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jeudi, 22 novembre 2018

Le gouvernement fait voter un amendement qui va entraîner l’augmentation de l’assurance-auto pour 2019

Publié par Guy Jovelin le 22 novembre 2018

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Le gouvernement fait voter un amendement qui va entraîner l’augmentation de l’assurance-auto pour 2019

Et c’est une fois de plus les citoyens honnêtes qui vont payer pour les délinquants puisqu’il s’agit d’abonder le Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages (FGAO) qui permet aux conducteurs accidentés par un tiers en fuite ou une personne non assurée d’être indemnisés. Nous aimerions bien avoir plus d’informations sur le profil type de ces délinquants. Mais peut-être est-ce politiquement incorrect ?

Un amendement vient d’être voté par les députés dans le cadre de la loi de finances 2019, d’après le quotidien. Il stipule que les compagnies d’assurances doivent augmenter de 33 millions d’euros leur contribution au Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages (FGAO). Ce fonds permet aux conducteurs accidentés par un tiers en fuite ou une personne non assurée d’être indemnisés.

Le FGAO est de plus en plus sollicité, selon Le Parisien. « En 2017, 36.340 demandes d’indemnisation ont été ouvertes, dont 26 % à la suite d’un délit de fuite », a déclaré le fonds à nos confrères. « Nous avons versé 154,2 millions d’euros, c’est + 13 % par rapport à 2016. »

Réaction lue sur Boulevard Voltaire :

Il faut parfois se pincer pour le croire : en plein mouvement des gilets jaunes, la majorité LREM-MoDem, après avoir voté l’augmentation des taxes sur les carburants qui a déclenché la colère, ont adopté un amendement stipulant que les compagnies d’assurance doivent augmenter de 33 millions d’euros leur contribution au Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages (FGAO) (…)

Ah… Mais alors, faut-il en déduire que ce genre de conducteurs et de délinquance – délits de fuite, conduite sans assurance – est en augmentation ?(…) Mais surtout, au-delà de la question financière, ce que révèle cette augmentation, c’est un grave problème de sécurité et de délinquance routières : comment se fait-il que ce gouvernement, qui a fondé toute sa stratégie de sécurité routière sur les 80 km/h et les radars et qui n’a plus que le mot « ordre républicain » à la bouche, ne s’inquiète pas davantage de cette délinquance en plein essor ? Édouard Philippe nous aurait-il menti par omission ? Ce que l’on ne nous dit pas, les chiffres et les millions du budget nous le révèlent (…)

Mais, au fait, qui sont-ils donc, ces automobilistes délinquants qui conduisent sans assurance et prennent la fuite ? Ne serait-ce pas les mêmes qui se livrent à des rodéos certains soirs dans certains quartiers, causant parfois des accidents très graves, comme on l’a vu ces dernières années ?

Encore un indice pour aider monsieur Castaner : ce ne sont pas des gilets jaunes.”

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 21 novembre 2018

Les Africains devront-ils restituer à la France leurs hôpitaux, routes et écoles construites pendant la colonisation ?

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2018

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Les Africains devront-ils restituer à la France leurs hôpitaux, routes et écoles construites pendant la colonisation ?

Emmanuel Macron continue de manière imperturbable à dénigrer l’Histoire de France et à faire de la repentance une activité presque quotidienne. Après avoir qualifié la colonisation de crime contre l’Humanitéil envisage de “restituer” aux pays africains les œuvres qui se trouvent dans nos musées nationaux. Et bien entendu, les frais, sans doute très importants (transport, réalisation de copies), seront à la charge du contribuable français :

“Les deux spécialistes missionnés, l’écrivain et universitaire sénégalais Felwine Sarr et l’historienne de l’art française Bénédicte Savoy, membre du collège de France, ont été mandatés par Emmanuel Macron, désireux de voir «le retour du patrimoine africain à l’Afrique» avant la fin de son mandat. Les conclusions du rapport, qui sera rendu public le 22 novembre, abondent dans ce sens, et vont plus loin que les suggestions de la lettre de mission du président, qui préconisait des restitutions définitives mais aussi temporaires.

«Le présent rapport explore et défend la voie vers des restitutions pérennes», est-il mentionné dans le document. Des préconisations qui affoleront sans conteste les musées dont certaines collections comptent des œuvres africaines par dizaines de milliers, comme le Quai Branly qui en possède 70 000 (…)

Selon eux, le terme restitution «rappelle que l’appropriation et la jouissance du bien que l’on restitue reposent sur un acte moralement répréhensible (vol, pillage, spoliation, ruse, consentement forcé, etc.)». Les deux experts détaillent ainsi quelles œuvres sont concernées : les objets saisis dans certaines opérations militaires avant 1899, les objets collectés lors de missions scientifiques sauf si les propriétaires des œuvres ont consenti à les céder, les objets confiés à la France par des agents de l’administration coloniale ou leurs descendants, sauf si le consentement du détenteur initial de l’œuvre est avéré. Sont également concernés les objets rapportés après 1960 dans le cadre de trafics (…)”

