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mercredi, 05 décembre 2018

L’Union européenne contre les peuples

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

 
POSTÉ LE 04 DÉCEMBRE , 2018, 3:23

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À la veille des élections européennes, l’Union européenne rappelle aux peuples qu’ils ne sont plus indépendants.

Le 12 septembre 2018, le Parlement européen a voté une résolution dénonçant une violation grave par la Hongrie « des valeurs sur lesquelles l’Union européenne est fondée ».

La veille, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, était venu dénoncer « l’insulte faite à l’honneur de la nation hongroise ». Et il ajoutait : « Nous ne céderons pas au chantage des forces qui soutiennent les migrants contre la Hongrie. La Hongrie défendra ses frontières et défendra ses droits, y compris contre vous, s’il le faut. »

Le principal grief vise la politique de fermeture des frontières décidée par la Hongrie, et dénoncée comme « une atteinte grave aux droits fondamentaux des migrants, des demandeurs d’asile, et des réfugiés ».

Il est également reproché à la Hongrie de supprimer le programme d’études sur la théorie du genre à l’université fondée par le milliardaire George Soros, et de défendre dans sa constitution, dans ses lois et dans ses écoles, une « conception conservatrice de la famille ».

Au nom de prétendues « valeurs européennes », l’Union européenne dénie à la Hongrie sa souveraineté.

Cette résolution confirme l’effort des dirigeants européens pour imposer un super-État se substituant aux souverainetés nationales. Elle s’inscrit dans un mouvement plus vaste qui affecte les nations occidentales.

L’encouragement des mouvements migratoires, la théorie du genre, le changement climatique, la mondialisation heureuse, sont les axes principaux de la « gouvernance mondiale » qui cherche à s’imposer.

Mais la résolution qui vient d’être votée contre la Hongrie risque, à terme, de se retourner contre l’Europe. Lorsque viendront les débats sur des sanctions contre la Hongrie, la Hongrie peut compter sur les veto de la Pologne, de la Slovaquie, de la République tchèque, auxquels s’ajouteront ceux de l’Autriche et de l’Italie.

Il ne pourra qu’en résulter une fragmentation de l’Europe, venant aggraver les effets délétères du Brexit.

En octobre, la Commission européenne a rejeté le projet de budget de l’Italie qui prévoit un déficit de 2,4 % de son PIB – alors qu’elle a validé le budget de la France qui prévoit un déficit de 2,8 % de son PIB.

Mais, surtout, le peuple italien vient de porter au pouvoir un gouvernement « populiste » qui, comme le gouvernement hongrois, s’oppose à l’entrée de migrants. C’est là une manifestation de rébellion que l’Union européenne se devait de sanctionner.

Le 21 novembre la Commission européenne a rejeté à nouveau le budget de l’Italie et mis en route une procédure de sanctions. Cette procédure est longue et, pour aboutir, elle doit être approuvée par la majorité des pays de la zone euro.

En retour, l’Italie qui est un pays contributeur net à l’UE pourrait suspendre le versement de sa contribution. C’est donc un bras de fer qui s’engage.

L’Italie est d’autant plus vexée de ce refus que :

1. D’autres pays ont des dettes encore supérieures aux 130 % du PIB de la dette italienne.

2. La France, avec son déficit annoncé de 2, 8 % au lieu de 2,4 % pour l’Italie, est absoute.

Pour le moment, le gouvernement italien refuse de s’engager dans une politique d’austérité « à la grecque » et répond à l’Europe « Me ne frego » (Je m’en fous).

Les peuples commencent à se rendre compte que l’Union européenne leur dénie le droit d’exister en tant que tels, les oblige à se fondre dans un magma cosmopolite ouvert à tous les vents, et les vassalise face au super-État européen qu’elle veut leur imposer.

Les populismes, qui montent partout en Europe, traduisent l’inquiétude des peuples qui se sentent menacés et ne veulent pas mourir.

 

Source : les4verites

Pendant la spoliation, le bradage continue !

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

 

Auteur

Guillaume de Thieulloy

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Emmanuel Macron a quel­que chose de fascinant.

