Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 10 décembre 2018

Franck Dubosc, ex-soutien des gilets jaunes

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

Rédigé par

Jonathan Sturel

 
 

La séquence Franck Dubosc est intéressante à analyser car elle révèle beaucoup de choses. En premier chef, il me semble qu’elle confirme que le petit milieu du show-biz est une secte où les esprits finissent par s’uniformiser. Dubosc est un provincial, à l’origine plutôt sain d’esprit, assez franchouillard et, à mon avis, réellement sensible à la France d’en bas. Une sincérité qui lui a fait croire que son nouveau milieu serait évidemment sensible à la cause des gilets jaunes, qui sont des petites gens qui galèrent et qui souffrent. Instinctivement, Dubosc a dû faire des liens inconscients entre les gilets jaunes, la pauvreté, la charité, les Enfoirés, Coluche, etc., et il en a déduit dans un premier temps que les « zartistes » allaient bouger pour les jaunes.

Le mardi 27 novembre 2018, il a donc publié une vidéo rapide dans laquelle il assure les gilets de son soutien, et où il promet de revenir très vite avec des « copains » (du milieu) pour soutenir et aider cette précarité en colère. Erreur terrible qu’il commet de bonne foi, par naïveté.

Après cette vidéo, il prend veste sur veste lorsqu’il va frapper aux portes de ses « copains » qui, eux, n’ont pas l’intention de s’intéresser à ces gueux de gilets jaunes. L’artiste parisien a deux sortes de souci : avoir une bonne critique dans Télérama et les Rohingyas. Tout ce qui existe entre les deux est une immense zone périphérique et un réservoir à pouilleux et à beaufs.

Dubosc, probablement un peu sonné – en tout cas, certain, maintenant, qu’il a parlé trop vite -, se dédit et déclare dans une vidéo tournée par un quidam (à Lausanne, le 6 décembre) que « les gilets jaunes, c’est du passé », et d’ajouter, dans un élan lexical emprunté à son milieu d’adoption, « vous êtes trop haineux, trop hargneux, à dégager ». Le voilà maintenant lavé de ses instincts humains, blanchi auprès de ses « copains » qui, en le voyant maintenant insulter les gueux, sont rassurés et peuvent lui rendre sa carte de membre.

Franck Dubosc vient, en quelques jours et sous nos yeux, de vendre son âme contre une couverture avantageuse sur Télé Star. Il faudra que les Français s’en souviennent lorsque le comique s’en viendra leur proposer d’acheter les places de son prochain spectacle.

 

Source : bvoltaire

dimanche, 09 décembre 2018

L’état d’urgence : solution miracle d’un pouvoir à l’agonie ?

Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2018

Rédigé par notre équipe le 09 décembre 2018

L’acte IV de la mobilisation des gilets jaunes s’est terminé en fin de soirée et l’exécutif pousse un grand ouf de soulagement. Le Palais de l’Elysée est resté intact et le dispositif de sécurité redonné aux forces de l’ordre a été si performant que Macron a pu passer une journée loin du bruit. Pourtant, malgré les forces mobilisées, de nombreuses scènes de casses et de pillages ont encore été recensées. Le chaos s’est même répandu dans plusieurs autres grandes villes montrant ainsi qu’à la désespérance des gilets jaunes à laquelle n’a pas répondu le pouvoir, viennent se greffer des milliers de racailles en manque de fric et de sensations fortes.

Trois jours durant, le pouvoir s’est prêté à un nouveau jeu dangereux. Il n’a cessé de prophétiser le pire et de sortir l’artillerie lourde (véhicules blindés notamment) en prévision d’un acte IV parisien qui devait être cinglant et peut-être même sanglant. 89 000 policiers, CRS et gendarmes ont été mobilisés sur l’ensemble du territoire dont 8 000 à Paris. De quoi encadrer beaucoup de manifestations et points de blocage, mais c’était sans compter sur la participation de plus en plus forte de groupuscules d’extrême gauche et plus encore de racailles venues se faire un peu de fric par des larcins faciles.