Et Emmanuel Macron va devoir changer la loi pour commettre son méfait :

“La France s’appuie jusqu’ici sur sa législation très protectrice pour conserver sur son territoire des trésors culturels issus du monde entier. Le principe d’inaliénabilité des collections publiques garanti par le droit français bloque a priori toute restitutionLes experts préconisent donc des modifications du code du patrimoine et la signature d’accords bilatéraux afin de permettre le retour des objets grâce à un nouveau cadre juridique (…)

Emmanuel Macron avait semblé inaugurer une nouvelle ère en tenant un discours très éloigné de l’attitude en vigueur dans les milieux de la culture en France. Lors de son discours à Ouagadougou au Burkina Faso en novembre 2017, il avait affirmé : «D’ici cinq ans, je veux que les conditions soient réunies pour un retour du patrimoine africain à l’Afrique.»”

 

Source : lesalonbeige

Castres (81) : vaste opération des gendarmes dans un camp de gens du voyage, plusieurs interpellations

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2018

Par  le 20/11/2018

 
C’est une opération de grande envergure qu’ont menée les gendarmes ce mardi matin à Castres. Pas moins de 143 militaires issus du groupement de gendarmerie départementale d’Albi, des compagnies et des pelotons de surveillance et d’intervention de Castres, Albi et Gaillac, de la brigade cynophile et de l’antenne du GIGN de Toulouse, appuyé par un hélicoptère, ont investi l’aire des gens du voyage de la Vivarié vers 6 heures.

Un déploiement de force qui visait à l’interpellation d’individus recherchés dans le cadre d’une enquête diligentée par la brigade de recherches de Castres pour des faits de violences volontaires avec arme à feu envers des personnes dépositaires de l’autorité publique commis il y a un mois.

[…] C’est finalement dans des habitations de Castres que les individus âgés de 23 et 41 ans ont été arrêtés ce matin. Les quatre individus ont été placés en garde à vue, deux à la brigade de gendarmerie de Castres et les deux autres au commissariat. Des perquisitions, menées par les gendarmes et les policiers, ont eu lieu sur le camp et aux domiciles des mis en cause.

Si les affaires sont différentes, elles ont un point commun : les individus n’avaient pas hésité à s’en prendre violemment aux forces de l’ordre. Ce qui explique l’opération d’envergure de ce mardi matin.

La Dépêche via fdesouche

La France est-elle le poumon de la planète ?

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2018

Auteur

Roland DUBOIS

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Pendant des décennies, l’usage du diesel a été encouragé par les pouvoirs publics.

Ces moteurs consommaient moins que ceux à essence et émettaient moins de CO2, gaz à effet de serre que le GIEC feint de croire responsable, à lui seul, du réchauffement de la planète.

Par ces deux arguments, on justifiait la moindre taxation de ce carburant.

C’est fini.

On ne parle plus du CO2, mais des particules fines.

Du coup, on brûle ce qu’on a adoré. Dehors le diesel !

Or tous les diesels fabriqués depuis 2009 ont des filtres à particules (FAP), pas parfaits mais efficaces.

Le chef du service de pneumologie de la Pitié-Salpêtrière, invité sur une chaîne de télévision, a lui-même reconnu que la pollution parisienne était aujourd’hui très inférieure à ce qu’elle était il y a 10 ou 15 ans malgré l’augmentation de la circulation.

En réalité, dans 3 ou 4 ans, les véhicules diesel sans FAP seront une infime minorité.

En outre, d’autres progrès techniques seront intervenus.

En attendant, tout ce battage est, pour les pouvoirs publics, une mauvaise raison pour augmenter les taxes sur le gazole, de façon, dit-on, à en dissuader les futurs acheteurs de véhicules.

Bien sûr, on aurait pu diminuer les taxes sur l’essence ; le but recherché aurait été le même non ? Curieusement, on n’y a pas pensé.

Le pouvoir se défend mal en insistant sur le fait que l’augmentation du prix des carburants et du fuel de chauffage est due essentiellement aux récentes augmentations du prix du baril de brut – qui sont réelles.

Mais remarquons quand même que l’État perçoit 60 % du prix en taxes et impôts divers et qu’il est trois fois gagnant.

La part de TVA qui lui revient sur le carburant augmente avec le prix du brut, la consommation des « essences » est supérieure à celle des « diesels » donc encore plus de taxes à engranger, taxes qu’il augmente en outre régulièrement en relevant la TICPE.

Et, au passage, tant pis pour les gaz à effet de serre qui étaient son obsession il y a peu.

Il faut dire que le gouvernement oublie opportunément de rappeler aux Français qu’ils sont, à cet égard déjà de bons élèves, car, grâce à l’électricité d’origine nucléaire, ils émettent deux fois moins de gaz à effet de serre par habitant que les Allemands. Pile il gagne, face on perd !

Nous ne pouvons pas croire le président et son premier ministre qui nous affirment que c’est dur, mais que la survie de la planète est à ce prix.

L’urgence était-elle si grande qu’on ne puisse surseoir aux augmentations prévues de la TICPE pour adoucir le coup des augmentations dues à celles du pétrole auxquelles on ne peut rien ? À ça non plus, ils n’ont pas pensé.

