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samedi, 07 janvier 2017

Etude exclusive : le taux de prénoms musulmans département par département

Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2017

Par le 06/01/2017

Chaque début d’année, l’INSEE publie les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2540004#consulter

L’étude qui suit présente la popularité spécifique des prénoms musulmans comparée aux autres prénoms aux niveaux national et départemental.

Méthodologie :

Il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.

Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », pas évident de les identifier parmi les 31000 prénoms de la base de l’INSEE…

Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com, www.pageshallal.com, www.katibin.fr.

Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’origine www.studentsoftheworld.info a également été utilisé.

Certains prénoms, bien que très populaires dans la communauté musulmane, peuvent parfois être attribués à des enfants non musulmans. Il a été pris la décision de ne qualifier de prénom musulman que les prénoms qui n’induisent AUCUNE AMBIGUÏTE sur la question. Les chiffres présentés par la suite sont donc nettement modérés au regard de la réalité.

Exemples de prénoms de filles non catégorisés musulmans : Sarah, Ines, Lina, Sofia, Sabrina, Lydia, Selma, Camelia, Célia, Lisa, Myriam et autres Lilia, exemples chez les garçons : Adam, Aaron, Abel, Eden, Adem, Ismael, Elyes, Liam et de nombreux prénoms à origine hébraïque.

Cette ambigüité plus importante sur les prénoms de fille est vérifiée sur le fait que les garçons portant un « prénom musulman » représentent plus de 55% de l’échantillon, contre 51% pour les prénoms « non musulmans » (oui, 1% de spermatozoïdes sont sexistes).

NB : Une liste des 100 prénoms musulmans les plus populaires est présentée en fin de document.

Etude au niveau national

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Jusqu’à la fin de la seconde guerre, c’est le calme plat… Moins de 1 naissance sur 1000 en France est concernée par l’attribution de prénoms musulmans… NB : l’Algérie, alors département français, n’est pas comptabilisée, idem pour les autres colonies.

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Phase 1 : Les choses commencent à changer à partir de 1946, première année ou plus de 1000 enfants nés en France porteront un prénom musulman.
1958, De Gaulle obtient les pleins pouvoirs constitutionnels, c’est également cette année-là que le taux de prénoms musulmans donnés aux enfants  français dépasse pour la première fois les 1%. Ce taux augmente de façon faible mais régulière pendant les 30 glorieuses, avec une croissance moyenne de 0,1 points chaque année.

Phase 2 : 1973, le « baby-boom » est déjà loin, la crise pétrolière éclate, le taux chômage bondit et Giscard arrive au pouvoir. Il décide de faciliter le regroupement familial. La loi Veil sur l’IVG est votée (pour rappel, l’Islam bannit plus que toute autre religion l’avortement). On constate une accélération sensible du taux de prénoms musulmans qui augmente de 0,3 points chaque année.

Phase 3 : Les années Mitterrand…  Contrairement aux idées reçues, ces 14 années ne vont pas constater une accélération du taux d’octroi de prénoms musulmans. Celui-ci, qui est de 6,5%, en 1983 décroit même légèrement jusqu’à la fin du second mandat. Ce taux ne sera ré-atteint qu’en 1998, la fameuse année « Black Blanc Beur ».

Phase 4 : De 1995 à aujourd’hui. La 2ème génération issue du regroupement familial des 70’s est en âge de procréer. Une nouvelle immigration, issue notamment d’Afrique sub-saharienne se développe. Cette communauté, culturellement fertile, conserve souvent un mode de vie traditionnel.

Ces 20 années présentent une croissance impressionnante du taux de prénoms musulmans donnés aux enfants nés en France, aussi bien par son importance que par sa régularité avec 0,65 points chaque année.