Du contentement dans le chaos

Près de 1 400 interpellations et 1 000 gardes à vue en ce samedi 8 décembre. C’est bien plus que le samedi précédent, mais c’est encore pas assez pour éviter les « scènes de chaos » dénoncées par l’inénarrable Anne Hidalgo. Si tout s’est bien passé en début de journée, la tension est vite montée à Paris, Toulouse ou encore Bordeaux dès le début d’après-midi. Les racailles (une espèce pas très matinale) n’ont pas voulu faire le déplacement pour rien et se sont donc mises à l’œuvre. Boutiques vandalisées et pillées, voitures brûlées, mobilier urbain détruit, des scènes identiques à celle du samedi 1er décembre, mais cette fois-ci aux quatre coins de Paris…

La contagion se répand parce qu’en faisant monter la sauce depuis des semaines, le pouvoir a réveillé une frange d’excitables et d’opportunistes qui ne cesseront leur sortie hebdomadaire dans les (beaux) quartiers de Paris que lorsqu’ils auront été sanctionnés à la hauteur de leur comportement. Dans une France où les juges ne trouvent pas grand-chose à redire sur la délinquance de rue, de nouvelles scènes de chaos sont malheureusement au programme. Ça sent le brûlé en ce dimanche matin, mais pour le pouvoir (et donc les médias), le samedi 8 décembre est à placer sous le signe de la réussite. Pourquoi ? Uniquement parce que la symbolique des images a été moins forte que la semaine précédente. Difficile de faire mieux que la prise de l’Arc de Triomphe et son saccage… Alors malgré tout le reste, la journée est réussie…

Macron a pu jouir de son Palais présidentiel en toute quiétude et peut remercier les forces de l’ordre qui ont donné une leçon à leur ministre déchargé de la stratégie. Il reste tout de même deux chantiers essentiels auxquels n’a pas répondu le pouvoir. Mater la vague montante de casseurs et répondre à la colère des gilets jaunes. Deux sujets très différents qui ont toutefois été mêlés consciemment par un pouvoir proche du point de rupture. Un pouvoir qui croyait qu’en lançant des cacahuètes empoisonnées au peuple, il obtiendrait son silence. Or, selon les chiffres officiels toujours aussi peu crédibles, la mobilisation a engagé dix milles personnes de moins que le samedi précédent. Autant dire que la levée pour un an de la hausse des taxes sur les carburants n’a convaincu personne.

Edouard Philippe et son futur ex-pote Macron veulent « l’unité nationale » pour sortir de la crise. Une bien grande expression pour après un tel échec. Ils n’auront que ce qu’ils ont semé. Les gilets jaunes restent mobilisés malgré les insultes, les manipulations et les casseurs. Ils restent mobilisés, car c’est leur vie qui est en jeu. Il n’y a pas grand-chose à attendre de la prochaine prise de parole du jeune blanc bec qui a pris l’Elysée et le rendez-vous est déjà pris pour l’acte V…

 

Source : 24heuresactu

samedi, 08 décembre 2018

Face à la mobilisation des Gilets Jaunes, le Grand Rabbin de France appelle les Juifs à prier pour la République

Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Emmanuel Macron conserve quelques amis fidèles, y compris dans les épreuves.

Haim Korsia, Grand Rabbin de France, a adressé vendredi, veille des nouvelles manifestations des Gilets jaunes, un courriel à l’ensemble du corps rabbinique afin de prier pour la République en danger !

« En cette veille de Chabbat et de nouvelles manifestations qui s’annoncent potentiellement violentes, je vous invite à faire de ce temps de prières hebdomadaires un moment particulier de ferveur et de convivialité.
Je vous saurai gré de réciter la prière pour la République Française avec une intensité singulière.
Je vous souhaite hanoucca sameah, chabbat chalom et hodech mevorah, car la conjugaison de Hanoucca et d’un nouveau mois qui commence sont le signe que les horizons les plus obscurs peuvent devenir lumineux en un instant, si nous savons rester fidèles à nous-mêmes et à nos valeurs. »

Quant à la Ligue de défense juive (LDJ), elle a appelé la communauté juive à une « extrême vigilance » ce samedi, affirmant se tenir « prête et à intervenir si nécessaire ».

La synagogue du Beth Habad a d’ailleurs supprimé ses offices des samedi matin et samedi soir en prévision de la manifestation sur les Champs Elysées « afin de protéger la communauté ».

