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vendredi, 30 novembre 2018

La Journée contre les violences sur les femmes : l’occasion pour promouvoir l’avortement et la GPA

Publié par Guy Jovelin le 30 novembre 2018

Dimanche 25 novembre, il n’y a pas que les gilets jaunes qui ont manifesté. C’était aussi la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes 2018. Les villes européennes ont toutes eu leur petit cortège criard s’associant à cette initiative.

Qui n’est qu’un absurde gadget féministe qui n’aura aucun impact sur l’augmentation des comportements violents, leurs véritables causes en étant soigneusement occultées, politiquement correct oblige : l’islamisation de la société européenne, une laïcisation outrancière destructrice des fondements chrétiens de la famille et des cités, protectrices de la femme, la déchristianisation générant la perte du respect d’autrui et de la notion de charité, cette volonté post-moderne de détruire la complémentarité entre les sexes et le rôle maternel de la femme dans la société, sont quelques unes des raisons qui peuvent expliquer la recrudescence des violences sur les femmes.Néanmoins, et paradoxalement, c’est surtout la femme moderne elle-même qui est son premier bourreau.

C’est d’ailleurs si vrai, qu’à l’occasion de cette journée internationale, le mouvement italien lgbt dénommé Arcigay a publié une affiche dans laquelle on voit une femme enceinte et ce slogan :

« Personne ne contrôle mon corps. L’autodétermination ne se touche pas. »

Et en-dessous :

« Jackie, enceinte pour les autres (hommes ou femmes). Être mère est un libre choix, mais ne pas l’être l’est aussi. L’expression ‘utérus en location’ est une violence qui se blottit dans le langage. »

En somme, c’est une publicité pour l’avortement et la pratique de la GPA sous couvert de dénoncer les violences sur les femmes et pour cacher l’horreur de la GPA, si bien nommé en italien ‘utérus en location… De belles contradictions !

Car en acceptant l’avortement comme un droit, eaujourd’hui la gestation pour autrui, la femme contemporaine s’inflige à elle-même la pire violence qui soit tout en détruisant sa féminité et sa maternitéEt dans un enchaînement logique, en ne respectant pas l’être humain et son corps en son sein, elle se prive du respect qu’elle doit à son propre corps et à elle-même et que les autres lui doivent. Sans considération envers elle-même et l’enfant qu’elle porte mais qui est un autre être qu’elle, comment pourrait-elle prétendre au respect de la part des autres ? Et quand elle se fait ‘machine à reproduire’, ne risque-t-elle pas d’être traitée comme une ‘machine’ que l’on casse ou met au placard quand on n’en a plus besoin ?

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 29 novembre 2018

Pourquoi une bactérie serait considérée comme de la vie sur Mars et pas un battement de cœur sur Terre ?

Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2018

 

La question qui tue :

 

Source : ndf

 

Journalistes et politiques, copains comme cochons

Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2018

 le

Journalistes et politiques, copains comme cochons

 Lu sur Marianne :

A l’occasion d’une fête organisée pour les 70 ans du Journal du dimanche ce mardi 27 novembre, dans le 8e arrondissement de Paris, les patrons du journal ont pu trinquer joyeusement avec un joli monde issu des cercles du pouvoir… Selon nos informations, y ont ainsi été vus, pêle-mêle, l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy mais aussi l’actuel ministre du Budget Gérald Darmanin, le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, ainsi qu’un certain… Alexandre Benalla !

Que faisait le paria de la Macronie au milieu de cette soirée, en compagnie de quelques uns des plus hauts personnages de l’Etat ? Au Monde, qui révèle également l’information, un membre du groupe Lagardère rapporte : “On nous a expliqué qu’il dînait ce soir-là à l’étage, par hasard”. Un autre, qui se dit “effaré” par ce qu’il a vu dans cette soirée, confie à Marianne que cet heureux “hasard” a été mis à profit, Alexandre Benalla ayant discuté “longuement” avec Richard Ferrand.