Etude au niveau départemental

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2 départements n’ont pas eu de naissances avec des prénoms musulmans en 2015 : Creuse et Lozère, ils étaient 7 en 1995 : Creuse et Lozère, mais aussi Manche, Nièvre, Gers, Cantal et Meuse…

Sur les 37 départements ayant enregistré  plus de 5000 naissances en 2015, 9 présentent un taux de prénom musulman inférieur à 10% :

56 Morbihan : 4,4%, 29 Finistère : 5,4%, 14 Calvados : 6,0%, 64 Pyrénées Orientales : 6,2%, 62 Pas de Calais : 6,8%, 51 Marne : 7,2%, 49 Maine-et-Loire : 8,0%, 35 Ile et Vilaine : 8,0%, 44 Loire Atlantique : 8,3%

Sur les 16 départements dont le taux de prénoms musulmans dépassait les 5% en 1995, 2 voient une croissance du taux sur 20 ans inférieure à 10 points:

  • Paris, qui passe de 9,4% à 17,1% (+7,7 pts)
  • Les 2 départements corses, passant de 8,5% à 10,8% (+2,3 pts)

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Annexe :

Exemples de prénoms musulmans retenus pour l’étude (principaux effectifs en nombre de naissances 2015):

MOHAMED, YOUNES, IMRAN, RAYAN, ASSIA, INAYA, MANEL, AYA, MEHDI, YASMINE, IBRAHIM, ISSA, YOUSSEF, NAEL, AMINE, AYOUB, NOUR, NAHIL, AMIR, SOAN, WASSIM, BILAL, SOHAN, ASMA, TESSA, MARYAM, ALI, NASSIM, KENZA, ANAS, FARES, HAMZA, YASSINE, ZAKARIA, SANA, AYDEN, AYMEN, AHMED, AMINA, LEILA, MELLINA, NORA, IZIA, SAFA, MERYEM, HANNA, YUNA, KAIS, MOHAMMED, IMRANE, WAEL, IDRISS, NEYLA, RAYANE, FATIMA, SOFIANE, TASNIM, NAHEL, AMIRA, TESS, ANIS, MARWA, DJIBRIL, NAWEL, MOUSSA, YACINE, KHADIJA, MERIEM, SAMI, ISMAIL, HANAE, MARIAM, ALIYAH, SOUMAYA, CHAHINE, ISRA, SHANA, HIND, OMAR, NORAH, HAROUN, MAISSA, SOULEYMANE, ABDALLAH, HAYDEN, MALAK, ELIF, ISSAM, WALID, NAYLA, HANA, SANAA, ANISSA, HAFSA, FATOUMATA, EMNA, AISHA, ISHAQ

(merci à Jean Robert pour son étude)

 

Source : fdesouche

Terrorisme, la Tchéquie prépare ses concitoyens : « Armez-vous pour pouvoir tirer »

Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2017

L’appel a eu du succès dans ce pays de 10 millions d’habitants. Les ventes d’armes sont en hausse.

Il est certain que cette initiative tchèque va faire grincer les dents des bien-pensants et susciter des polémiques. Il est d’ailleurs fort possible que l’Union Européenne s’en mêle et y mette le holà. Un texte bruxellois, qui devra être confirmé au printemps, prévoit en effet l’interdiction de la vente libre de la majeur partie des fusils d’assaut ( genre Kalashnikov ) et des tests psychologiques seront imposés pour le port d’armes. Prague fait des objections en estimant la mesure trop sévère.

Sévère ou pas, elle n’aura de toute façon aucun impact sur les terroristes avérés ou potentiels qui se fournissent sur le marché noir et réseaux parallèles et ne prennent pas la peine, eux, de déclarer leurs armes à feu !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 06 janvier 2017

L’Etat a versé 1,5 million d’euros par mois aux clandestins installés à Calais

Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2017

Unknown-40C'est gratuit c'est l'Etat qui paie ? Ben non, il s'agit de notre argent :

"Chaque mois, les pouvoirs publics déversaient sur le campement de migrants de Calais plus d’1,5 million d’euros. Non content d’avoir créé de toutes pièces ce bidonville géant, en obligeant en mars 2015 les résidents des petits camps disséminés dans le centre-ville à s’y réunir, l’Etat a ensuite « subventionné » à son insu l’économie informelle de ce lieu qu’il a finalement fini par démanteler…"