Du côté de la LICRA, c’est la photo d’Hervé Ryssen en couverture de Paris-Match qui les fait ruminer. Tout comme Christian Delporte, présenté comme historien de la presse, qui écrit sur Twitter :

« En toute responsabilité, (…) ce numéro devrait aller au pilon »

Ariane Chemin, du journal Le Monde, ajoute :

« Les gilets jaunes auront donc permis à un négationniste antisémite, admirateur de Faurisson, de faire la couverture de Paris-Match par effraction »

 

Source : medias-presse.info

Adhérez !

 

 
Nous comptons sur votre soutien afin de poursuivre notre nécessaire combat pour la sauvegarde de notre Identité et de nos valeurs de civilisation. Le Parti de la France est la seule formation politique a mener ce combat, sans compromission ni reniement.
Mais sans ses adhérents, il n’est rien.
 
Votre adhésion peut se faire
• par chèque, à l'ordre de Myriam Baeckeroot, mand. fin. du PDF en remplissant le bulletin d'adhésion et en envoyant le tout au siège du PDF :  6 allée des Templiers, 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche
bulletin_adhesion_2018.pdf bulletin_adhesion 2018.pdf  (115.04 Ko) 
 

 

Adhérez !
 
• ou par paiements sécurisé en ligne via PayPal :
ATTENTION: POUR LES PARTIS POLITIQUES, LES DONS PAR PAYPAL NE PERMETTENT PAS L'EMISSION DE RECUS FISCAUX. Si vous désirez bénéficier d'un reçu fiscal, votre don doit obligatoirement être effectué par virement ou par chèque bancaire selon les modalités énoncées ci-dessous.
  • par chèque à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT mandataire financier du P.D.F.” en adressant votre courrier au Parti de la France 6 allée des Templiers, 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche
  • par virement à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT, mandataire financier du P.D.F.” sur le compte bancaire LCL 30002 00453 0000691807 F 22 Paris Anjou
  • Pour tout renseignement : 09 67 17 81 36.
 
Loi du 11 mars 1988 : Article 11- alinéa premier et troisième alinéa :
«  Les dons consentis et les cotisations versées en qualité d’adhérent d’un ou plusieurs partis politiques par une personne physique dûment identifiée à une ou plusieurs associations agréées en qualité d’association de financement ou à un ou plusieurs mandataires financiers d’un ou de plusieurs partis politiques ne peuvent excéder 7.500 euros. 
Les personnes morales à l’exception des partis ou groupements politiques ne peuvent contribuer au financement des partis ou groupements politiques, ni en consentant des dons, sous quelque forme que ce soit, à leurs associations de financement ou à leurs mandataires financiers, ni en leur fournissant des biens, services ou autres avantages directs ou indirects à des prix inférieurs à ceux qui sont habituellement pratiqués. »
Ainsi que le premier alinéa de l’article 11-5 de la loi précitée :
« Ceux qui ont versé des dons à un ou plusieurs partis politiques en violation de l’article 11-4 sont punis d’une amende de 3.750 euros et d’un an d’emprisonnement. »

Chaque don ou adhésion ouvre la possibilité d’une réduction fiscale de 66 % dans la limite de 20 % de votre revenu imposable. Ainsi, un don de 100 euros ne vous coûte réellement que 34 euros. Dès réception de votre don, nous vous enverrons un reçu à joindre à votre déclaration d’impôts.  
Merci pour votre soutien et votre fidélité à notre combat.
 

 

Emission spéciale "Gilets Jaunes" avec Carl Lang, président du PdF

Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2018

A celles et ceux qui on l’esprit embué par les discours démagogues voir charlatanesques des responsables politiques du système, écoutez cet homme :

Le charisme, le pragmatisme, la lucidité, un discours non aseptisé, la vérité se dégagent de cet homme à stature politique nationale voire internationale : à écouter sans modération.

Cet homme c’est Carl Lang le Président du Parti de la France.

Faites le savoir autour de vous et portez la bonne nouvelle : la France sortira de l’ornière dans laquelle elle se trouve depuis des décennies grâce à une personnalité telle que Carl Lang.

 

FACE à FACE du 02 décembre 2018

FACE À FACE