Alors même qu’il est acculé par la colère populaire, alors même que ses principaux soutiens semblent prendre leurs distances (de Jacques Attali faisant, pour la première fois, l’éloge de la nation, à Gérard Collomb, quittant le ministère de l’Intérieur et multipliant les déclarations fracassantes, en passant par « Le Monde », naguère « Moniteur de la Macronie » en pointe sur l’affaire Benalla), il continue de dérouler imperturbablement son programme de démantèlement de la France.

Tout d’abord, il y a cette déclaration sur notre « partage de souveraineté » avec l’Allemagne.

Il serait question de « partager » notre dissuasion nucléaire et notre siège au conseil de sécurité de l’ONU.

En bon français, cela s’appelle une forfaiture : abandonner les marques de la souveraineté française à une puissance étrangère, c’est exactement l’inverse de ce que le chef de l’État est tenu de faire. L’article 5 de la constitution de 1958 déclare, au contraire : « Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités. »

Lui, il ferait rigoureusement l’inverse. Cela seul devrait justifier une procédure de destitution, si le parlement n’était pas devenu une chambre d’enregistrement.

Quand on pense que M. Macron se permet de donner des leçons à la terre entière, alors qu’il brade notre souveraineté, et que son arrogance et son mépris mettent le feu à Paris …

Dans un autre ordre d’idées, il vient d’annoncer que la France allait « restituer sans tarder » 26 œuvres d’art au Bénin.

Restituer ? Vraiment ? Mais le Bénin n’existait pas avant la colonisation française. Il n’existait que des royaumes tribaux, en guerre les uns avec les autres.

D’ailleurs, ces œuvres d’art n’auraient jamais été conservées, ni même identifiées comme artistiques, sans la France.

En Afrique, plus encore qu’en Asie, c’est le regard de l’Occidental qui a littéralement « créé » l’art local. Sans nous, Angkor serait un tas de pierres oubliées. Sans nous, l’art du Dahomey serait tout simplement inconnu.

Passons sur le « sans tarder », qui fixe à la majorité de « godillots » la feuille de route de voter sans rechigner un nouveau bradage du patrimoine français.

Mais rappelons que le droit international assurait – avant que les barbares post-modernes ne le ravagent pour imposer leur conception pseudo-morale – que ces œuvres étaient légitimement détenues dans les musées des anciennes métropoles.

Si ce funeste projet parvenait à son achèvement, nous pourrions fermer le Louvre. Quasiment rien n’y échapperait, des collections égyptiennes aux collections antiques, en passant par celles d’Extrême-Orient. Une large part vient de nos campagnes et de notre colonisation.

Quand on voit le sort des musées de Bagdad ou Kaboul, comment le regretter ? Et pense-t-on sérieusement que les œuvres d’art seront mieux mises en valeur à Porto-Novo, Cotonou ou Harare qu’à Londres, New York, Saint-Pétersbourg, ou Paris ?

Sous couvert de bons sentiments, M. Macron prépare un pillage sans commune mesure avec ce que les siècles précédents ont connu. En attendant, il brade scandaleusement le patrimoine français, comme s’il lui appartenait. Il ne nous appartient même pas à nous tous, collectivement, Français vivants. Il appartient tout autant aux Français morts et aux Français à naître que les démagogues oublient systématiquement.

Qu’au moment où il cherche à parlementer avec les gilets jaunes en lutte contre la spoliation fiscale, il évoque une spoliation de souveraineté et de patrimoine plus grave encore, voilà qui dépasse l’entendement – et qui justifierait amplement sa destitution.

 

Source : les4verites

Chronique d’une époque renversante : la nouvelle folie de l’identité ‘fluide’, le transracialisme

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

On vit décidément une époque renversante !

Voici venir le temps du ‘transracialisme’, la nouvelle frontière de l’identité fluide qui postule que « chacun a le droit de rechercher le bonheur à sa façon ».

Rachel Dolezal est une américaine de Spokane, de l’État de Washington. Depuis des années elle clame qu’elle est une femme de couleur même si elle est née avec la peau blanche. Elle est une des premières activistes du mouvement appelé « Transracialisme » : une idéologie selon laquelle on peut décider à quelle ethnie on appartient sans tenir compte de la nature, indépendamment de son identité biologique.

