ce plan de remaniement ethnico-religieux qui sert aussi les intérêts financiers et pétroliers de l’oncle Sam et des groupes apatrides, et permet à certains d’assouvir leur haine du christianisme, la présence millénaire, sur ces terres orientales, des communautés chrétiennes, soutiens des régimes laïcs qui les protègent comme celui d’Assad en Syrie et de feu Saddam Hussein en Irak, est un obstacle à éliminer !

Si le gouvernement britannique et les politiciens qui le composent voulaient montrervers qui, malgré les exactions des islamistes de Daesh et des rebelles « modérés », leur « cœur » balance,  ils n’auraient pas agi autrement… Entre les Chrétiens et les terroristes islamistes, ils ont manifestement choisi les seconds, encore une fois, comme à Alep…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 14 décembre 2016

ALEP LIBÉRÉE PAR L'ARMÉE SYRIENNE DU PRÉSIDENT BACHAR

Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2016

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Selon nos informations, les derniers ilots terroristes d'Alep, soutenus par les mondialistes anéricano-européo-saoudiens, ont été libérés cette nuit par l'armée syrienne fidèle au Président Bachar El-Assad. Dans toute la ville les scènes de liesses populaires se multiplient pour acclamer les libérateurs.

Cette victoire que nous saluons est un vrai camouflé pour l'idéologie dominante et ses larbins parmi lesquels, une fois de plus hélas, la France s'est piteusement rangée...

Un jour viendra où les nations européennes devront remercier la Syrie baasiste pour sa détermination et son courage face à l'ennemi islamiste.

synthesenationale

mardi, 13 décembre 2016

MARINE LE PEN A SES CHANCES À LA PRIMAIRE DE GAUCHE

Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2016

Après des mois de campagnes électorales à ratisser sur les terres du peuple ouvrier oublié avec un programme dont les mesures étatiques feraient rougir les plus rouges des candidats, Marine Le Pen devrait sérieusement penser à annoncer sa candidature très crédible à la primaire de gauche en janvier 2017.


Marine Le Pen a ses chances à la primaire de gauche

Comme toute la famille Le Pen, Marine a toujours été sensible à une certaine droiture mais elle a plus de mal avec la droitisation du paysage politique électoral français, surtout depuis le coup de tonnerre à la Primaire des Républicains où François Fillon a repositionné donc la droite… à sa juste place, tout du moins en apparence.

Le bazar à gauche

Et je ne parle pas de ce qui se passe à gauche, entre la vraie-fausse dissidence d’Emmanuel Macron sur une ligne libérale convoitée jadis par Manuel Valls… à la primaire socialiste de 2011, les habituelles gesticulations ventilatoires d’Arnaud Montebourg, l’explosion nucléaire du parti EELV, l’obscène discours-hommage de Mélenchon au dictateur consumé comme un de ses cigares cubains, discours dont on se demande encore s’il est un sketch assumé ou un repoussoir inconscient pour les dernières personnes encore persuadées que le bilan rouge sang et noir goulag du communisme est juste un problème de très grosse malchance dans la mise en œuvre.

À ce sujet, l’annonce de la mort de Fidel Castro pourrait être prise par Marine Le Pen comme un déclencheur et un signe du destin. Comme un air d’Internationale anti-capitaliste soufflant dans ses oreilles et révélant le leader Marximo qui s’agite en elle depuis sa dernière campagne présidentielle. Le « contrôle intégral de la fixation des tarifs appliqués aux ménages et aux entreprises dans les secteurs stratégiques (énergie et transports notamment) », la « mise en place d’une Planification Stratégique de la Réindustrialisation directement rattachée au Premier ministre » ou encore la « nationalisation, même partielle et temporaire, des banques de dépôts en difficulté », ce ne sont pas des phrases lancées à la volée médiatique par Arnaud Montebourg, Benoît Hamon, Jean Luc Mélenchon et consorts. Ce sont des éléments constitutifs du programme électoral du Front National, déjà couchés sur le papier aux dernières présidentielles et repris dans l’ébauche de programme 2017 sur lequel, une fois n’est pas coutume, Marine Le Pen a choisi de laisser le voile.

Depuis 2012, ce sont des mois de campagnes électorales harassantes passés à ratisser sur les terres du peuple ouvrier oublié, des classes sous-classées, des opprimés sans primes ni avantages, à grand renfort de mesures magico-surréalistes et de grossières ficelles démagogiques tendues jusqu’à la rupture mais encore suffisamment solides pour tirer l’électeur égaré sur le chemin hasardeux de la justice sociale imposée.

Un créneau à occuper à gauche

Il y a donc un créneau large à occuper à gauche et Marine Le Pen est de ces femmes d’aujourd’hui capables de réussir un créneau. Nous lui conseillons donc d’annoncer sa candidature très crédible à la primaire de gauche et nous attendons avec impatience le croustillant débat télévisuel qui s’ensuivrait sur le modèle de la primaire à droite. Un grand plateau de personnalités représentatives d’une gauche extensible sur tous les bords, colorisée sur une palette infinie de tons et de tontons pour les plus nostalgiques des années 80. Une gauche source d’interminables conflits matrimoniaux pour décider de la garde exclusive des enfants du peuple.

Source : http://www.contrepoints.org