Posté le 5 janvier 2017 à 20h49 par Michel Janva  

Source : lesalonbeige

Le maire de Bollène jugé pour son refus de marier une paire de lesbiennes

Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2017

5 janvier 2017 par Pierrot
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Le maire de Bollène jugé pour son refus de marier une paire de lesbiennes 5 janvier 2017 par Pierrot « Je n’ai pas d’inquiétude », déclare-t-elle au Figaro. Marie-Claude Bompard, maire de Bollène, est jugée jeudi 5 janvier pour son refus de célébrer le mariage d’un couple lesbien le 23 août 2013, quelques mois après la promulgation de la loi Taubira à laquelle elle était résolument opposée. Les deux femmes, qui avaient finalement été mariées par une adjointe de la majorité sans délégation du maire, avaient porté plainte. L’affaire avait été classée sans suite. Mais l’association Mousse, qui « lutte contre les discriminations liées au sexe, au genre, et à l’orientation sexuelle », a pris le relais, portant plainte juste avant la prescription de trois ans pour « discrimination ».

Lire la suite sur lefigaro

OBAMA, MAUVAIS PERDANT, TENTE DE SAVONNER LA PLANCHE DE SON SUCCESSEUR !

Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2017

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

La fin de l’année 2016 nous a apporté quelques satisfactions, à nous autres Français, avec l’élimination de Sarkozy et de Juppé, ainsi que le renoncement de François Hollande. Elle a été assombrie par le drame de Berlin, sorte de répétition de notre 14 juillet niçois, conséquence de la folle politique d’Angela Merkel, et par le décès de célébrités inoubliables, chacune au firmament de leur art, comme les actrices Michèle Morgan et Claude Gensac, ou l’académicien Michel Déon, le dernier des « Hussards ». Nous aurons également une pensée pour nos amis russes qui ont perdu l’essentiel de leur plus célèbre chorale dans un crash aérien en Mer Noire. Mais la politique a repris ses droits et, tandis que la misérable comédie des primaires socialistes encombre nos écrans de télévision et colonise les ondes, la géopolitique subit les effets d’une nouvelle tectonique des plaques qui semble redistribuer les cartes.

La Turquie change-t-elle de camp ?

Longtemps l’alliée la plus sûre et la plus fidèle de l’OTAN, la Turquie vient d’effectuer un virage à 180 degrés de sa politique étrangère. A deux doigts de s’affronter avec la Russie après que son aviation ait abattu un appareil russe dans le ciel turco-syrien, Recep Tayyip Erdogan vient de parrainer avec Moscou un accord de cesser le feu en Syrie ! Pragmatique, réaliste, le Président turc s’est rendu compte que l’objectif qui consistait à renverser Bachar Al Assad en soutenant les guérillas islamistes, était impossible à atteindre. D’autre part, la menace kurde est trop présente dans l’esprit des dirigeants d’Ankara pour accepter d’être pris en tenaille entre un PKK très actif dans l’Est anatolien et un PYD syrien, sécessionniste, sur toute sa frontière sud. Ça tombe bien, Damas ne veut pas entendre parler non plus de séparatisme kurde, ces Kurdes – « cocus » de l’histoire, nation sans Etat - soutenus par l’Occident… Le prix à payer de cette réévaluation de la diplomatie est lourd : les attentats se succèdent, tous plus meurtriers les uns que les autres. Le dernier en date commis lors de la Saint-Sylvestre - des dizaines de morts dans une boite de nuit d’Istanbul, sorte d’opération « Bataclan bis » - est-il comme une piqûre de rappel après l’assassinat de l’ambassadeur de Russie en Turquie fin décembre ? Etrange….Etrange aussi ce putsch raté qui visait le Chef de l’Etat turc, lequel dit-on, n’aurait dû son salut qu’aux informations données par les services secrets russes : à un quart d’heure près, il devait être arrêté ou exécuté dans sa résidence sur les bords de la Mer Noire, avant que son avion ne l’emporte vers la capitale, escorté par des F-16 de l’armée de l’air, cette même arme qui attaquait au même moment le Parlement d’Ankara ! Tout n’a pas encore été dit sur ce mystérieux « golpe » qui aurait été ourdi, à en croire certains officiels turcs, par la CIA. Mais il est vrai que l’on ne prête qu’aux riches ! Une explication plausible en tout cas à défaut d’être vraie, au rapprochement des présidents Poutine et Erdogan.