Le feuilleton de Dolezal a suscité de nombreux débats : pendant des années elle a fait croire être la fille d’un Africain et d’une blanche. Sa famille a démystifié son histoire, fruit d’une imagination déboussolée par ce politiquement correct qui prêche la discrimination positive et la honte d’être blanc. Rachel a perdu son travail et sa réputation. L’activiste a alors demandé pardon pour ses mensonges mais n’a rien lâché quant à son boniment : elle a écrit un livre In full color dans lequel elle affirme le droit de chaque personne à choisir son identité ethnique : le « transracialisme » is born

Des histoires de ce genre se multiplient depuis aux États-Unis. Du ‘transsexuel’ Ja Du qui, natif de Californie, se prend pour un Philippin. Ou du mannequin Martina Big qui, après s’être crue une poupée Barbie et avoir subi nombres d’opérations chirurgicales, croit maintenant être une femme de couleur : nouvelles opérations, greffes de mélanine, et changement de nom en Malaika Kubw, ce qui veut dire « grand ange » en swahili.

Le mouvement ‘transracialiste ‘ se fonde sur l’idéologie de genre : si l’identité sexuelle que l’on ressent vaut plus que celle réelle, alors ce discours vaut pareillement pour l’ethnie. Une nouvelle barrière du ‘transhumanisme’ est franchie avec l’aide des lobbies lgbt, de la pensée sexuellement correcte et grâce au consentement tacite des autorités sanitaires et administratives.

Il fut un temps où ce genre de personnes, manifestant des troubles de la personnalité ou de l’identité, étaient tout simplement enfermés dans des asiles de fous. Où les ‘Napoléon’ fleurissaient… Aujourd’hui la folie règne en maître et ce sont les gens normaux qui passent pour fous. On vit décidément une époque renversante !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

La Macronie part en morceaux et lance des miettes aux Français

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Rédigé par notre équipe le 05 décembre 2018

Il aura donc fallu plus de trois semaines, une mobilisation record (malgré les contre-vérités de Castaner), puis finalement une bouffé d’incroyables violences pour que le Gouvernement finisse par reculer (un peu). Après une concertation qui n’a pas eu lieu ce mardi (le Premier ministre avait déjà eu sa dose d’humiliations), Edouard Philippe a donc fait plusieurs annonces dans le sens des revendications des gilets jaunes. Mais il ne faut pas être un fin politicien pour comprendre que cette reculade n’est en rien un changement de programme. Les Français devront payer et le report pourrait bien servir ce gouvernement qui décidément n’entend pas les souffrances du peuple.

Une victoire pour les gilets jaunes ? Les annonces du Premier ministre ressemblent plus à un piège qu’à autre chose. Les Français sont descendus dans la rue il y a près d’un mois (pour ne plus en repartir) parce qu’ils ne peuvent plus vivre dignement. Le sarkozysme, l’hollandisme plus encore et la dégénérescence macroniste sont passés par là. La pression fiscale est trop forte. Les Français ne peuvent plus subvenir à leurs besoins les plus primaires alors ils se font entendre avec l’espoir de ne pas sombrer complètement dans le chaos de la misère. La situation est grave et la réponse du Gouvernement est des plus cyniques.

Donner des miettes en attendant de mieux plumer

Les Français ne sont jamais contents ! Comment être content lorsque votre bourreau vous annonce après vous avoir estropié qu’il suspend son exécution de six mois. A la nouvelle date venue, pas d’échappatoire. Il faudra passer à la guillotine. Que fait un supplicié normal ? Il remercie son bourreau et lui dit à la prochaine ou continue-t-il à se débattre avec la perspective de se défaire de ses liens et d’échapper à la mort ? Les Français sont dans cette situation et doivent choisir entre mourir dans six mois ou continuer à se battre pour vivre avec dignité.