La France, c’est 1 % de la population de la planète et 0,9 % des émanations de gaz à effet de serre et polluants divers.

Ces deux chiffres montrent les limites de notre influence sur le réchauffement climatique de la planète et sa pollution.

Croit-on vraiment que l’augmentation constante des taxes chez nous va avoir une influence quelconque sur l’environnement de la planète ?

Évidemment non ; aucune, ou alors de manière inappréciable, contrairement à la surcharge fiscale imposée aux Français ; pour rien ; pour satisfaire l’orthodoxie écolo qui nous ment en permanence sur les éoliennes, les capteurs solaires et la voiture électrique.

Le percepteur se cherche un alibi vertueux.

D’ailleurs, moins de 20 % de tout ce qui est ponctionné au titre de la campagne « carbone », est investi dans la « transition énergétique », ectoplasme vague qui à lui seul mériterait une explication plus convaincante que ce qu’on entend.

Cela sonne comme un aveu. Et tant pis pour les Français pris en otages, une fois de plus, par une idéologie quasi religieuse qui les dépasse.

Rien de sérieux ne justifie cette politique dont les conséquences financières néfastes pour tout le monde aggravent encore un peu plus le sentiment d’oppression fiscale de la population la plus imposée parmi les pays développés.

 

Source : les4verites

Retrouvons nos libertés concrètes !

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2018

Auteur

Guillaume de Thieulloy

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Emmanuel Macron va sans doute entrer dans l’histoire par la grande porte. Après avoir été le porte-drapeau du « dégagisme » qui agite profondément le peuple français, il est en passe de devenir la caricature de cette oligarchie totalement déconnectée du peuple qu’elle est censée représenter et gouverner.

Un récent sondage Via Voice montre que 34 % seulement des Français estiment que la démocratie fonctionne bien.

En janvier dernier, 54 % répondaient positivement à cette question.

Autrement dit, les dix derniers mois, et l’accumulation des bourdes arrogantes de la part du chef de l’État, ont entraîné une chute vertigineuse de la confiance dans la démocratie de la part des Français.

Dans le détail, 3 % des Français estiment que la démocratie fonctionne très bien chez nous, 31 % qu’elle fonctionne assez bien, 40 % qu’elle fonctionne assez mal et 21 % qu’elle fonctionne très mal (et il y a de sérieuses raisons de penser que les 5 % qui ne se prononcent pas ne sont pas enthousiastes devant la situation !).

Même au plus fort du désamour à l’égard de François Hollande, en septembre 2016, les chiffres étaient moins catastrophiques : 36 % des Français estimaient alors que la démocratie française fonctionnait bien.

On pourrait penser que M. Macron pousserait un soupir de soulagement en regardant les questions suivantes, puisque l’on y constate que la crise de la démocratie n’est pas seulement française, mais européenne.

On l’imagine même fort bien remonter sur son cheval et haranguer les peuples de l’Est de revenir aux sources de la démocratie représentative et d’abandonner le populisme, comme il s’apprête visiblement à le faire lors de la prochaine campagne européenne.

Las, 60 % des Français estiment que la France n’est pas un modèle démocratique à suivre pour les autres pays européens !

Il faut dire qu’avec la chasse aux libertés publiques organisée par l’actuel gouvernement, il serait difficile qu’il en soit autrement.

Une partie de la mobilisation des gilets jaunes, aussi anarchique soit-elle, tient à ce sursaut des vieux Français, non seulement surtaxés, mais ligotés par des réglementations idiotes.

Mais revenons aux sources. La démocratie a été conçue en 1789 sur le modèle rousseauiste, catastrophique abstraction, en vertu de laquelle nous abandonnerions tous nos antiques libertés privées pour nous fondre dans le corps social qui nous offrirait en échange une liberté civique.

Ladite liberté civique n’est, cependant, disponible que pour ceux qui soutiennent le Pouvoir, puisque la loi étant supposée l’expression de la volonté générale et celle-ci étant supposée être la volonté de chacun, ceux qui ne sont pas d’accord avec la loi sont réputés ne pas même savoir ce qu’ils veulent, c’est-à-dire qu’ils sont réputés purement et simplement fous.

C’est au nom de ce principe délirant (et, hélas, toujours d’actualité sous Marianne V) que l’on a pu clamer : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté » ou que les communistes, en fidèles disciples des jacobins de 1793, ont pu « rééduquer » les dissidents dans leurs hôpitaux psychiatriques.

L’arrogance d’Emmanuel Macron et de ses confrères oligarques vient, notamment, de cette superstition selon laquelle ils sont le peuple et selon laquelle le peuple peut changer à volonté la nature des choses.

Et le populisme, c’est aussi cette volonté du peuple de sortir d’une abstraction mortifère et de revenir à des libertés concrètes, en lieu et place de cette pseudo-représentativité dont le mot d’ordre, outre la spoliation fiscale, semble : « Tout ce qui n’est pas obligatoire est interdit ! »

 

Source : les4verites