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dimanche, 25 septembre 2016

Florence, Italie : L’islam conquérant entre dans la cathédrale

Publié par Guy Jovelin le 25 septembre 2016

par 24 septembre 2016

cathedrale-florenceC’est le quotidien italien Il Giornale.it qui en donne la nouvelle : au cours d’une soirée interreligieuse, jeudi dernier, une sérénade en l’honneur du Coran, « Le Coran est justice », a retenti sous les voûtes du plus grand dôme italien.

« L’islam entre dans la cathédrale de Florence. Hier soir, pour la première fois en 720 ans d’histoire, des chants islamistes ont résonné dans la nef de Santa Maria del Fiore.

Le concert, qui s’insère dans le festival « O Flos colende » promu par l’Oeuvre de la Cathédrale, veut unir les trois religions du livre à travers des mélodies musulmanes, chrétiennes et juives. L’initiative, qui a eu lieu l’an dernier dans la basilique Santa Maria della Passione de Milan sous le titre « Trois fois, un seul Dieu », a déclenché des polémiques dans tout Florence.

Sous la coupole de Brunelleschi, hier soir, a résonné le chant islamiste « Le Coran est la Justice ». Le long des travées de la Cathédrale de Florence ont ainsi retenti les versets du livre sacré des musulmans. Les mélodies islamistes ont été accompagnées par celles chrétiennes et juives. (…)

Cette initiative interreligieuse est née une semaine après le barbare attentat de commando islamiste à la rédaction parisienne de Charlie Hebdo. »

Contre les bombes des islamistes, les gentils bien-pensants pro-pro ne trouvent rien de mieux que d’inviter l’islam chanté ses lamentations en la cathédrale, un islam qui s’affiche, lui, sans complexes, conquérant ! Comme il l’a toujours été en ces régions italiennes de Méditerranée, qui ont connu des siècles durant les razzias et pillages des barbaresques mahométans. Mais à l’époque, les autorités religieuses et laïques, protectrices des peuples et de la civilisation chrétienne, réagissaient et lançaient la croisade pour défendre leur nation. Aujourd’hui, les autorités religieuses, pape en tête, ami des imams et mollahs, accouplées à des gouvernements apostats et laïcards, sous couvert de bien, leurs ouvrent grandes les portes de leurs lieux de culte et les invitent à clamer la grandeur de l’islam.

Point positif à ces cérémonies interreligieuses, déculottées magistrales des soi-disant élites occidentales déjà en dhimmitude mentale, cette démonstration de force et de mépris de la part de la religion mahométane n’a pas plu à tous les citoyens italiens ou florentins, croyants ou non, qui ont manifesté leur désapprobation.

Francesca de Villasmundo

http://voxnews.info/2016/09/23/duomo-firenze-canti-islamici-in-chiesa-il-corano-e-la-giustizia/

 

Source : medias-presse.info

BRUITS DE BOTTES A SARAJEVO

Publié par Guy Jovelin le 25 septembre 2016

samedi 24 septembre 2016, par Michel Dantan

Afficher l'image d'origineLes serbes de la Repubica Srpska se rendront aux urnes demain dimanche pour se prononcer sur le maintien du 9 janvier comme jour de Fête Nationale, une fête que la cour suprême de Bosnie-Herzégovine a jugée inconstitutionnelle le 25 novembre 2015, au regard de son caractère jugé discriminatoire. Milorad Dodic le Président de l’entité serbe de Bosnie à l’origine de cette initiative a maintenu son projet de référendum en dépit des réactions d’hostilité qu’il a déclenché en Bosnie, notamment des menaces de guerre que l’ancien commandant en chef de l’armée bosniaque pendant la guerre en Bosnie, Sefer Halilovic, a ouvertement proféré contre la RS si d’aventure a-t-il dit ce référendum devait avoir pour conséquence d’ouvrir la voix à une sécession de l’entité serbe. Des menaces qui se sont attirées la réponse sans équivoque du ministre serbe des affaires étrangères, Ivica Dacic qui a déclaré que la Serbie ne permettrait pas la destruction ou une attaque militaire contre la République serbe de Bosnie. Dans ce contexte particulièrement tendue le Président Milorad Dodic au cours des entretiens qu’il a récemment eu avec le Président russe Vladimir Poutine à Moscou s’est vu assurer du soutien de celui-ci qui lui aurait dit que chaque peuple pouvait légitimement aspirer au droit à l’autodétermination. La diplomatie l’emportera t-elle sur les menaces d’une reprise d’une guerre que certains considèrent peut-être comme inachevée mais dont en Bosnie aucune des trois communautés ne souhaite revivre les horreurs ? Les jours à venir diront si les menaces de l’ex commandant de l’armée bosno musulmane sont l’expression de ses propres fantasmes ou correspondent à l’état d’esprit qui comme le pense Dodic prévaut dans les milieux dirigeants bosno musulmans de Sarajevo. Interrogé pour savoir s’il pouvait compter sur l’aide de la Serbie et de la Russie en cas d’intervention militaire, Milorad Dodic a répondu qu’il pouvait compter d’abord sur son peuple.
Source : B92