A quelques jours de son effacement, OBAMA lâche son venin

Faute de peser sur les évènements, le Président sortant à Washington tente de savonner copieusement la planche de son successeur. C’est, tout d’abord, l’invraisemblable accusation contre la Fédération de Russie d’avoir manipulé l’élection présidentielle pour favoriser Donald Trump, dont on connait par ailleurs les idées à propos de la politique russe. C’est ensuite, l’expulsion de 35 diplomates vers Moscou en représailles d’une supposée cyber attaque, piège dans lequel Poutine ne tombe pas, sachant très bien que la situation sera rétablie le 20 janvier : « Nous n’allons pas tomber au niveau d’une diplomatie irresponsable », déclarait le Président russe. Pour sa part, le successeur d’Obama se fendait d’un tweet où il saluait la « belle réaction de Poutine ». «  J’ai toujours su qu’il est très intelligent », ajoutait-il. Comme si cela ne suffisait pas, à l’ultime terme de son mandat, le Président américain par l’intermédiaire de son secrétaire d’Etat John Kerry, se lançait dans une féroce – mais à notre humble avis, justifiée – critique de la politique israélienne de colonisation : « Si le choix est celui d’un seul Etat, Israël peut être juif OU démocratique, mais pas les deux ». Comme pour appuyer sa démonstration, son délégué aux Nations Unies laissait filer, par son abstention, le vote de la résolution 2334, texte condamnant les implantations juives en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, partie de la ville prévue pour accueillir les institutions d’une éventuelles Palestine indépendante (1) dans le cadre d’une solution « à deux Etats ». Si Benyamin Nentanyahou, Premier ministre israélien, accusait mal le coup, le futur locataire de la Maison Blanche y voyait une pierre lancée dans son jardin, lui qui veut transférer l’ambassade des Etats-Unis en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem, justement. (Mesure qui, soit-dit en passant, ne manquera pas de mettre le feu à la rue arabe…). Et même si l’Etat hébreu a besoin de l’aide militaire américaine, ses premiers avions furtifs F-35 – indétectables - viennent d’être livrés, il ne se prive pas de dialoguer avec les russes dont il s’est rapproché, ayant besoin de leurs garanties face à un Hezbollah « iranisé » sur leur frontière nord et sur le plateau du Golan, qu’Assad voudrait bien récupérer. On voit ici, une fois de plus, que « l’Orient compliqué » nous joue sa partition, qui n’est pas une petite musique de guinguette ! Et c’est sur ce fond de décor diplomatique que le « grand » François Hollande s’apprête à accueillir à Paris le 15 janvier, pas moins de 70 gouvernements, sauf le principal, celui d’Israël, pour parler du…Proche-Orient ! Totalement surréaliste, alors que Moscou comme la future administration américaine, sont partisans de négociations bilatérales, plutôt que d’une approche multilatérale. En tout cas, c’est au Kazakhstan, ex République soviétique, dans sa capitale Astana, que se dérouleront les prochaines conversations relatives à la situation syrienne, mais sans les Occidentaux. On voit se dessiner ici un complexe enchevêtrement d’alliances contre nature, qui fait la saveur de la géopolitique. Et la France hélas, avec ses petits poings, n’a pour l’instant aucun rôle à y jouer. Tournons vite la page de 2016 !

(1) A noter tout de même, qu’un « plan de partage » de la Palestine a déjà été voté aux Nations unies à la majorité de ses membres en… 1947 

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Source : synthesenationale

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