Le moratoire qui était sur bien des lèvres depuis quelques jours n’est qu’un cache misère. Un moratoire sur les nouvelles taxes sur les carburants signifie que ces taxes finiront par passer. Ce n’est qu’une question de temps. Le Gouvernement donne six mois de répit. Pourquoi un tel calendrier alors qu’il s’est arc-bouté sur de futurs pseudos consultations dans les territoires d’une durée de trois mois ? Six mois cela renvoie directement au début du mois de mai soit, ô surprise, une semaine après les élections européennes !

Des élections qui ont toutes les chances de tourner au carnage pour la Macronie alors on décide tant qu’il est temps de geler quelques mesures impopulaires pour mieux les faire passer après les élections ! Du travail de renard politique, mais qui se voit comme le nez au milieu de la figure. Si les élections se passent mal pour Macron et ses copains, alors ils se vengeront en augmentant la pression fiscale. Si elles se passent un peu mieux que prévu, alors ils iront parader partout en disant que la hausse des taxes sur les carburants et l’énergie fait partie du contrat passé avec les Français. Le résultat est simple : à chaque fois les Français l’ont dans l’os. Pile, tu paies – face tu paies aussi !

Les suspensions de la hausse des carburants, du gaz, de l’électricité et du contrôle technique plus drastique sont donc un moyen de retrouver la paix sociale tout en entubant le Français moyen. La stratégie ne doit pas prendre et les premières réactions montrent toutes que personne ne tombe dans ce piège grossier.

Il suffit d’écouter le discours du Premier ministre pour se convaincre qu’il est prêt à tout pour arriver à ses fins. Après avoir fait comprendre aux gilets jaunes que leur sort ne l’intéressait pas, Edouard Philippe fait mine d’ouvrir les yeux et de comprendre les « sans-dents » : « Les Français qui ont enfilé un gilet jaune aiment leur pays. Ils veulent que les impôts baissent et que le travail paie. C’est aussi ce que nous voulons. C’est le cœur de l’engagement du président de la République. Si je n’ai pas réussi à l’exprimer, si la majorité a peiné à en convaincre les Français, c’est que je dois, nous devons changer quelque chose » affirme le Premier ministre…

Une chose est sûre, les gilets jaunes aiment plus leur pays que Philippe ou Macron. Comment Philippe peut-il prétendre vouloir moins d’impôts quand il ne fait qu’augmenter la pression fiscale ? « Quelque chose » doit « changer »… Oui mais quoi ? Le Gouvernement veut poursuivre dans une voie que ne veulent pas les Français. Il faut changer de politique et pour cela il va falloir dégager ce pouvoir. Parlementaires, ministres et président. Ils doivent tous laisser leur place pour amener un personnel politique en phase avec la réalité électorale du pays. Une nécessité à laquelle une Macronie qui tombe en morceaux ne voudra jamais céder. Le pouvoir encore et toujours pour une petite élite aveugle, sourde et misanthrope. Les miettes pour les Français. Le mouvement ne fait que commencer !

 

Source : 24heuresactu

657e anniversaire de la naissance du franc

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Auteur : admin4
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N’oublions pas notre monnaie nationale, outil indispensable de notre souveraineté et de notre santé économique.

L’espoir de la retrouver prochainement grandit régulièrement.

Le 5 décembre 1360, les premiers francs sont frappés à Compiègne, pour aider à payer la rançon du roi Jean II de France (capturé par les Anglais le 19 septembre 1356 à la bataille de Poitiers).

Dénommé le « franc à cheval », il s’agit en fait d’un écu pesant 3,87 grammes d’or fin et valant une livre tournois ou 20 sols.

Le roi y est représenté sur un destrier, armé d’un écu à fleur de lys et brandissant l’épée, avec le terme « Francorum Rex » (Roi des Francs).

Bien que le mot « franc » signifie « libre », il est plus probable que le nom de la monnaie vienne tout simplement de cette inscription.

Le roi, lors de son retour, instituera officiellement cette monnaie, avec en ligne de mire la fin des dévaluations qui se sont répétées durant la première moitié du siècle :

« Nous garderons monnaie stable qui puisse demeurer en un état le plus longuement que l’on puisse bonnement et qui ne grèvera point notre peuple ».

On est loin des préoccupations des États et des banques d’aujourd’hui…


Source :  contre-info