 

Source : national-hebdo

samedi, 24 septembre 2016

Depardieu : la France est «un Disneyland peuplé d'imbéciles»

Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2016

© ALEXA STANKOVIC Source: AFP
 

L'acteur, habitué aux déclarations fracassantes, a reproché à la France de se transformer en vaste centre touristique pour étrangers. Il a également déclaré apprécier le «côté hooligan» du président russe.

«Gégé» n'a semble-t-il plus beaucoup d'affection pour son pays natal. Dans un entretien accordé au journal italien Il Corriere della Sera daté du 22 septembre, le célébrissime acteur a déclaré que la France risquait «de devenir un Disneyland pour les étrangers, peuplé d'imbéciles qui font du vin et du fromage qui pue pour les touristes». Enfonçant le clou, l'interprète de Cyrano de Bergerac et d'Obélix a assuré qu'il n'y avait «plus de liberté» dans l'Hexagone, et que les gens y étaient «manipulés».

Le cinéma, domaine dans lequel la France excellait jadis, «n'existe plus» selon Gérard Depardieu, qui a dénoncé la pression exercée par les blockbusters américains sur le septième art. «Il y a un monde du divertissement, les gens, terrorisés par les Américains, ne savent plus quelle langue parler», a regretté l'acteur. «Il y a dix stars et elles sont toutes américaines. Leurs films bourrés d'effets spéciaux sont des jeux, et le reste du cinéma a du mal à exister», a-t-il encore déploré.

Les gens, terrorisés par les Américains, ne savent plus quelle langue parler

Interviewé à l'occasion de la sortie de la version italienne de son ouvrage autobiographique, la star a néanmoins tenu des propos élogieux à l'égard de l'Italie, qui selon lui, n'a pas perdu sa culture et son identité. «Parce que vous [les Italiens] êtes un pays jeune, né avec Garibaldi» (en 1861), a-t-il expliqué.

Titulaire d'un passeport russe depuis 2013, le monstre sacré du cinéma français a également trouvé l'occasion d'adresser un compliquent au président Vladimir Poutine, dont il a dit apprécier le «côté hooligan».

Un récidiviste du French bashing

Ce n'est pas la première fois que Gérard Depardieu se montre sévère vis-à-vis de la France. En mai dernier, l'artiste avait déclaré à Nice Matin : «Il y a tellement de merde en France que c'est très difficile d'y faire sa place, puisque l'on vous prend tout. On prend tout, y compris aux plus pauvres, surtout aux plus pauvres.»

 

Source : francais.rt

Najat Vallaud-Belkacem veut rendre la scolarité obligatoire de 3 à 18 ans !

Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2016

23 septembre 2016 par admin4

najatvbAu lieu de 6 à 16 ans actuellement.

« Najat Vallaud-Belkacem l’a annoncé le week-end dernier. Alors qu’elle intervenait, samedi, à l’Université PS de l’engagement, qui se tenait à Lomme, près de Lille, la [sic] ministre de l’Education nationale a annoncé par un tweet l’une des mesures phares du programme du PS en matière d’éducation en vue de la prochaine présidentielle.

« Pour aller plus loin sur l’Education, je proposerai d’étendre la scolarité obligatoire de 3 à 18 ans », a ainsi écrit Najat Vallaud-Belkacem, sur Twitter.  » (sourceBFMTV)

Alors que les enfants sortent désormais illettrés des lycées, qu’on leur bourre le crâne de mensonges dans le domaine historique et de perversions dans le domaine des mœurs, le gouvernement estime qu’il n’a pas suffisamment de temps pour formater les jeunes Français selon son ignoble idéologie…

Source T. de Chassey

 

Source : contre-info

vendredi, 23 septembre 2016

Ces présidents qui nous coûtent TRÈS cher !

Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2016

 

Par Aristide Leucate

La restauration du roi en France s’élèverait à un budget de 40 millions d’euros par an (75 % moins cher qu’un monarque républicain !). Sans compter ce que nous coûte - plus grave encore - l'impéritie politique systémique de la République en elle-même ... LFAR
 

1418638966.jpgC’est incontestablement un marronnier. Tout comme les rapports censés les alimenter, ils sont parfaitement inutiles mais bougrement instructifs. Mediapart vient, ainsi, de mettre la main sur un rapport confidentiel établi conjointement par la Cour des comptes et le Conseil d’État, remis à François Hollande en 2014, portant sur le coût des anciens présidents de la République et des anciens Premiers ministres.

Entre autres choses, on y apprend que Valéry Giscard d’Estaing serait celui qui coûterait le plus cher aux Français (environ 2,5 millions d’euros par an), devant Nicolas Sarkozy (2,2 millions) et Jacques Chirac (1,5 million). De la même façon, il en coûterait annuellement aux contribuables 97.000 euros pour Villepin, 102.000 euros pour Juppé (candidat à la primaire), 89.000 euros pour Jean-Pierre Raffarin, actuel sénateur, 75.000 euros pour le député Jean-Marc Ayrault (Le Figaro, 10 février 2016).

Et, tranquillement, le rapport continue d’enfiler les chiffres extravagants de dépenses somptuaires à destination de ce qu’il faut bien appeler des « privilégiés » dont le statut, non moins extravagant, repose (en attendant l’arrêt imminent de la section du contentieux du Conseil d’État sur cette question) sur une « lettre » du 8 janvier 1985 adressée, à l’époque, à « Monsieur Valéry Giscard d’Estaing, ancien président de la République » et signée de la main du Premier ministre d’alors, un certain Laurent Fabius.

En 2014, Matignon aurait dépensé 89.000 euros pour renouveler les berlines de François Fillon, Édouard Balladur et Michel Rocard ! Depuis 2012, 26 lignes de téléphone portable auraient été mises gracieusement à disposition de Nicolas Sarkozy quand 10.571 euros sont affectés aux seuls abonnements à la presse de Valéry Giscard d’Estaing ! Démentiel.

À cette aune, il aisé de comprendre, d’une part, pourquoi, dans un contexte économique et social éminemment pénible pour nos concitoyens, les politiques sont frappés d’un discrédit sans appel, d’autre part, pourquoi ces derniers sont devenus tout simplement incapables de ressentir et de connaître ce que vit le commun des mortels. 

L’esprit de caste entretient le sentiment d’impunité, l’endogamie, l’arrogance cynique. Les citoyens ne sont rien moins que les faire-valoir ancillaires d’une ploutocratie devenue l’autre nom de la démocratie représentative. Un mirage. Une imposture. 

Tous pourris ? Voire. En tous les cas, force est de constater que le régime républicain, au-delà de ses tares intrinsèques, pourrait bien apparaître comme la variable d’ajustement d’une économie de temps de crise. En 2012, Herman Matthijs, professeur d’administration et de finances publiques à l’université de Gand, publiait un rapport sur le coût des chefs d’État européens. La présidence de la République française en ressortait comme la plus onéreuse d’Europe (111,7 millions d’euros), lorsque la Couronne britannique coûterait « seulement » 38,2 millions (0,79 euro par sujet britannique contre 4,52 euros par contribuable français assujetti à l’impôt sur le revenu), soit un peu plus que la République fédérale d’Allemagne (30,7 millions d’euros).

En faisant la moyenne de l’ensemble des monarchies européennes, la restauration du roi en France s’élèverait, grosso modo, à un budget de 40 millions d’euros par an (75 % moins cher qu’un monarque républicain !). En 2012, l’Inspection générale de l’administration évaluait le montant des dépenses engagées par l’État à l’occasion de l’élection présidentielle et des élections législatives à 437 millions d’euros (rapport sénatorial, 28 octobre 2015). La présidentielle à venir promet d’atteindre des sommets stratosphériques. 

Docteur en droit, journaliste et essayiste