Outre les premiers de cordée de la Macronie, ont aussi été vus à la soirée Arnaud Montebourg, ancien ministre socialiste de François Hollande, François Baroin ou encore la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse.

Hors politiques, un nom moins connu du grand public mais tout aussi intéressant figurait parmi les invités : Marc Francelet. Souvenez-vous, nous vous en parlions cet été lors de l’éclatement de l’affaire Benalla : ce lobbyiste à la réputation sulfureuse avait participé au plan com’ très bien huilé d’Alexandre Benalla. Contacté par Marianne, il confirme sa venue à la soirée mais assure que ce n’est pas lui qui a fait venir son ancien protégé : “Je suis venu avec Laurence Piau, directrice de la rédaction de ‘Closer’. Alexandre Benalla, je l’ai croisé dans l’escalier alors que je partais”, affirme-t-il.

Dans une période de défiance de l’opinion vis-à-vis de la presse, le gâteau d’Hervé Gattegno, directeur de la rédaction du JDD, a un petit goût étrange de mélange des genres…

Benalla était là par hasard… Ils nous prennent vraiment pour des jambons.

 

Source : lesalonbeige

Pédophilie au sein d’une école juive de Toronto

Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

CANADA — Une nouvelle affaire de pédophilie au sein d’écoles juives ne fera sans doute pas l’objet de beaucoup d’échos médiatiques en Europe.

La semaine dernière, Stephen Joseph Schacter a été reconnu coupable dans trois affaires d’agressions sexuelles sur mineurs, deux dossiers d’atteintes sexuelles et une affaire d’attentat à la pudeur. 

Ce pédophile avait enseigné dans des écoles juives Eitz Chaim entre 1986 et 2004. La police a précisé que Schacter avait été professeur en CE1 et en CE2 à l’école juive orthodoxe qui possède trois établissements dans la banlieue de Toronto.

Schacter avait été arrêté par la police en 2016 pour possession de pornographie pédophile. La police avait alors enquêté pour savoir s’il avait abusé sexuellement des élèves.

Une première victime avait été retrouvée. Il s’agissait d’un garçon qui avait entre 11 et 13 ans au moment des faits qui s’étendent sur plusieurs années à l’époque où Schacter était remplaçant dans une école juive orthodoxe pour garçons, la Yeshiva Yesodei HaTorah.

Les enquêteurs signalent que Schacter avait également été surveillant et professeur remplaçant à la United Synagogue Day School, aujourd’hui la Robbins Hebrew Academy, en 2004 et 2006.

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 28 novembre 2018

Le Sénat adopte un amendement limitant les avantages fiscaux des journalistes. Le gouvernement s’y oppose.

Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2018

Par  le 28/11/2018

 

Dans le cadre de l’examen du budget, les sénateurs ont adopté un amendement limitant les bénéficiaires de la niche fiscale des journalistes à ceux dont le revenu est inférieur à 6.000 euros nets par mois. Le gouvernement s’y est opposé. Les députés pourront revenir sur ce vote à l’Assemblée.

C’est une marotte du groupe RDSE (à majorité radicale) du Sénat. Dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances 2019, les sénateurs ont adopté un amendement du sénateur Radical Yvon Collin, supprimant en partie la niche fiscale des journalistes.

En partie seulement, car les sénateurs du groupe RDSE veulent uniquement exclure des bénéficiaires de cet abattement de 7.650 euros les journalistes dont le revenu brut dépasse 93.510 euros par an. Ce qui revient à un revenu mensuel de 6.000 euros nets. Soit le haut du panier.Très peu de journalistes gagnent en effet plus de 6.000 euros nets par mois, à part quelques directeurs de rédaction, chefs ou présentateurs vedettes.

(…) L’amendement d’Yvon Collin a été adopté contre l’avis du gouvernement. «Les dispositions fiscales dont bénéficient les journalistes et la presse sont de nature à favoriser la pluralité et la liberté de la presse » a justifié le secrétaire d’Etat Olivier Dussopt

(…) Public Sénat via fdesouche